Editions Alternatives

... dixit le mensuel GQ, puisqu'il figure dans leur numéro de septembre 2011. Voici la présentation, sous le titre “Pierre Jancou, très bon vivant” (voir ci-contre) que fait le magazine de son premier ouvrage Vin vivant :

« La seule préoccupation de Pierre Jancou, c'est la vie celle des produits qu'il donne à manger a des êtres vivants dans son restaurant qu'il a justement nommé Vivant. Ici, si tous les produits sont sains, on ne verse pourtant pas dans la cuisine macrobiotique pour moineau chétif, au contraire. Dans un décor d'oisellerie début XX^e, cet Italien d'adoption aux bras tatoués donne plutôt dans le registre bonne chère cochon basque, foie gras à la cerise, pied de porc broyé ramassé en saucisse infernale, purée douce comme une mamma sicilienne, ganache de chocolat légèrement glacée. De quoi donner du corps à ses hôtes pour les préparer à partager sa passion les vins “vivants” (et non “nature”). Puriste avéré, et cuisinier autodidacte (malgré son court passage tant revendiqué chez Alain Passard), c'est en totale liberté qu'il s'invente écrivain pour les éditions Alternatives. Le nom du livre ? Vin vivant, une histoire d'hommes qui font des vins pour mieux célébrer la vie, bien sûr. »

Autre présentation du livre sur le site Les restos.com.

Nombre de journaux font feu de tout bois pour La cosméto' au naturel :

– Le trimestriel Fémitude (juin/ août 2011) consacre un dossier de dix pages  intitulé “18 astuces naturellement anti-âge” dans lequel Laurence Dupaquier, auteure de La cosméto' au naturel, intervient au titre de « spécialiste de la cosmétologie naturelle ». Son ouvrage y est, bien entendu, présenté. 

–  Avantage (22 juin) : « Cheveux, soins corps ou baume à lèvres, tout y est ! ».

– Le trimestriel Fémi-9 (juillet/août) : « Vous cherchez une alternative naturelle au produit de beauté du commerce. Avec les recettes proposées par Laurence Dupaquier dans La cosmeto au naturel, vous pourrez rapidement fabriquer votre crème de jour ou vos produits de maquillage. Les recettes sont simples et les explications très claires. Elles peuvent donc être réalisées par les débutantes. »

–  Pleine vie, mensuel de juillet : « Ce petit livre est une mine d'infos pour réaliser vos propres cosmétiques maison avec des ingrédients faciles à trouver dans le commerce. »

– Le blog de Moon.

– Un battement de Sil.

– Le bimestriel Femme majuscule (juillet/août) : « Les vacances vous laissent un peu plus de de temps pour cuisiner ? C'est le moment de vous mettre à la cuisine cosméto et de concocter vos produits de soin. De la crème de jour au maquillage, en passant par les soins du corps, des cheveux et des produits pour le bain ou la douche, voici un recueil d'une cinquantaine de recettes simples à réaliser. Les ingrédients ? Des huiles végétales (amande douce, jojoba et noyau d'abricot), des plantes, des fleurs séchées, des poudres d'argile, du rassoul, du miel, du sel. C'est ludique, parfumé et vraiment efficace. »

– Le quotidien L'Alsace (9 juin) : « Loin d'être un recueil de “recettes de grand-mère”, cet ouvrage rassemble des recettes modernes et simples a réaliser qui gardent l'authenticité des produits que la nature met a notre disposition. »

La librairie des Mille Feuilles située à La Marsa, au nord de Tunis, a joyeusement lancé Artocratie en Tunisie le 25 juin 2011, lors d'une très belle Night in Tunisia.
Rhabillée des affiches-portraits du livre, la librairie organise jusqu'au 2 juillet une exposition reprenant l'incroyable aventure du premier InsideOut, le nouveau projet de JR. Les six photographes du livre (de gauche  à droite : Hela Ammar, Wissal Dargueche, Rania Dourai, Aziz Tnani, Hichem Driss, et Sophia Baraket, ici en compagnie de Karim Ben Smaïl et Patrice Aoust,  les éditeur du livre – troisième et quatrième à partir de la gauche) étaient évidemment présents, tout comme Slim Zeghal (à gauche), initiateur du projet et, via Skype, l'autre initiateur Marco Berrebi, à Genève, et JR à New York.
Les auteurs du livre ayant renoncé à leurs droits au profit de l'ONG Tunisie Unie, un premier chèque de 3 000 dinars (1 500 €) leur a été remis lors de cette chaleureuse soirée. 

