Editions Alternatives

Le Salon du Livre de Paris vient de s'achever en progression par rapport au très médiocre millésime précédent. Merci aux nombreux lecteurs et amis venus nous rendre visite sur notre stand ainsi que nos auteurs qui ont dédicacé avec bonne humeur leurs dernières parutions.

Dans le même numéro de Mémoire des Arts, une analyse pertinente de la réimpression de Cher Maître et Rainer Maria Rilke et Kitty Sabatier :

Dans son numéro de février, voici une reproduction de l'article consacré au titre de Bernard Robert, Les Instruments de l'écriture :

 Petite chronique sur Naître en Chine dans le trimestriel Chine plus (décembre-janvier-février) : « L'ethnologue Françoise Chabert dresse la liste des dégâts collatéraux consécutifs à l'application de la loi de l'enfant unique, ainsi que celle des détournements. Avec photos de Qiang Zhang “épreuves à l'appui”. »

Bibliobs.com consacre un long papier à Naître en Chine, écrivant notamment : « Que savons-nous de la Chine, et plus particulièrement, de la politique de l'enfant unique? Ce bel ouvrage aux photos opportunément choisies (le monde rural, les slogans inscrits sur les murs, car «traditionnellement les informations politiques, culturelles, scientifiques... se lisent sur les murs », des enfants et des écoles...) vient combler ces lacunes d'autant que le texte fort édifiant de Françoise Chabert accompagne les portraits en noir et blanc: il y a en effet peu de photos sans personnages. »

L'hebdomadaire La Tribune (2 octobre) consacre deux colonnes au livre de Françoise Chabert et Qiang Zhang :

Le livre de Vincent Vidal, Sex Toys Story, émoustille les médias :

Dans Charlie hebdo (la veille de Noël...), le crayon chaleureux du fidèle Willem donne ceci :

 Peu avant les fêtes de Noël également, Brigitte Lahaie avait choisi Sex Toys Story dans Ici Paris en même temps qu'un anneau vibrant et des bougies de massage parfumées....

Le mensuel suisse Profil Femme (décembre) fait une analyse plus... fouillée.

 Même titre recommandé par le bimestriel (janvier-février) Santé Zen.

T3 Supplément (décembre) propose « un peu de lecture » en choisissant aussi Sex Toys Story.

 Sur Cosmopolitan.fr, chaude recommandation : « On a toujours été une grande fan de toys Sstory. Mais quand Vincent Vidal se penche sur un Sex Toys Story, le résultat est tout bonnement explosif ! Dans ce petit livre ludique, il retrace l'histoire du vibromasseur, en images s'il-vous-plaît. On apprend ainsi et entre auters que l'objet existe et est utilisé depuis plus de 2000 ans ! Une saga haute en couleur et jubilatoire qui a su éviter l'écueil de la vulgarité. Un livre à offrir à son compagnon de jeu pour lui faire comprendre qu'on aimerait bien ouvrir le coffre à jouet plus souvent... »

Interview très franc de l'auteur du livre sur le site Wikine - La santé au féminin : http://www.wikine.fr/interview-de-vincent-vidal-auteur-de-sextoys-story_1786.html

 Site plus spécifique, AnneLolotte et ses sextoys  (lire leur chronique datée du 14 novembre) : http://softparis.typepad.com/annelolotte/2008/11/index.html

La toute récente parution de notre jeune auteur Frank Sandevoir, Y a écrit kwa ?, a suscité l'attention de plusieurs supports : 

Le mensuel Muteen (décembre) conclut (voir ci-contre) son papier par : « Idéal si vous aimez le graffiti sans jamais avoir osé demander ce que signifient caps, posca, phase, repasser, flop ! »

L'excellent trimestriel spécialisé Graff it ! (décembre-janvier-février) a mis 4 étoiles (voir reproduction à droite) au même titre en soulignant que « Richement illustré, il explique de manière simple et efficace un début de méthodologie que l'on avait pas encore vu dans la multitude d'ouvrages publiés sur le vaste sujet des graffitis. »

Sur le site Madmoizelle, la rédactrice a bien apprécié Y a écrit kwa ? concluant par : « Alors demoiselle, tu sais ce que veut dire foyer ou tu aurais bien besoin de ce bouquin dans ta bibliothèque ? »

Le quotidien L'Alsace (29 novembre) chronique ce même livre en titrant LE GRAFFITI ET SES CLÉS : « Ce livre d'un jeune graphiste vous apportera toutes les clés pour décrypter cet art de la rue encore trop souvent décrié, parfois même associé au vandalisme, et qui pourtant, au-delà des apparences, répond à des codes, des rites et des règles précises. »