Editions Alternatives

... ou du moins certains d'entre eux : ils seront en compagnie de l'auteur de Alter Ego, Nicolas Gezley, pour le lancement de son livre. Seront présents Lek & Sowat, Monkey Bird, Ratur & Sckaro, Opera et Frais au Grand Jeu sur la péniche Fluctuart dédiée au streeet art.

Fluctuart
2 port du Gros Caillou 75007 Paris
le samedi 16 novembre de 17 à 20 h
Metro : Invalides, Concorde
Entrée libre

Alter Ego, qui met en valeur le travail de couples de street artistes, a retenu l'attention de :

– Graffiti Art (novembre/décembre), qui reproduit sur sa couverture le tableau Devolved Parliament de Banksy qui vient de battre des records de vente, écrit :
« Le street art, ce n’est pas simplement un art individualiste, exercé à l’abri des regards, en totale solitude. C’est aussi, parfois, l’alliance de deux visions, de deux démarches, de deux esthétiques ; l’union de deux artistes qui, le temps d’une œuvre ou plus, décident de mêler leurs talents, d’accorder leurs gestes et d’avancer ensemble en quête d’une nouvelle énergie créatrice. Fidèle à son sous-titre, Alter Ego propose ainsi aux lecteurs de plonger dans les coulisses de trente duos, célèbres ou non : Dabs & Myla, Ella & Pitr, Graphie Surgery, Herakut ou encore Velvet & Zoer. Avec, comme fil rouge, cette identité commune qui semble à chaque fois se dégager de ces oeuvres réalisées à plusieurs mains.»

– de l'excellent site spécialisé Streep.fr qui fait l'éloge du titre de Nicolas Gezley :
« S’il existe d’abondants livres sur l’art urbain, moins nombreux sont ceux véritablement complets, avec une volonté de s’exprimer sur un sujet autrement que par de belles illustrations. Alter Ego, en vente en librairie depuis le vingt-quatre octobre, fait partie de ces raretés. [...] Un livre intelligent, bien illustré qui complète un sujet peu étudié. ». L'article en entier est à découvrir ici.

C'est vrai que c'est la pleine saison de la cueillette aux champignons – bien que Les 4 saisons du champignon prouve que l'on peut en consommer toute l'année. L'ouvrage de Linda Louis suscite en effet un véritable engouement tant dans la presse écrite que sur le Web :

– dans Next.Liberation.fr (19 septembre), Jacky Durand, le truculent journaliste culinaire du quotidien, décrit une « virée forestière en compagnie de Linda Louis et de sa terrine de pied-de-mouton façon foie gras », avec, évidemment, un titre « à la Libé » (“Les champignons, c'est le palais des spores”). Et ça commence plutôt bien : « Chère Linda Louis, vous permettez, s’il vous plaît, que l’on vous appelle Linda. Depuis le temps que vous nous régalez sur le papier et aux fourneaux, on se permet enfin de s’adresser à vous pour vous dire tout le bien que l’on pense de vos petites fugues sauvages et culinaires. ». Le journaliste a eu un véritable coup de cœur pour son livre : « On n’avait pas connu un tel régal mycologique et gastronomique depuis la somme de Régis Marcon, le chef étoilé de Saint-Bonnet-le-Froid, pétri d’humanité et de naturalité. Tout à la fois guide de cueillette et plaisir des recettes, votre livre est à la mesure du vaste monde des champignons, comme l’écrit Jean-Manuel Martin, président de la Société mycologique du Val de Cher, dans la préface où il raconte que l’homme allumait ses premiers feux grâce à l’amadouvier (fomes fomentarius). » L'article complet est à lire ici.

– Autre site, À vos marque tapages.fr, dans lequel Christine Le Garrec écrit le 4 octobre : « Linda Louis vous propose [...] une quarantaine de recettes aussi appétissantes qu’originales, aux noms évocateurs et poétiques comme autant de promesses de bonheur pour vos papilles gustatives : biscuits aux chanterelles, pickles de pieds de mouton, croque-monsieur aux trompettes de la mort, taboulé aux tricholomes de la Saint-Georges, tacos à l’effiloché de pleurotes, couscous vert aux boulettes de russules verdoyantes… Allez, enfilez vos bottes, un petit tour dans la forêt s’impose, non ?! ». À découvrir en cliquant là.

– Rustica Hebdo (11 au 17 octobre) : « Vive la glane ! Sauvages ou cultivés ? Peu importe, Linda Louis aime tous les champignons. Elle nous les présente et nous donne 40 recettes. Un régal ! »

– Pleine Vie (mensuel de novembre) : « Fondants ou croquants, les champignons sont évidemment les stars de l’automne, même si, dans son livre, Linda Louis nous invite à les cuisiner toute l’année. Leur côté graphique et leur goût inimitable offrent une variété infinie de créations culinaires aussi bien salées que sucrés, voire les deux. Découvrez ces 40 recettes, dont certaines très originales ! »

– Éco Savoie Mont Blanc (octobre/novembre) : « Joliment illustré, cet ouvrage vous invite à un passionnant voyage en forêt. À la fois guide de cueillette et de cuisine, il vous aide à identifier une soixantaine de champignons comestibles, dépoussière les idées reçues, et fournit les conseils de préparation et de conservation pour profiter au mieux de votre récolte. De retour à la maison, troquez vos bottes contre un tablier et choisissez parmi 40 recettes gourmandes, créatives, veggie et très actuelles celle qui saura sublimer le contenu de votre panier ! »

– Télé 2 semaines (12 au 25 octobre) propose quatre recettes tirées du livre, le feuillleté “œuf coulant” aux grisets et aux lactaires, le gratin dauphinois aux cèpes, le chou-fleur rôti, champignons bruns de Paris et bleu d'Auvergne et la salade de mâche et de chou rouge aux champigons.

