Editions Alternatives

Dans son numéro de
janvier/février 2013,
présentation détaillée pour
L'Art du pop-up
dans la revue
Art & Métiers du Livre
(colonne de gauche) 

À la même date, le bimestriel 
Maison magazine
fait une présentation chaleureuse
du même titre 
(colonne de droite) 

C'est la suggestion – pleine de bon sens ! – du bimestriel Art actuel (janvier/février 2013) à propos de Stencil République :

Une très belle fin d'année pour Tissons la solidarité : trois prestigieux journaux l'ont distingué : Elle (21 décembre 2012, ci-dessus), L'Express-Styles (via un interview sympa de l'un des parrain des "Tissons", Martin Hirsch, (19 décembre au 13 janvier) et Le Figaro (18 décembre, tout en bas).

Dans son numéro des 6/12 décembre 2012, Le Nouvel Observateur consacre quatre pages aux arts urbains sous le titre Le “street art” fait sauter la banque. Doragne Vignando consacre l'encadré suivant à Extramuros, le tout récent ouvrage de Julien Malland.

Très beau dossier pour Julien Malland et son tout récent Extramuros dans le trimestriel Shoes-up (décembre 2012/février 2013). Voici le début de l'interview :« Après plusieurs ouvrages sur des artistes du monde entier, vous avez un peu changé d'angle sur ce dernier livre. Vous l'avez plus axé sur la rencontre, l'échange et le partage ? En fait je l'avais déjà fait dans le précédent livre qui s'appelle Globe Painter d'où le nom de l'émission a été tiré. J'avais fait un bouquin, Kapital, sur le graff en général à Paris et en région parisienne en 2000. Ensuite, nous avons voulu axer plus sur des personnes d'où la collection Wasted Talent dans laquelle nous avons consacré des livres à des mecs comme Slice, Nasty, Poch et Rock... Et puis, à peu près à la même période, j'ai fait un tour du monde et en revenant j'en ai tiré un carnet de voyage avec des croquis et autres. Et puis petit à petit je suis parti de mon propre travail pour aller plus loin. »

La co-auteure de Vive la corévolution a accordé une longue interview au trimestriel marseillais Interdépendances (octobre-décembre 2012). Voici la conclusion d'Anne-Sophie Novel :
« Les avantages économiques de la consommation collaborative engendrent des comportements plus écologiques. Peu d’études existent sur les effets environnementaux de ces nouveaux types de consommation, mais ils permettent assurément de réduire certains effets néfastes de la surconsommation. En termes d’impacts économiques et sociaux, les effets sont évidents : les logiques coopératives et solidaires recréent du lien social. C'est le cas de sites comme voisinage.fr et peuplade.fr ou une initiative comme l’Accordene (lieu ou se regroupent les habitants d'un même quartier en vue d’une coopération et de l’échange de services (dépannage informatique, correction de textes, couture, conseils en décoration, etc.) qui contribuent a l’éclosion dune coopération locale entre habitants. Ces initiatives permettent de reposer sur une logique autre que l’échange monétaire. Au niveau social, l'entraide et le recours au principe de réinsertion encouragent des dynamiques de cohabitation relevant du savoir vivre ensemble. »

Le 30 octobre, le quotidien Les Échos présentait ainsi le même ouvrage sous le titre De la logique du « moi » au « nous » :
« Collaboration, transparence, intégrité, partage... Les maîtres mots qui enjoignent à tout un chacun de travailler en bonne intelligence ne manquent pas. Quant aux actes, ils se multiplient. “La compétition cède du terrain à la coopétition [coopération + compétition] puis à la collaboration radicale”, observent Anne-Sophie Novel et Stéphane Riot. Résultat : des organisations commencent à fonctionner en transparence et petits groupes coordonnés. De la corévolution au management collaboratif, la logique de la coconstruction imprègne peu à peu les façons de penser, de consommer et de manager. En passant du “moi” au “nous”. »