Deux titre street art d'Alternatives dans
la sélection de cadeaux sur Télérama.fr
Mis en ligne le 26/12/17 | # Sur cinq idées livres-cadeaux street art à offrir, Olivier Granoux en a choisi deux de notre récente production sur Telerama.fr :
– Ella & Pitr : « Cette monographie célèbre leurs dix ans de travail et de vie commune de fort belle manière : on y retrouve toute l'étendue de leurs travaux, des collages aux tableaux en passant par les détournements d'affiches. Avecpour rythmer l'ensemble, des textes bien sentis de Yoann Bourgeois, Joël Pommerat, Denis Lavant, Rufus, et bien d'autres… C'est beau, sensé, et japonisant juste comme il faut. Un livre qui parle d'amour et de passion,et qui plaira même à ceux qui pensent ne pas s'intéresser au street art ! »
(Le même livre est également sélectionné par le dernier numéro de l'année de l'hebdo À nous Paris.)
– Street art contexte(s) :« Urbaniste spécialisé dans l'organisation d'événements street art, Olivier Landes connaît parfaitement le sujet. Son livre, au propos fluide, passe en revue 120 œuvres street art du monde entier en les expliquant. Aussi didactique que spectaculaire, avec des artistes connus et d'autres moins. »
ActuaLitté.com trouve “La Paille”
« Instructif et esthétique ».
Mis en ligne le 17/11/17 | # Le site ActuaLitté.com se présente ainsi : « Aux lecteurs dilettantes, aux amateurs et aux passionnés, aux professionnels de l'édition, aux enseignants, libraires ou documentalistes, chaque jour, ActuaLitte.com vient apporter les informations nécessaires à une meilleure vision du monde livresque. »
Pour ActuaLitte.com, Cécile Pellerin analyse La Paille en écrivant en autre : « Instructif et esthétique, ce livre retrace d’abord l’histoire de la culture de pailles, l’activité agricole céréalière,les différents usages du matériau à travers le temps et à travers le monde (fabrication de vêtements, d’objets,construction d’habitations…) et laisse le lecteur, ébahi. La richesse iconographique de l’ouvrage permet de découvrir des habitations en paille au Cameroun, Sénégal,Irak (le peuple des Arabes des marais) et Pérou, absolument étonnantes, des paniers tressés, des broderies d’orfèvre, etc. ».
La présentation intégrale du livre, ainsi que celle de son frère jumeau Le Liège, se fait en cliquant sur ce lien.
Olivier Landes (“Street art contexte(s)”
se met à nu sur Streep
Mis en ligne le 15/11/17 | # Un site particulièrement bien fichu : c'est celui de Streep. Voici comme les initiateurs se définissent eux-même, et c'est pas faux : « Le média indépendant de l’art urbain, [qui] déshabille l’actualité urbaine au moyen de vidéos, photos, news, long read. ».
Et Streep a eu l'excellente idée de faire une vidéo-interview de l'auteur de Street art contexte(s), Olivier Landes expliquant entre autre le choix du visuel de couverture de son livre. C'est à voir ici.
Nos trois nouveautés street art
ont séduit le site À vos marques-tapage
Mis en ligne le 06/11/17 | # Nos trois dernières parutions art urbain ont séduit À vos marques-tapage (cliquez sur le lien pour lire l'article complet de Christine Le Garrec) :
– Ella & Pitr ;
– Jace ;
– Street art context(e)s.
Pour les deux premiers titres, l'excellent site ( Arts et Essais n° 25) les présente ainsi : « Trois artistes sont mis à l’honneur dans deux superbes monographies : le talentueux couple à quatre mains Ella & Pitr et leurs fresques époustouflantes de beauté et de démesure, et le génial Jace et son Gouzou farceur, provocateur et lanceur d’alerte qui est devenu une icône dans l’île de La Réunion… »
Et pour le livre d'Olivier Landes : « Street art contexte(s) vous entretiendra des liens étroits entre une œuvre et son environnement à travers de multiples œuvres contextualisées issues de l’imagination d’une ribambelle d’artistes venus eux aussi du monde entier ! »
“Alexandre Zinoview” sur le Web
Mis en ligne le 03/06/17 | #Deux références à Alexandre Zinoview sur les sites :
– Art aujourd'hui info qui écrit : « Versé dans les ambulances, vivant la vie des tranchées, connaissant les mutineries de 1917, Zinoview (son nom d'espion pour le compte de l'Okhrana, la police tsariste) laisse un véritable reportage sur le nombreux contingent russe. Dessins, photographies, gouaches sur papier, pigments et cire sur bois (les matériaux sont rares) : le peintre, qui avait connu les derniers feux du Paris de la Belle Epoque, décrit une autre réalité, poignante et meurtrière. Blessés, morts et mutilés, veilles et bombardements, cauchemars et fantasmes… »
– Lintern@ute, Dominique Vergnon consacre une longue analyse à l'ouvrage. Extrait : « Si les feuilles et les toiles dévoilent la dureté des combats, l'horreur des blessures, la mort partout présente, elles relatent également la fraternité dans l'adversité, le poids des symboles, une certaine foi qui se croise avec la destinée. Ayant été infirmier dans les ambulances russes, Zinoview sait le prix de la vie. Au graphisme précis et détaillé, tel qu'on le voit par exemple sur une encre noire aquarellée et vernie sur papier (L'Hiver), il oppose souvent une approche plus simplifiée, réduite à des nuances subtiles et des masses expressives, comme ces deux soldats casqués, tenant leurs fusils, saisis dans des tons chauds (Conversation, cire et pigments à l'huile vernis sur bois) ou cet autre combattant qui se détache de toute sa force sur un fond bleuté assez abstrait mais donnant au tableau sa profondeur (Le Guetteur, 1915, technique identique). »
“L'Art du livre tactile” : « un remarquable ouvrage » (Le Litteraire.com)
Mis en ligne le 06/04/17 | #Description détaillée et louangeuse pour L'Art du livre tactile de la part de Jean-Paul Gavard-Perret sur le beau site Le Littéraire.com : « Catherine Liégeois comble un vide : son panorama non seulement fait le point sur le livre d'artistes qui fut plébiscité par beaucoup d'artistes principalement à partir du début du XXe siècle, mais ouvre le domaine de l'édition selon une ouverture qui fait du livre un “volume” à tous les sens du terme. (...) L'essayiste conclut son livre par des pages essentielles : “Le toucher par la pratique”. Après des “conseils” ludiques, elle verbalise les perceptions tactiles qui impulsent une nouvelle vie au livre et à la transmission qu'il peut “co-mettre” dans sa masse volumique. La vision originale d'un objet commun
— même s'il a tendance à se dématérialiser — jaillit d'un tel remarquable ouvrage dont la jaquette elle-même n'est pas innocente… » Pour lire la totalité de l'article, cliquer ici.
( proposition graphique initiale : Jean-Jacques Tachdjian )
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