– France Inter (6 octobre). Lors de son émission On va déguster, François-Régis Gaudry recevait Linda Louis et citait la parution de son dernier titre chez nous qu'il trouvait « formidable »..

– Délices de Femmes d'Aujourd'hui (23 septembre) propose des « d'autres astuces et recettes » à piocher dans Les 4 saisons du champignon.

L'intérêt des médias pour Ma rue par Achbé ne s'est pas arrêté pendant la période estivale, bien au contraire. « La crayeuse de rue » a suscité l'attention de :

– L'Humanité – qui avait déjà consacré un article à la sortie du livre (La voix des rues de Montmartre) –, dans son numéro du 13 août, revient sur sa démarche. Hugo Moringue écrit notamment ceci :
« Achbé se décrit comme “amoureuse” et “très fière” de son arrondissement. Elle le considère comme “très engagé grâce au fort réseau associatif qui y est présent”. Ce dernier constitue un “cadre rassurant” dans lequel elle peut créer sans appréhensions. C’est donc chez elle que se tient sa nouvelle exposition, organisée par la mairie du 18^e arrondissement, au square Louise-de-Marillac, jusqu’à septembre. Avec la mise en avant de son travail, les pouvoirs publics espèrent que les habitants du quartier vont se réapproprier ce square largement délaissé. Elle souhaite ainsi que les familles “ré-investissent” cet endroit, “l’art étant un moyen de rassembler.” »

– Dans son numéro de cet été, le trimestriel Apollo magazine souligne : « devenue star des réseaux sociaux, “Ma Rue par Achbé” révèle régulièrement, plus que des mots, de véritables réflexions tour à tour teintées d’humour, de second degré, d’engagement féministe et politique. Des mots d’une infinie poésie surtout, de celle qui rend la vie plus belle. “Ma Rue par Achbé” est l’histoire d’une femme comme d’autres, celle d'une résilience devenue œuvre d’art. Une œuvre qui fait aujourd’hui l’objet d’un grand “petit livre” résumant le meilleur de ses créations. La vie d’aujourd’hui ne serait pas tout à fait la même sans les mots d’Achbé qui n’a pas son pareil pour nous mettre les points sur les i. Et pour rendre beau, si beau, le bitume parisien. »

– Le mensuel local Le 18^e du mois (septembre) revient sur son ouvrage et sur l' « expo photo des dessins d'Achbé est accrochée sur les grilles du square Louise de Marillac tout le mois de septembre. L'artiste y proposera une animation le samedi 14 après-midi.* »

* Claudie Baudry vous donne rendez-vous ce jour-là – non ce n'est pas encore trottoir ! – de 15 à 17 h au square en précisant : « Viens [y] faire ta déclaration d'amour » ! Ce n'est pas un beau programme, ça ! Son invit sur Instagram : https://www.instagram.com/p/B1-yaN0oXY8/

Trois références pour le Guide du Paris alternatif :

– Marie Claire Idées (septembre/octobre) :

« ALTERNATIVEMENT VÔTRE.
Plus de 200 adresses dans la capitale et le Grand Paris pour vivre et consommer autrement en ville. Un Paris sous bonne influence porté par des valeurs fortes et animé d'ateliers DIY, de boutiques solidaires et équitables, de lieux culturels alternatifs, de jardins partagés, de primeurs et restaurants en lien avec les producteurs locaux. »

– L'auteure du livre, Marie-Anne Brushi, a été interviewée par Sophie Scarpula lors de son émission La Vie en bleu diffusée le 21 août sur France Bleu Paris qui a présenté l'ouvrage, « un manuel d'immersion dans la mouvance écolo de la capitale. »

– Voici (16/22 août) :

C'est une partie de la conclusion du texte publié sur le blog de Thierry Maricourt qui termine son anlyse du Marinus & Marianne ainsi : « Marinus n’hésita pas à se moquer de Hitler et de Staline (“étroitement liés dans l’accomplissement d’un projet commun” selon le commentaire de Gunner Byslow à propos d’une œuvre de Marinus en une de Marianne le 28 février 1940), en priorité ses boucs-émissaires, et ses compositions firent mouche. Son humour est grinçant, jamais désuet. Il n’est pas sans évoquer certains photomontages de Hara-kiri, dans les années 1970, ou, plus récemment, ceux des Casseurs de pub. » L'intégralité de son texte est à découvrir ici.

À noter le long article que Le Dauphiné du 28 juillet a consacré à l'Exposition Marinus, photomontages satiriques 1932-1940 à Grenoble pour laquelle Marinus & Marianne sert de catalogue officiel.