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LES ARCHIVES
 
actu : presse

DE TOUTES LES COULEURS

Mis en ligne le 31/05/07 | #
 

Le quotidien Sud Ouest du 31 mai 2007a consacré une demi-page à la “régionale de l'étape”, la bordelaise Marie-Pierre Servantie à l'occasion de la sortie de Chromo-architecture. Alain Bernard écrit : « Elle inventorie dans ce livre les multiples facettes de la chromo-architecture. Comme un coffret rempli de trésors se dévoilant enfin à la lumière, cette palette est d'autant plus riche que, suggère-t-elle, “on vient de passer par le règne peu coloré de la pierre, du verre et du bois.” » Marie-Pierre Servantie


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“LE JOURNAL DU DIMANCHE”, LA PRESSE MÉDICALE ET “GAVROCHE” EN SONT MALADES

Mis en ligne le 21/05/07 | #
 

Le numéro du 20 mai 2007 du Journal du Dimanche (Version Fémina) a chroniqué Je suis malade : « L'Hôtel-Dieu il y a cent ans... A partir du journal que le caricaturiste Alfred Le Petit tint entre 1903 et 1905, son petit-fils Jean-François et l'historien Guillaume Doizy ont réalisé un ouvrage passionnant et insolite. Une truculente et parfois terrible description de la vie quotidienne à l'hôpital en ce de but de XXe siècle où, “dans chaque service, à la fin de l'année, on cite celui qui a eu le moins de morts.” »
De nombreuses revues médicales ont remarqué et appréciéce même titre : — Le Quotidien du Médecin (15 mai 2007) consacre une superbe page à notre titre (voir reproduction ci-dessus) : « Un témoignage exceptionnel de la vie de l'Hôtel-Dieu de Paris au début du XXe siècle autant qu'un magnifique et émouvant carnet de dessins (...) Il y a du carabin chez cet artiste : “Je vois passer la sœur qui fait la police à la chapelle, elle a des joues comme des fesses. Je pense que lorqu'elle est décolletée, on doit la croire déculottée...” De l'anticlérical, s'adressant à la sœur de la salle de soins : “On m'a dit ma mère (et ta sœur !) que la messe...” Du sociologue, lorsqu'il observe les mendiants qui peuplent l'hôpital. Du politique, lorsqu'il s'insurge contre une République incapable de prendre en charge tant de pauvres gens ou contre ceux qu'il dénomme les roublards, les opportunistes. » — Le Généraliste , hebdomadaire, dans son numéro du 11 mai titre (et soutitre) ainsi : « Formidablement illustré, les Curieux carnets” d'Alfred Le Petit racontent l'hôpital d'il y a cent ans... LA COUR DE MIRACLES. Et de préciser : « L'album qui en résulte est absolument extraordinaire. » — autre hebdo Kiné Actualité (10 mai) , ajoute : « Publiés ici pour la première fois, ces larges extraits du journal d'Alfred Le Petit, agrémentés de plus de deux cent illustrations — peintures, dessins, extraits de carnets, croquis et photographies — font de ce livre le témoignage d'un hôpital en devenir… »
Le trimestriel d'histoire populaire Gavroche (avril-mai-juin 2007) consacre la dernière page de sa revue à l'ouvrage d'Alfred Le Petit avec la photo ci-dessous le représentant lors de l'un de ces séjours à l’Hôtel-Dieu de Paris, entouré par ses médecins : alfred le petit bis « Je suis malade rassemble pour la première fois, les “souvenirs d’hôpital” d’un personnage célèbre de la fin du XIXe siècle, le dessinateur, peintre, caricaturiste, journaliste, comique, chansonnier et photographe Alfred Le Petit (1841-1909) (...) Un témoignage de premier plan sur un passé si proche et si lointain à la fois, qui nous interroge sur l’évolution de notre rapport à la maladie, au corps, à la souffrance, et à la mort si familière alors pour le patient de l’hôpital. »


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MAGIC : JEF AÉROSOL EN MARGE À PARIS

Mis en ligne le 14/05/07 | #
 

Le mensuel de mai 2007 Magic, sous le titre ATTENTION PEINTURE FRAICHE, a flashé grave sur le bouquin de de Jef Aérosol VIP Very Important Pochoirs. Avec une conclusion explosive. Qu'on en juge : « L'ouvrage regroupe un florilège de ses travaux les plus récents, des immortels Joe Strummer et Nikki Sudden aux canonisés Gainsbourg, Jimi Hendrix ou Elvis Presley, en passant par les demi Dieux vivants Bob Dylan, Lou Reed ou Mick Jagger. Mais loin de s'emmurer dans une seule catégorie de sujets, l'artiste en profite aussi pour rendre hommage, spray à la main, aux grandes “gueules” du cinéma (Blier, Gabin...) ou de la littérature (Bukowski, Ginsberg, Burroughs), tout en commentant, dans un style spontané qui passe sans crier gare de la langue de Molière à celle de Shakespeare, chacune de ses œuvres. Et c'est de la bombe, bébé. »
Autre support enthousiasmé par ce titre, Blackpool, le trimestriel hip-hop (mai-juin-juillet 2007) : « Et quand sa bombe immortalise l'acteur Dick Bogarde (“Mort à Venise”) accroupi contre une colonne de la Cité de Doges, le regard posé sur les gondoles... on fond de plaisir. C'est beau, c'est rassurant, comme si personne n'avait vraiment fait son temps. »
Venez découvrir le nouveau livre de Jef Aérosol VIP Very Important Pochoirs à la librairie-galerie EN MARGE, dans le onzième arrondissement de Paris, le 25 mai. Il est superbe ! PETIT RAPPEL : l'expo de 130 pochoirs reproduits dans le livre, qui se déroule actuellement à la galerie Anne Vignal (53 rue Charlot 75003 Paris), s'achève le samedi 2 juin 2007. L'artiste cloturera cette exposition exceptionnelle ce 2 juin en signant VIP de 18 à 22 h.


