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HOMMAGE AUX “GUEULES NOIRES”

Mis en ligne le 02/05/07 | #
 
D'Un noir d'encre, le dernier titre de la collection Pollen, raconte la vie des mineurs, un quotidien vécu par plusieurs générations descendues tous les jours au fond. Trois publications de l'Est de la France ont aimé cet ouvrage. – Vanessa Perciball écrit dans Le Républicain lorrain (20 avril) : d'un noir d'encre p 77« Il y a de la couleur, de la chaleur et de la vie dans les textes de Christian Hillebrand et les illustrations de Vitoriano Garcia. Dans ses poèmes en français et en patois, Christian, le documentaliste, transporte le mineur dans le fond, reproduit les sons, les odeurs, les sensations qu'il a connus. L'occasion pour l'entourage – ceux qui chaque jour laissaient partir la peur au ventre un père, un frère, un ami dans les abîmes de la mine – de découvrir l'univers du charbon. Une façon aussi de laisser une trace parmi les jeunes générations pour qu'elles n'oublient pas d'où elles viennent. » – Mathieu Villeroy, sous le titre UN LIVRE AU NOM DE NOS PÈRES, explique dans l'hebdomadaireLa Semaine(12-18 avril) : « [T[L'éditeur parisien a même accepté de jouer le jeu du patois, dont Christian a étudié les mots utilisés au fond. “Au départ, nous n'osions pas. Alternatives a soutenu cette idée.” Parmi les illustrations, on en retiendra deux qui tiennent les auteurs particulièrement à cœur. Celles réalisées à partir d'une photo de leurs pères. Tous deux mineurs de fond. An nom de nos pères, c'est à eux que le livre est dédié. Le témoin es transmis.]T] » – L'Est Républicain (15 avril) décrit ainsi l'ouvrage : « La dernière mine française a été fermée le 23 avril 2004. Vitoriano Garcia a travaillé le charbon comme son père et son grand-père. Christian Hillebrand, 47 ans, issu lui aussi d'une lignée de minieurs, est enseignant. Il a participé à la création du Musée de la mine de Wendel et écrit. De leur rencontre est né D'Un noir d'encre où les dessins répondent à la poésie des mots. »
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“CHARLIE-HEBDO” AIMENT LES POCHOIRS

Mis en ligne le 25/04/07 | #
 

Dans son numéro du 11 avril 2007, Charlie Hebdo, l'hebdo satyrique qu'on ne présente plus, a, sous la bienveilante plume de Willem, notre Hollandais préféré, choisi de présenter deux de nos récentes parutions : Professeur Choron« Même les bienfaiteurs de l'humanité que sont les pochoiristes doivent manger. Après avoir embelli les murs de nos villes gratuitement (même au risque d'amendes) on les voit de plus en plus dans des galeries d'art et dans les livres, ce qu peut dénaturer un peu cette mode d'expression, mais bon. Aux éditions Alternatives deux livres de deux pionniers du pochoir VIP Very Important Pochoirs de Jef Aérosol, qui a pochoiré à peu près tout le monde qui compte, de Gandhi, Jimi Hendrix, Godard, Bessie Smith à Choron. (voir ci-contre) Miss.Tic aussi, je préfère sur les murs que dans un beau livre, mais pour les jours de pluie il ya donc Parisienne avec plein de photos in situ de ses images et textes (“Je ne croyais à rien mais je n'y crois plus”). Préfacé par la galeriste Lélia Mordoch.»


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Etat-critique.com, Bulbe.com et Linternaute vibrent pour “VIP”

Mis en ligne le 11/04/07 | #
 

Trois articles sympas et bien ficelés sur le web à propos de VIP, celui mis en ligne par Etat.critique.com, celui de Bulbe.com et en fin celui de Linternaute : « Les pochoirs de Jef Aerosol (voir son autoportrait à droite) méritent amplement leur titre de VIP (Very Important Pochoirs). L’artiste revisite toutes les figures de stars et d’icônes que nous aimons depuis toujours. Élevé aux Clash, lustré au British punk rockers, enivré par la Factory, éblouit par Warhol, la personnalité de cet arpenteur urbain se révèle au fur et à mesure des portraits qu’il réalise. Chacune de ces figures, exécutée au pochoir sur les murs, conjuguent émotion, humour et respect, aussi bien du sujet que de l’environnement. Leurs emplacements dans les paysages urbains – murs, portes, vitrines – leur confèrent une aura de visiteurs étranges, témoins silencieux de nos activités et rappel de nos idéaux. » - La suite en cliquant sur : http://www.jowebzine.sites-awc.fr/... - Le lien sur Bulbe.com - Celui sur Linternaute


