Zoom sur le nomadisme au Musée du quai Branly
Mis en ligne le 14/06/11 | #
Deux de nos auteurs, Denis Couchaux et Véronique Willemin, interviendront le 18 juin 2011 lors du salon de lecture du Musée du quai Branly qui propose de mieux connaître les formes de nomadisme de notre époque.
Le premier présentera sa toute nouvelle parution, Habitats nomades et la seconde parlera de notre collection AnArchitecture. (voir Architecture - Urbanisme - Transport)
Musée du quai Branly
37 quai Branly
75007 Paris
Tél. : 01 56 61 70 00
le samedi 18 juin à 17 h
“Made in Tokyo” dans “Le Figaro”
Mis en ligne le 09/06/11 | #Première mention dans la presse pour Made in Tokyo, celle parue dans Le Figaro du 9 juin 2011 :
“Descente interdite” : ça continue à descendre dans les basses!
Mis en ligne le 08/06/11 | #– Voici une présentation de Descente interdite qui nous fait rougir de plaisir ! Éric Fournet le présente ainsi dans le bimestriel Innercity (juillet/août 2011) : « S'il n'y a qu'un livre graffiti a acheter cette année, c'est bien celui de Karim Boukercha. Descente Interdite est en effet le livre le plus ambitieux et le plus réussi jamais écrit sur le graffiti dans le métro parisien ! Cette s omme de 400 pages et 1 200 photos, regroupant une multitude de témoignages sincères, drôles et parfois émouvants, retrace l'histoire de graffeurs et tagueurs qui depuis près de 30 ans arpentent stations, tunnels et dépôts. À acheter les yeux grands ouverts ! Interview d'un auteur épuisé après 10 ans de recherches et 10 mois d'écriture... »
– Le Figaroscope (1er juin) présente ce même titre : « SOUS LES PAVÉS, LES TAGS. Quand Karim Boukercha, ancien graffeur, troque sa bombe contre une plume, le résultat est explosif ! Il offre un ouvrage de 400 pages ou l'on découvre les œuvres illégales du métro parisien, mais aussi des témoignages. »
– Jean-Louis Basse (Europe 1) a reçu Karim Boukercha le 6 juin à la fin de son émission Bienvenue chez Basse.
. .
– Et Canal Street.TV y va aussi de son interview de Karim Boukercha le lendemain 7 juin.
– Rue 89 parle du livre et de son auteur à l'occasion de la non restitution par la Justice de leurs originaux aux tagueurs. Le 21 juin, le jugement civil sera rendu : on saura alors si les 57 tagueurs poursuivis par la RATP et la SNCF devront payer d'énormes indemnités pour dégradation de trains et métros dans les années 2000.
Dédicace à Libralire pour “Maisons en kit”
Mis en ligne le 08/06/11 | #Claude Vergnot-Kriegel et Carine Merlino dédicacent leur tout récent ouvrage Maisons en kit le jeudi 9 juin à partir de 18 h à la librairie Libralire.
116 rue Saint-Maur 75011 Paris
Homes en kit
Mis en ligne le 06/06/11 | #

Le bimestriel Home (juin/juillet 2011) présente ainsi Maisons en kit : « UNE RÉVOLUTION EN KIT.
À l'heure du design, de l'écologie et de l'engouement pour les matériaux naturels et les petites surfaces, la maison en kit est une véritable révolution. Ce livre révèle toute l'importance de ces nouvelles constructions qui tentent de répondre aux aspirations sociales de notre temps à travers trente projets contemporains. »
Médias : ça descend sec pour “Descente interdite”
Mis en ligne le 30/05/11 | #Premières retombée médiatiques pour Descente interdite :
– FR3 Île de France a invité Karim Boukercha, son auteur, le 25 mai 2011 ;
– dans le Le Parisien du 23 mai, Julien Solonel décrit ainsi l'ouvrage :
« Ce livre va rappeler de mauvais souvenirs a la RATP. Écrit par Karim Boukercha, lui-même ancien adepte de la bombe de peinture, Descente interdite retrace l'histoire du tag dans le métro parisien, des prémices, au début des années 1980, a aujourd'hui. « Jusqu'en 1984, les graffitis avaient toujours un contenu politique ou autre », raconte Karim, qui a lâché l'aérosol pour la plume. Venus de New York, les premiers tags recouvrent les rames de la ligne 8 avant de « se transmettre comme un virus », poursuit l'auteur, pour qui les graffs « sont un moyen d'expression et de reconnaissance ». Illustré de plus de 1 200 photos et documents, pour la plupart inédits, Descente interdite revient aussi sur la guerre que mène la RATP contre les tags. En 1992, la Régie lance le plan Reconquête du territoire, avec un budget de 80 millions de francs (12 M€) par an pour protéger ses métros. Les nouvelles peintures des rames, des techniques de surveillance plus évoluées ou des enquêtes rendent les tags moins visibles. « En 2011, même si l'efficace politique de nettoyage ne permet pas de le constater, on peint et on tague toujours autant », relativise Karim Boukercha dans le chapitre « Le métro ne meurt jamais. » La preuve en images. »
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