Editions Alternatives

L’Esprit de la lettre séduit de nombreux supports si l’on en juge les exemples suivants : Dans Femmes actuelles de septembre 2007, Mélanie Dumont écrit : « Dans un concept original, ce livre explore l’univers propre à chacune des vingt-six lettres de l’alphabet. Leur histoire, leur évolution mais aussi leur existence secrète qu’elles développent au-delà des mots. Saviez-vous, par exemple, que le “O” était associé aux objets disgracieux, ternes et sans éclat , » Le 11 septembre 2007, Le Quotidien du Médecin remarquait : « On est loin d’imaginer ce qui se cache derrière les lettres de l’alphabet. Thora Van Malle est allé fouiller au-delà des apparences et dévoile dans L’Esprit de la lettre une multitude d’informations sur chacune de ces entités alphabétiques. Pourquoi, pendant la Guerre de Sécession aux Etats-Unis, la lettre D était marquée sur le corps des déserteurs, que le point sur le i minuscule est une invention récente, la signification du code G chez les notaires, les liens étroits qu’entretient le K avec les explosifs ou le triste emploi réservé aux lettres A ou T… » Le plus louangeur étant le récent mensuel Le Magazine du bibliophile qui souligne « que la plus jeune lettre de l’alphabet est le W… Dans la suite de cet abécédaire, après chaque lettre, s’intercale une page particulière de cet univers : les alphabets européens, p. 60, un petit questionnaire, p . 101… Ce parcours plein d’esprit mêle avec bonheur érudition et fantaisie. A lire absolument. »

EXPOSITION UNIVERSELLE : c'est le titre de l'article “coup de cœur” que l'hebdo Télé 7 jours (22 au 28 septembre 2007) a consacré à notre récente parution Anonymes : « Contractuelle, boucher, bouquiniste, SDF... les personnages de la rue photographiés par Greg Soussan portent tous un masque neutre. Et l'effet est saisissant. De l'attitude de chacun naît une émotion sans regard. De chaque mise en scène, une histoire. “C'est une manière de prendre le contre-pied de ce que je fais habituellement : photographier quelqu'un parce que son visage est célèbre”, confie l'auteur (il travaille pour la presse people). »

CHROMO ARCHITECTURE OU L’ART DE CONSTRUIRE EN COULEUR. C’est le titre consacré par le bimestriel Concept et Tendances (juillet 2007) à Chromo-Architecture, illustré par la photo d’un des deux auteurs, ci-dessous : « L’auteure nous éclaire sur le rôle fondamental de la couleur comme parti pris architectural. Marie-Pierre Servantie inventorie les nombreux domaines d’intervention du chromo architecte, du choix d’une simple couleur à l’harmonisation totale du site, ainsi que les différents procédés auquel il peut recourir : camouflage, intégration, mise en valeur ou neutralité. »
Mémoire des arts (juillet-août 2007) indique : « Marie-Pierre Servantie donne de nombreux conseils et nous explique les principes de avec les exemples de plus de 300 schémas, croquis et photos maintenir les passerelles entre environnement (urbanisme) et… . »
Le quotidien L’Alsace (23 juillet 2007) précise : « Les différents chapitres, dosage des couleurs, constructions et matériaux, s’inscrivent dans une réflexion pratique et théorique sur l’application de la couleur. Chromo-Architecture, L’art de construire en couleur »
Autre bimestriel L’Architecture d’Aujourd’hui (juillet-août 2007) qui écrit : « Le cœur de l’ouvrage est consacré à ce que l’auteure appelle l’écriture de la couleur, autrement dit, la démarche coloristique. C’est une fois affinés les objectifs et les moyens du coloriste que sont évoquées des “lois d’harmonie” et présentées les définitions des systèmes colorimétriques, incontournables pour des échanges d’informations précis sur les phénomènes colorés. »

L’INDE AU CŒUR : c’est le titre consacré par le quotidien Ouest France (28 août 2007) à un élogieux article sur notre toute récente parution Dans les mains du soleil. « Le récit de voyage est un art délicat, qui nous vaut le meilleur et le pire. Le meilleur, on l’a ici avec l’album que l’écrivain et peintre Simon consacre à l’Inde, et plus particulièrement à la région du Râjasthan. Son récit est un modèle du genre, qui sait nous restituer à la fois l’âme et la beauté de ce lointain pays, à travers mille et une sensations. Tout y est fidèlement retranscrit, la beauté et l’étrangeté des paysages, la force des couleurs, les caractéristiques des habitants, leurs us et coutumes. Sensible, constamment aux aguets, Simon voit tout, saisit tout, l’essentiel, qui permet d’aller au fond des choses, comme l’anecdotique, qui donne son sel au voyage. Le tout est rehaussé par de magnifiques croquis d’une vérité et d’une profondeur qui impressionnent. Recommandé. »

Dans son numéro du 20 juin 2007, Charlie Hebdo, le décapant et nécessaire journal satirique, dans la rubrique AUTRE CHOSE animée par notre Hollandais préféré, fait une présentation wilhemienne de L'Œil de la police, avec la reproduction XXL ci-contre : « Le rêve mouillé des Sarkozy de l'époque, de la pure pornographie sécuritaire. L'Œil de la police était un hebdo qui faisait peur de 1908 à 1914. Un recueil des pages les plus sanglantes. Crimes et Châiments de la Belle Epoque plein de drames sanglants, attentats, Bande à Bonnot. Un seul remède : la guillotine... »
Deux jours plus tard, c'est le quotidien La Tribune qui, sous le titre DU SANG À LA UNE, présentait ce même titre : « Michel Dixmier et Véronique Willemin ont exhumé des dizaines d'exemplaires de cette revue qui associe des faits divers, un roman policier et un jeu-concours et les présentent dans un ouvrage passionnant qui analyse ce lieu malsain entre la presse populaire et son public. En effet, ces douze pages, utilisant largement la couleur, mettent en scène les crimes les plus sordides avec une violence et une crudité sans limites. Les méfaits de la bande à Bonnot côtoient les exactions des “Apaches”, les drames familiaux ou les ravages de l'alcoolisme, autant d'images d'Epinal destinées à édifier le plus large public. »

Deux colonnes : c'est l'espace consacré par le quotidien [T[Les Echos] (6 juin) à notre toute récente parution Panorama Design 2007 : « Ce gros ouvrage de 360 pages édité par la très active Association pour la promotion de la création industrielle (APCI), a pour sous-titre : “Guide du design en Europe.” C'est à la fois un annuaire, avec des dizaines de pages d'adresses, un guide pratique doté d'un index et un panorama qui livre quelques définitions de ce que l'on entend par design aujourd'hui. »