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VERY IMPORTANT : Jef Aérosol en exposition à Paris

Mis en ligne le 05/04/07 | #
 

Venez découvrir le nouveau livre de Jef Aérosol VIP Very Important Pochoirs et les originaux qui sont reproduits dans l'ouvrage à la galerie Anne Vignal à Paris (jusqu'au 2 juin 2007). C'est superbe !


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Un bon Salon du Livre 2007

Mis en ligne le 02/04/07 | #
 
Le 27° Salon du Livre de Paris qui vient de s'achever a été un franc succès pour les éditions Alternatives, et ce malgré la suppression d'une journée d'ouverture. Nos auteurs ont été à la rencontre du public en dédicaçant leurs ouvrages comme, par exemple, Sébastien Ripari ci-contre, avec La Liste des listes et Jef Aerosol pour VIP/Very Important Pochoirs, photo ci-dessous. Le pays invité d'honneur du Salon était l’Inde (nous avons déjà sortis deux ouvrages sur ce pays : Enfants modèles et Les jeux de Siva). Quoi de plus symbolique pour illustrer notre page d'accueil qu’un portrait de Gandhi pour représenter la deuxième nation la plus peuplée de la planète ? Cette œuvre de Jef Aérosol est extraite de son livre VIP/Jef Aerosol au Salon du Livre Very Important Pochoirs que nous venons de sortir. Artiste pionnier de la première vague street art du début des années 80 (avec ses comparses Epsylon Point, Speedy Graphito, Mesnager, Miss.Tic, Blek, etc.), Jef Aérosol a laissé sa trace (c’est lui qui “signe” ses réalisations de cette mystérieuse flèche rouge) sur les murs de nombreuses villes (Paris, Lille, Chicago, Londres, Venise…) et a montré ses travaux dans de nombreuses expositions personnelles et manifestations collectives. Jef Aérosol avait donné son titre au tout premier ouvrage consacré aux pochoirs de rue Vite Fait Bien Fait qu’Alternatives avait sorti en 1986 et dont il avait réalisé la couverture.
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La presse dit du bien de
“Quelques fleurs du mal”

Mis en ligne le 30/03/07 | #
 

Quelques fleurs du Mal Dans leurs numéros du 17 mars 2007, Le Dauphiné et Le Progrès consacrent une longue analyse au dernier titre de notre collection Grand Pollen : « Deux ans d'un travail long et minutieux. C'est le temps qu'il a fallu à la calligraphe thoirysienne Sophie Verbeek pour réaliser Quelques fleurs du mal. Elle explique : “J'ai tout de suite été touchée par son authenticité, sa vérité, son côté mystique. Je me suis nourrie de cette poésie pendant plusieurs mois.” Ainsi, les lecteurs de “Une Charogne” pourront presque sentir cette “pourriture” et entendre “les mouches” bourdonner “sur ce ventre putride” grâce à la plume de la calligraphe qui trace, cette fois, des mots illisibles "pour créer une émotion”, pour évoquer les entrailles constellées d'insectes. “Mais je ne suis pas obsédée par l'affreux”, s'empresse de préciser Sophie Verbeek. Des pages beaucoup plus colorées s'intercallent, avec des œuvres composées de bois, de papiers frottés, de dorures, d'aquarelle. »
Letterniews, deuxième trimestre 2007, relève : « L'originalité de cette nouvelle version réside dans l'approche calligraphique de l'illustration. En résulte quelques 42 calligraphies d'une forte puissance évocatrice accompagnant les 36 poèmes choisis par Sophie Verbeek “de manière instinctive et viscérale.” »
Le bimestriel Mémoire des Arts (mars-avril 2007) conclut : « Sophie Verbeek, l'auteur des calligraphies, fait le choix des poèmes de Charles Baudelaire à l'occasion des 150 ans de la parution des Fleurs du Mal. Elle s'est longtemps imprégnée de la lecture de ce recueil baudelairien. Une approche voluptueuse et personnelle. »


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