(Photos Mylène Berrebi)

À l'initiative de l'auteur de Descente interdite, une pétition circule demandant que les books (photos + carnets de croquis) des tagueurs, qui avaient été saisis en 2001 lors de l'arrestation de 56 graffitis-artistes – à la demande de la RATP, de la SNCF, les transports lillois et lyonnais – ne soient pas détruits mais remis aux Archives nationales.

Costa Gavras, Virginie Despentes, Vincent Cassel, Rockin' Squat, Oxmo Puccino, Karim Boukercha etc. ont déjà signé cette pétition.
Alternatives s'associe à cette démarche déjà relayée par Le Journal du Dimanche du 19 juin 2011 (image ci-dessus), Libération du 20 juin (voir ci-contre), France Inter du 23 juin lors de l'émission 5/7 Boulevard présentée par Philippe Colin.

Pour signer : Pétition : Graffiti, une mémoire en danger

– Voici une présentation de Descente interdite qui nous fait rougir de plaisir ! Éric Fournet le présente ainsi dans le bimestriel Innercity (juillet/août 2011) :  « S'il n'y a qu'un livre graffiti a acheter cette année, c'est bien celui de Karim Boukercha. Descente Interdite est en effet le livre le plus ambitieux et le plus réussi jamais écrit sur le graffiti dans le métro parisien ! Cette s omme de 400 pages et 1 200 photos, regroupant une multitude de témoignages sincères, drôles et parfois émouvants, retrace l'histoire de graffeurs et tagueurs qui depuis près de 30 ans arpentent stations, tunnels et dépôts. À acheter les yeux grands ouverts ! Interview d'un auteur épuisé après 10 ans de recherches et 10 mois d'écriture... »

– Le Figaroscope (1^er juin) présente ce même titre : « SOUS LES PAVÉS, LES TAGS. Quand Karim Boukercha, ancien graffeur, troque sa bombe contre une plume, le résultat est explosif ! Il offre un ouvrage de 400 pages ou l'on découvre les œuvres illégales du métro parisien, mais aussi des témoignages. »

– Jean-Louis Basse (Europe 1) a reçu Karim Boukercha le 6 juin à la fin de son émission Bienvenue chez Basse.

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– Et Canal Street.TV y va aussi de son interview de Karim Boukercha le lendemain 7 juin.
 
– Rue 89 parle du livre et de son auteur à l'occasion de la non restitution par la Justice de leurs originaux aux tagueurs. Le 21 juin, le jugement civil sera rendu : on saura alors si les 57 tagueurs poursuivis par la RATP et la SNCF devront payer d'énormes indemnités pour dégradation de trains et métros dans les années 2000.

Premières retombée médiatiques pour Descente interdite :

– FR3 Île de France a invité Karim Boukercha, son auteur, le 25 mai 2011 ; 

– dans le Le Parisien  du 23 mai, Julien Solonel décrit ainsi l'ouvrage : 

« Ce livre va rappeler de mauvais souvenirs a la RATP. Écrit par Karim Boukercha, lui-même ancien adepte de la bombe de peinture, Descente interdite retrace l'histoire du tag dans le métro parisien, des prémices, au début des années 1980, a aujourd'hui. « Jusqu'en 1984, les graffitis avaient toujours un contenu politique ou autre », raconte Karim, qui a lâché l'aérosol pour la plume. Venus de New York, les premiers tags recouvrent les rames de la ligne 8 avant de « se transmettre comme un virus », poursuit l'auteur, pour qui les graffs « sont un moyen d'expression et de reconnaissance ». Illustré de plus de 1 200 photos et documents, pour la plupart inédits, Descente interdite revient aussi sur la guerre que mène la RATP contre les tags. En 1992, la Régie lance le plan Reconquête du territoire, avec un budget de 80 millions de francs (12 M€) par an pour protéger ses métros. Les nouvelles peintures des rames, des techniques de surveillance plus évoluées ou des enquêtes rendent les tags moins visibles. « En 2011, même si l'efficace politique de nettoyage ne permet pas de le constater, on peint et on tague toujours autant », relativise Karim Boukercha dans le chapitre « Le métro ne meurt jamais. » La preuve en images. »