Editions Alternatives

Dans son numéro du 28 novembre 2013, Le Figaro consacre un excellent papier à Bourdelle et à l'exposition (Bourdelle intime : une exposition dans un étonnant musée (prolongation)). Adrien Goetz débute ainsi son article : « Dans les papiers d'Antoine Bourdelle (1861-1929) se trouvaient des notes, des dessins, quinze mille photographies, négatifs et positifs, qui racontent les contrastes d'une vie, un vrai reportage sur l'œuvre du sculpteur.
L'idée d'Amélie Simier, qui dirige le musée Bourdelle, est de montrer peu à peu au public ce gisement de documents inconnus. Une biographie, illustrée d'un choix d'images inédites, résultat des recherches de Stéphanie Cantarutti, vient de paraître. Elle sert de catalogue à cette exposition où l'on peut découvrir quelques fragments de ce trésor. Toute la vie des ateliers de Montparnasse autour de 1900 ressurgit, avec une fraîcheur saisissante. [...] Autre cliché incroyable : Henri Matisse et Bourdelle travaillant ensemble, devant un cheval qu'ils ont sans façon fait entrer par une des hautes fenêtres de l'atelier, une pièce qui existe encore, intacte, au cœur du musée. »

Le très anglo-saxon (par son esprit et son épaisseur) supplément week-end de Libération (23-24 novembre 2013) consacre une double page à l'exposition Ma cantine en ville et à son catalogue Voyage au cœur de la cuisine de rue. Dans les dernière lignes, Clément Ghys écrit : « Le journaliste Cyrille Poy pose la question dans le catalogue : “Pourquoi nos espace sociaux seraient-ils inertes ? Pour contrer « l'omniprésence d'une logique fonctionnaliste de la ville faisant la part belle à l'automoble et aux flux divers, [...], la privation de l'espace public, [...], l'obsession sécuritaire »” ou l'hygiénisme, des initiatives se regroupent. » 

Dans son supplément Sortir du 20 novembre 2013, Télérama fait une petite chronique sympa de Front de Seine :

Dans son numéro 19
d'octobre/novembre/décembre 2013,
le trimestriel Graffiti Art magazine
fait une jolie présentation
du tout récent Haut les murs !
« qui a tout pour plaire
aux amateurs de street art. » 

Sous le titre L'utopie expliquée, Anne-Marie Fèvre présente dans Next, le supplément de Libé du 5 octobre 2013 le dernier titre ouvrage de notre collection Mémoires urbaines :
« Dans l'ouvrage Front de Seine, Thomas Clerc, auteur d'Intérieur, ne joue pas à l'écrivain-promeneur. Il met en scène, de la tour Totem à l'immeuble Mirabeau, divers personnages. Dont un “détective sprinter” qui “s'étonne, arrive sur la dalle, de l'aspect désert des lieux”. Ce “désert de luxe” est un des maux de Beaugrenelle, dans le XV^e arrondissement, objet de tant de polémiques.
L'architecte et critique Lionel Engrand, lui, analyse la construction du quartier [1967-1989] à sa réhabilitation amorcée en 2003. C'est en 2014 que l'on saura si cette « utopie inachevée » s'acclimate enfin à son environnement, des commerces à la Seine. La rencontre entre un écrivain et un architecte est le principe de la collection. Ça marche, et donne envie de leur emboîter le pas. Sur la dalle.  » 

Dans son numéro du 30 août 2013, le quotidien Corse-Matin fait une très belle présentation de Cuisiner cru et de deux de ses auteurs (Leïla Drissi et Xavier Boulière) qui vivent sur l'Île de Beauté depuis plusieurs années :