Editions Alternatives

Venez découvrir les auteurs de nos plus récentes sorties au salon du Livre, Hall 1 du Parc des expositions de la Porte de Versailles, stand C 40. Ils dédicacent les : – VENDREDI 23 MARS : Maurice Lemoine (Le Venezuela de Chávez) à 16 h ; Frank Lalou (Je t’aime) à 19 h. – SAMEDI 24 MARS : Sébastien Ripari (La Liste des listes), à 12 h ; Diane Calvert et Solange Thiney-Duvoy (Mon cœur qui est maître de moi), à 14 h ; Jef Aérosol (VIP – Very Important Pochoirs), à 16 h ; les Carnettistes tribulants (Ce que j’aime en toi), à 18 h. – DIMANCHE 25 MARS : Luz (Rock’n’records), à 12 h ; Hassan Massoudy (Sindbad le Marin), à 16 h. – MARDI 27 MARS : Miss.Tic (Parisienne), à 17 h ; Dize (Dize “Warm Style Disaster”), Nasty (Nasty & Slice “Artistes en cavale”), et Zeky (Ombre chinoise) à partir de 19 h.

Le 14 février 2007, Le Quotidien du Médecin a eu un coup de cœur pour le dernier ouvrage des Carnettistes tribulants : « Très original en même temps que sentimental, Ce que j'aime en toi est une œuvre collective qu nous invite à la découverte de l'être aimé. Douze membres des Carnettistes tribulants (des artistes venus d'horizons divers et tous réunis par leur goût des tribulations à travers le monde, qui avaient déjà réalisé Banlieue nomade) ont réalisé chacun un carnet de voyage en intimité, pour dire à l'autre ce qu'il aime en lui. Les portraits et histoires se succèdent dans les techniques et styles – photos, aquarelles, collages – propres à chaque auteur, qui dévoile ainsi la part intime de sa vie avec une liberté totale. Des déclarations d'amour que chaque Valentin er chaque Valentine aimerait faire. » L'article est agrémenté par l'illustration ci-contre de Fred Déthier, extraite du livre.

Avril 2004, fermeture de la dernière mine du bassin houiller français en Lorraine. Vitoriano Garcia y travaillait depuis plus de 25 ans. Quand on lui a parlé de reconversion, il a demandé un stage de calligraphie et a troqué sa main “qui maniait quotidiennement le pic et la masse” pour celle “qui fait danser la plume sur le papier”. Son désir de rendre hommage aux “gueules noires” se concrétise avec la rencontre de Christian Hillebrand. Ils cosignent le dernier titre de notre collection Pollen D’un noir d’encre. L'illustration de droite – un hommage au père de Vitoriano Garcia – est extraite du livre. A signaler la réédition dans cette même collection du délicieux Poèmes du thé

Histoire d’en France, le dernier livre de Pierre Le Gall, séduit. L’Alsace (8 mars 2007) écrit ainsi : « Parmi ses milliers de clichés, celui que ses amis Robert Doisneau et Michel Tournier appelaient “l’homme invisible”, a choisi de présenter dans ce beau petit livre ceux qui, à ses yeux, dessinaient le mieux le portrait, plein d’humour et de tendresse, d’une France intemporelle. C’est un peu de la petite histoire de la France et des Français que nous content ces quelques 25 photos en noir et blanc. » Autre quotidien régional, Le Télégramme (4 mars), sous le titre L’ŒIL DU FLÂNEUR : « On relèvera d’abord le jeu de mot, dans le titre : si les images sont rapportées d’un peu partout en France, elles portent aussi la marque de l’enfance. De cet esprit d’enfance, espiègle et moqueur, qui remarque les travers des adultes et les pointe du doigt avec un franc sourire (…) Ces phots parlent d’elles-mêmes. Bien plus : elles s’appellent, se répondent, se renvoient l’écho à chaque double page. Pierre Le Gall a , en effet, juxtaposé des scènes cocasses à des kilomètres et des années de distance, mais qui ont la particularité de présenter des similitudes : des hommes aux prises avec des caisses ou des cageots, des enfants se balançant la tête en bas ou faisant le poirier contre un mur, des acheteurs de plantes de grande taille gênant ou intriguant les passants à la sortie du magasin… Car si la rue est son royaume, l’homme et la femme sont ses trésors. D’une ville à l’autre, d’une époque à l’autre, les mêmes gestes, les mêmes attitudes, les mêmes mimiques. Permanence de l’être humain, semble nous murmurer le photographe. Tous les points communs qui relient de façon subtile ces personnages si différents les font, en quelques sorte, participer à la même aventure de la vie. De bons moments d’humour à déguster lentement pour mieux savourer… » Sur Internet également, ce même livre a été remarqué : – L’Internaute magazine – Photosapiens.com – Actuphoto – Les pages de Fafa

La jolie revue bimestrielle Zen Attitude (mars-avril 2007) a beaucoup apprécié le récent ouvrage de Sounya Planes : « Pictogrammes ? Idéogrammes ? Calligraphies ? Les traces et signes de Sounya Planes échappent à toute définition mais s’inscrivent, tout en le prolongeant, dans le long cheminement de l’écriture, du dessin à la lettre. Expressions spontanées de son état psychique, ces traces sont la manifestation concrète d’un instant de son existence. Employant les matériaux habituels de l’artiste oriental – encre de Chine, ou peinture à l’eau –, le travail de Sounya reste inséparable d’un questionnement sur la nature et l’homme. Traces et Signes est le témoin de sa réflexion. Regroupant près de soixante œuvres plastiques, ce recueil s’accompagne d’une cinquantaine de textes autographes. “Tout ce que j’écris... ce sont les soupirs errants ici et là partout.” L’artiste donne ici en partage ses émotions et ses visions fugitives. Ces traces et ces signes, uniques et inimitables, portent un sens précis. “Je trace pour que cela devienne un signe, pour que la trace ne craigne le vide. Qu’elle anime les signes de l’être.” Sounya Whang-Planes, d’origine sud-coréenne, est la fille d’un peintre calligraphe. Après avoir été professeur d’arts graphiques à Séoul, jusqu’en 1994, elle vient s’installer à Paris pour poursuivre des études dans le domaine de l’art-thérapie et de la psychopédagogie. Son travail graphique est exposé régulièrement aussi bien à Paris que dans sa région d’adoption, l’Auvergne. »