Editions Alternatives

Jolie présentation de Art of Skate dans le très beau bimestriel Artension (novembre / décembre) sous la plume – on devrait plutôt écrire « clavier », non ? – de Joëlle Péhaut... et bravo pour la photo de la petite fille :

Les journaux continuent à s'intéresser à Ma cuisine anti-inflammatoire :
– l'hebdomadaire Elle (21 novembre) propose à ses lectrices quatre recettes extraites du livre de Marianne Magnier Moreno, sa salade de lentilles tièdes, tofu fumé, ses maquereaux vapeur à l'escabèche, sa mousse au chocolat et son curry de poulet, patate douce, brocoli :

– le quotidien Sud Ouest (17 novembre) :

Paru au printemps dernier, Ma cuisine anti-inflammatoire, continue à séduire les médias :
– le trimestriel Saveurs nutrition (octobre/décembre) : « Les études l'ont montré : le sucre raffiné, les aliments ultra-transformés, les produits laitiers favorisent l'inflammation. Et qui dit inflammation dit douleurs. On sait aussi qu'une assiette bien pensée peut les apaiser, mais par où commencer? En lisant l'introduction, on trouve déjà toutes les réponses ! Comment la cuisson à basse température est la solution qui évite la formation de toxines, ou encore comment déceler les aliments inflammatoires pour soi et par quoi les remplacer... On suit alors l'autrice dans sa cuisine, pour découvrir 50 recettes simples à réaliser et gourmandes. »

– Autre trimestriel paraissant à la même période que le précédent, Mieux pour moi : « Après avoir fait l'école Ferrandi, Marianne Magnier-Moreno a travaillé dans de grands restaurants parisiens avant de s'initier à New York à l'art du cheesecake... Mais de fortes douleurs au dos ont eu raison de l'enthousiasme de la jeune cuisinière. Cest une ostéopathe qui l'a mise sur la piste de l'inflammation liée à l'alimentation. Commençant par éviter les laitages, Marianne Magnier-Moreno a senti son état s'améliorer jusqu'à mettre au point une cuisine alternative alliant plaisir gustatif et santé qu'elle présente dans Ma cuisine anti-inflammatoire. »

– Dans son numéro de novembre, le mensuel Psychologies consacre trois pages à
« La cuisine anti-inflammatoire un élixir de santé ». Le curry de poulet, brocoli, patate douce, noix de cajou et le riz au lait de coco, deux recettes extraites du livre de Marianne Magnier-Moreno sont offertes aux lectrices/lecteurs.

C'est ce qu'écrit Maxime Delcourt dans le bimestriel Graffiti art (octobre/ novembre) à propos de Renaud des mots et des images. On rougit du compliment !

Autre journal qui a flashé sur le livre, l'hebdomadaire La Marseillaise (4/10 octobre) :  « Grêce à vingt chansons, illustrées par des artistes contemporains, Renaud, fidèle défenseur de la cause des enfants, monte sur la scène d'un album, que le Père Noël garde bien au chaud dans sa précieuse hotte pour les pitchouns et les grands. Dès que le vent soufflera (et ici le mistral gagnant se déchaîne), descendez de chez vous pour boire le sirop de la rue. Vous le siroterez avec d'autant plus de plaisir que tous les droits d'auteur de ce bel ouvrage seront intégralement reversés a l'Unicef. À votre bonne santé, bienveillants lecteurs ! »

Le trimestriel Fémitude (septembre/novembre) apprécie avec régularité notre production. Dans son dernier numéro c'est Ma cuisine anti-inflammatoire – et la recette du saumon au four salade d'agrumes de Marianne Magnier-Morno – qui a retenu l'attention du magazine.

Autre trimestriel Mes routines bien-être (octobre/décembre). « APAISANT.
L'inflammation est à l'origine de nombreux maux chroniques tels qu'eczéma, acné, migraines, arthrose... Pour la résorber, il faut s'attaquer à son origine, qui est aujourd'hui souvent liée à l'alimentation moderne, trop riche en blé et en produits
laitiers notamment. Marianne Magnier-Moreno enseigne la cuisine anti-inflammatoire à i'école Chefsquare à Paris, et nous dévoile, accompagnée du Dr Sabrina Carlier, endocrinologue, les grands principes à suivre : aliments à éviter, à réduire, les types de cuisson à privilégier... Elle nous propose, en outre, 50 recettes simples et équilibrées à réaliser au quotidien, sans oublier les gourmandises sucrées, telles que le "No-cheese cake", et sa pâte à tartiner,
à tomber ! »

Banksy continue bien évidemment de susciter l'intérêt et la curiosité des médias. Comment Banksy revisite l'histoire de l'art, le dernier ouvrage paru sur la méga star anglaise du street art ne fait pas exception :
– Graffiti Art (bimestriel d'octobre/novembre) : « On ne dira jamais à quel point l'art actuel dialogue avec les classiques des siècles précédents, revisitant à sa manière des portraits et des décors inscrits depuis longtemps au panthéon populaire. En 2019, c'était déjà tout le propos de Sous le street art, le Louvre ; quand l'art classique inspire l'Art Urbain, où Cyrille Gouyette expliquait tout ce que doivent Ernest Pignon-Ernest, Levalet, Blek le Rat ou encore Miss.Tic aux grands noms de la peinture. Dans cet ouvrage, Bansky figurait en bonne place. Il est donc logique que l'amour de l'Anglais pour les chefs-d'œuvre du passé soit décortiqué au long cours, ne serait-ce que pour comprendre comment ce demier a pu revisiter La Joconde de Léonard de Vinci, les Spot Paintings de Damien Hirst, La Jeune fille à la perle de Vermeer ou Le Radeau de La Méduse de Géricault. Un livre aussi nécessaire qu'éclairant ! »
– Le Devoir, le quotidien québecois (21/22 septembre) : « Le célèbre graffeur anonyme Banksy demeure un mystère. Mais au diable les rumeurs ! Alors que les conjectures les plus folles sur sa véritable identité continuent de faire régulièrement les manchettes, le critique d'art britannique Kelly Grovier s'intéresse, dans son nouvel ouvrage, aux tableaux des grands maîtres qui ont inspiré l'artiste urbain. La Joconde de Léonard de Vinci, La jeune fille à la perle de Vermeer, Le radeau de la Méduse de Géricault ou les spot paintings, célèbres grilles de points colorés de Damien Hirst, autant de chefs-d'oeuvre qui ont permis à Banksy de créer toute une myriade d'images iconiques. On n'a qu'à penser à son graffiti de Napoléon Bonaparte sur un cheval enroulé dans une cape rouge, tiré du célèbre tableau Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard (1801) du peintre Jacques-Louis David. Classicisme et modernité, la double approche du critique permet une analyse approfondie des œuvres majeures de l'histoire de l'art tout en s'intéressant à la carrière d'un artiste contemporain d'exception. »