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“CHARLIE-HEBDO” AIMENT LES POCHOIRS

Mis en ligne le 25/04/07 | #
 

Dans son numéro du 11 avril 2007, Charlie Hebdo, l'hebdo satyrique qu'on ne présente plus, a, sous la bienveilante plume de Willem, notre Hollandais préféré, choisi de présenter deux de nos récentes parutions : Professeur Choron« Même les bienfaiteurs de l'humanité que sont les pochoiristes doivent manger. Après avoir embelli les murs de nos villes gratuitement (même au risque d'amendes) on les voit de plus en plus dans des galeries d'art et dans les livres, ce qu peut dénaturer un peu cette mode d'expression, mais bon. Aux éditions Alternatives deux livres de deux pionniers du pochoir VIP Very Important Pochoirs de Jef Aérosol, qui a pochoiré à peu près tout le monde qui compte, de Gandhi, Jimi Hendrix, Godard, Bessie Smith à Choron. (voir ci-contre) Miss.Tic aussi, je préfère sur les murs que dans un beau livre, mais pour les jours de pluie il ya donc Parisienne avec plein de photos in situ de ses images et textes (“Je ne croyais à rien mais je n'y crois plus”). Préfacé par la galeriste Lélia Mordoch.»


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La presse dit du bien de
“Quelques fleurs du mal”

Mis en ligne le 30/03/07 | #
 

Quelques fleurs du Mal Dans leurs numéros du 17 mars 2007, Le Dauphiné et Le Progrès consacrent une longue analyse au dernier titre de notre collection Grand Pollen : « Deux ans d'un travail long et minutieux. C'est le temps qu'il a fallu à la calligraphe thoirysienne Sophie Verbeek pour réaliser Quelques fleurs du mal. Elle explique : “J'ai tout de suite été touchée par son authenticité, sa vérité, son côté mystique. Je me suis nourrie de cette poésie pendant plusieurs mois.” Ainsi, les lecteurs de “Une Charogne” pourront presque sentir cette “pourriture” et entendre “les mouches” bourdonner “sur ce ventre putride” grâce à la plume de la calligraphe qui trace, cette fois, des mots illisibles "pour créer une émotion”, pour évoquer les entrailles constellées d'insectes. “Mais je ne suis pas obsédée par l'affreux”, s'empresse de préciser Sophie Verbeek. Des pages beaucoup plus colorées s'intercallent, avec des œuvres composées de bois, de papiers frottés, de dorures, d'aquarelle. »
Letterniews, deuxième trimestre 2007, relève : « L'originalité de cette nouvelle version réside dans l'approche calligraphique de l'illustration. En résulte quelques 42 calligraphies d'une forte puissance évocatrice accompagnant les 36 poèmes choisis par Sophie Verbeek “de manière instinctive et viscérale.” »
Le bimestriel Mémoire des Arts (mars-avril 2007) conclut : « Sophie Verbeek, l'auteur des calligraphies, fait le choix des poèmes de Charles Baudelaire à l'occasion des 150 ans de la parution des Fleurs du Mal. Elle s'est longtemps imprégnée de la lecture de ce recueil baudelairien. Une approche voluptueuse et personnelle. »


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L'amour médecin

Mis en ligne le 19/03/07 | #
 

Ce que j'aime en toi Le 14 février 2007, Le Quotidien du Médecin a eu un coup de cœur pour le dernier ouvrage des Carnettistes tribulants : « Très original en même temps que sentimental, Ce que j'aime en toi est une œuvre collective qu nous invite à la découverte de l'être aimé. Douze membres des Carnettistes tribulants (des artistes venus d'horizons divers et tous réunis par leur goût des tribulations à travers le monde, qui avaient déjà réalisé Banlieue nomade) ont réalisé chacun un carnet de voyage en intimité, pour dire à l'autre ce qu'il aime en lui. Les portraits et histoires se succèdent dans les techniques et styles – photos, aquarelles, collages – propres à chaque auteur, qui dévoile ainsi la part intime de sa vie avec une liberté totale. Des déclarations d'amour que chaque Valentin er chaque Valentine aimerait faire. » L'article est agrémenté par l'illustration ci-contre de Fred Déthier, extraite du livre.


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