Editions Alternatives

L'hebdo belge Le Vif-L'Express (9-13 décembre 2007) a retenu deux de nos récentes parutions dans sa sélections de beaux livres-cadeaux pour les fêtes de fin d'année sous le titre POUR L'ŒIL ET L'ESPRIT : « Habiter le paysage. Construire dans la roche, est-ce une révolution ? Non, de par le monde, l'habitat troglodyte est utilisé dans le cadre militaire et funéraire depuis la nuit des temps. L'habitat est aussi répandu, mais il est vrai que, depuis quelques années, de nouvelles expériences ont été réalisées, en France notamment. Exemples et explications par des architectes de terrain. Dans les mains du soleil. Ce “carnet de voyage amoureux au Rajasthan”, dû à la plume et au pinceau de l'artiste Simon, comporte une foison de planches réalisées sur place sur des papiers indiens et qui témoignent tant du patrimoine fabuleux de cet Etat du nord-ouest de l'Inde que la vie au quotidien. Les texte, à la fois poétiques et musclés, sortent résolument des sentiers battus de la littérature touristique. »

Paraphrasant (un peu) l'édito de notre page d'accueil d'alors, le quotidien Le Républicain lorrain (n° du 25 novembre 2007) écrit : « Roger-Pierre nous parle d'un passé que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. Celui, où, pour devenir vedette, il n'était pas question de monter dans l'ascenseur de la Star Ac ; où il fallait galérer dix ou vingt ans dans les cabarets, enchaîner plusieurs spectacles par soirée. A ce régime, le talent avait le temps de mûrir, il pouvait durer toute une vie. Et l'amitié aussi, avec les camarades engagés dans le même parcours du combattant. C'est ce que raconte le comédien dans Mes amis, mes amours (Editions Alternatives), savoureuse galerie de soixante-dix portraits et anecdotes. Où l'on s'aperçoit que Jean-Marc Thibault jeune ressemblait à John Lennon (??? Vérifiez avec la photo ci-contre en oubliant les célèbres lunettes de l'ex-Beatles...) , où l'on sourit devant les photos de gringalets nommés Brassens, Mouloudji, Brel, où l'on redécouvre la beauté de Martine Carol et de Françoise Fabian débutantes, où l'on apprend comment C'est si bon devint un tube planétaire, et comment le tandem Thibault-Pierre joua et réalisa un flamboyant nanard intitulé La vie est belle... »

Dans son numéro du 8 au 14 novembre 2007, l'hebdomadaire L'Express a consacré une double page à notre toute récente parution Bons baisers des colonies. Sous le titre CLICHÉS DU COLON et le sous-titre “L'exotisme féminin vu à travers le prisme de la carte postale du début du XX^e siècle”, Guillaume Crouzet écrit : « Safia Belmenouar a 25 ans, son père est né à Oran, et ses deux grand-mères, algériennes, auxquelles elle dédie son livre, Hadda et Fatma, auraient très bien pu en être les héroïnes. En lisant Bons baisers des colonies, ce recueil d'images de la femme dans la carte postale coloniale, la première de ses aïeules, qui habite Paris, lui a confié qu'elle trouvait les jeunes filles de son livre “belles et fières de leurs corps”. Son autre grand-mère est restée au pays. Elle ne lui a encore rien dit. Les mots manquent d'ailleurs quelque peu quand on découvre ces images tirées de l'oubli par la passion conjointe d'un collectionneur et d'une jeune historienne. Car il y a une gêne à replonger dans cet exotisme de pacotille, cette représentation d'une scène coloniale pacifiée, idéalisée, telle une vitrine de confiserie dont les femmes indigènes seraient les captifs joyaux. L'insaisissable Mauresque, la sauvage Africaine, la hiératique Indochinoise : tous les clichés sont là. Au sens propre comme au sens figuré. “Et pourtant, raconte Safia, en dépit de cette lourde charge érotique, nombre de ces femmes qui posaient pour un peu d'argent, mendiantes, prostituées, paysannes, ont su conserver leur part de vérité dans cette fantasmagorie de bazar. Ici, un regard empreint de mélancolie, le sentiment d'une honte rentrée ; là, le plaisir de se savoir belle ; plus loin, le refus de s'abandonner malgré un corps dévoilé. Au détour de ces petits morceaux de carton imprimé, une vétitable humanité. Que personne n'a pu brider.” » Le site du journal consacre parallèlement une bonne place à ce même ouvrage. Cliquer sur le lien suivant : www.lexpress.fr/mag/tentations/...

La Voix du Nord, dans son supplément “Fémina” (25/28 octobre 2007) consacre une page sur les murs de Lille en présentant deux de nos parutions récentes. – «  Après Paris (Kapital), le sud de la France, La France d'en bas et l'ouest, (Les murs de l'Atlantique), les éditions Alternatives ont accueilli sans surprise la proposition des graffeurs du Nord de montrer eux aussi de quoi ils étaient capables. Le livre existe : il s'appelle Cap Nord... C'est un état des lieux extaordinairement riche qui est proposé selon un ordonnancement digne d'une étude d'histoire de l'art... Avec une ribambelle de talentueux héritiers qu'on découvre page après page, comme un délirant millefeuille. – De son vrai nom Jean-François Perroy, Jef Aerosol a laissé quelques traces de son passage à Lille sur les murs de la ville... Certaines furtives, d'autres plus officielles... Entre Warhol et l'art des graffeurs, entre Basquiat et la culture hip hop, existent quelques chaînons manquants dont fait partie Jef Aerosol. De ceux qui ont vraiment porté l'art de la rue avec des moyens aussi simples qu'un pochoir et une bombe de peinture. Dans ce livre, VIP Very Important Pochoirs, Jef Aerosol propose une balade parmi les portraits des personnages qui ont marqué son époque, hanté ses rêves de jeunesse, influencé sa vie. »

Dans son numéro du 30 octobre 2007, le gratuit Le Matin Plus rubrique de façon sympa l'ouvrage Globe-Painter sous le titre LE GRAFF S'AFFICHE : « Au premier abord, on croit à un beau livre fouillis, à un genre de carnet de voyage expérimental. Mais Globe-Painter se révèle un document unique sur le graff à travers le monde, il y quatre ans. Julien Malland (Seth est son petit nom de graffeur) est parti en voyage, emportant avec lui appareil photo et œil aiguisé. Sur sa route, il a rencontré nombre de graffeurs de Sao Paulo à Tokyo, en passant par Sydney. Résultat, environ 200 photos, des dessins et des sketches, et surtout, un goût très singulier.

L’Esprit de la lettre séduit de nombreux supports si l’on en juge les exemples suivants : Dans Femmes actuelles de septembre 2007, Mélanie Dumont écrit : « Dans un concept original, ce livre explore l’univers propre à chacune des vingt-six lettres de l’alphabet. Leur histoire, leur évolution mais aussi leur existence secrète qu’elles développent au-delà des mots. Saviez-vous, par exemple, que le “O” était associé aux objets disgracieux, ternes et sans éclat , » Le 11 septembre 2007, Le Quotidien du Médecin remarquait : « On est loin d’imaginer ce qui se cache derrière les lettres de l’alphabet. Thora Van Malle est allé fouiller au-delà des apparences et dévoile dans L’Esprit de la lettre une multitude d’informations sur chacune de ces entités alphabétiques. Pourquoi, pendant la Guerre de Sécession aux Etats-Unis, la lettre D était marquée sur le corps des déserteurs, que le point sur le i minuscule est une invention récente, la signification du code G chez les notaires, les liens étroits qu’entretient le K avec les explosifs ou le triste emploi réservé aux lettres A ou T… » Le plus louangeur étant le récent mensuel Le Magazine du bibliophile qui souligne « que la plus jeune lettre de l’alphabet est le W… Dans la suite de cet abécédaire, après chaque lettre, s’intercale une page particulière de cet univers : les alphabets européens, p. 60, un petit questionnaire, p . 101… Ce parcours plein d’esprit mêle avec bonheur érudition et fantaisie. A lire absolument. »