Editions Alternatives

« Un régal », « joie et gourmandise »,  « vos papilles vont adorer cette savoureuse cuisine », plusieurs journaux ont apprécié Délices d'Afrique :
– Le Matin Dimanche (10 décembre), « l'unique journal dominical de Suisse romande » :

– La Croix (quotidien du 16/17 décembre): « Double ration de joie et de gourmandise : le 8^e album de la saga à succès de Marguerite Abouet Aya de Yopougon, les aventures hautes en couleurs d'Aya, la pétillante héroïne née dans ce quartier populaire d'Abidjan, en Côte d’Ivoire (Gallimard BD, 96 p., 18 €), et son livre de recettes Délices d'Afrique (Éditions Alternatives, 120 p., 25 €). »

– le trimestriel (décembre/janvier/février) Fémi-9 :

– L'hedomadaire Le Pélerin (30 novembre) : « L'autrice republie aussi un livre de 50 recettes ivoiriennes, Délices d'Afrique, pour les fans de l'alloco et du poulet bicyclette ! »

Focus Vif est un périodique culturel belge supplément hedomadaire de Le VifL/l'Express. Voici comment le news présente L'Art du collage au féminin dans sa livraison du 30 novembre :

L'hedomadaire Télérama apprécie souvent nos livres consacrés à l'architecture et plus particulièrement lors de leur numéro Spécial cadeaux (comme l'an dernier avec Pour finir l'année en beauté, “Télérama” recommande “Et vogue l'architecture” et “Sustainable Design 9”).
Dans le magazine du 25 novembre - 1^er décembre, c'est Le Tour des matériaux d'une maison écologique qui a été retenu : « Une rénovation zéro béton, zéro plastique : tel est le défi que s'est lancé la coopérative Anatomies d'architecture. Dans le pays d'Auge, l'équipe déniche une ruine en brique, pose des pieux en robinier, retrouve la technique des colombages en chêne et torchis. Du chanvre pour l'isolation, du bois de récupération pour les planchers... On suit pas à pas les travaux au fil d'un récit captivant. »

Autre référence, celle du magazine déco et design Ideat dans son hors série de novembre. Marie Godfrain écrit :
« Anatomies d'Architecture, la coopérative d’architectes qui signe cet ouvrage, est engagée dans un “autre” modèle de construction” : réemploi de la brique, fondations en robinier, structure en douglas, isolation en chanvre, en terre, en châtaignier, en liège, en chêne recyclé... La coopérative va utiliser ces huit matériaux écologiques, qui représentent des pistes et des réponses face aux enjeux de notre époque, dans un chantier exemplaire qui pourra servir de base pour bien des projets à venir... »

Dans sa newsletter du 15 novembre, le quotidien professionnel Batiactu consacre une longue analyse à l'ouvrage. Extraits : « Le dernier livre du collectif Anatomies
d'Architecture illustre le cas d'une architecture bioclimatique, locale, naturelle et réversible, à "contre courant de ce qui peut se faire aujourd'hui dans la construction”. En apportant un regard patrimonial et historique de l'architecture, et en prônant une approche écologique et militante, les auteurs formulent la possibilité de construire sans produits pétro-sourcés, chimiques et énergivores. [...] Avec passion et intelligence, Le Tour des matériaux d'une maison écologique présente les matériaux déployés dans cette rénovation. Isolation de chanvre, colombages en bois douglas, enduits de terre, bouchons de iiège recyclés, réemploi de briques anciennes, fondations en pieux de robinier... Les architectes se sont attelés à sourcer les matériaux locaux, tous issus d'un rayon de 100 kilomètres autour du chantier. Les auteurs s'attachent à remonter le fil de leurs origines, de leur transformation et de leur mise en œuvre. »
 

                    
La librairie Payot fait partie du patrimoine helvétique. En 1877 un jeune instituteur est engagé par la librairie Imer de Lausanne : son nom Fritz Payot qui deviendra deux ans plus tard associé. Le nom sera transmis de génération en génération jusqu'à ouvrir une quatorzième enseigne Payot libraire à Berne fin 2022. C'est l'une des boutiques, Payot Genève Rive Gauche, qui accueillera Guillaume Jean Pierre à l'occasion de la parution récente de Recevoir Healthy.

Payot Genève Rive Gauche
Rue de la Confédération 7
1204 Genève
le samedi 9 décembre de 14 h 30 à 16 h

Le Tour des matériaux d'une maison écologique a retenu l'attention de :
– Ideat (hors série) de novembre : « Anatomies d'Architecture, la coopérative d’architectes qui signe cet ouvrage, est engagée dans un “autre” modèle de construction : réemploi de la brique, fondations en robinier, structure en douglas, isolation en chanvre, en terre, en châtaignier, en liège, en chêne recyclé... La coopérative va utiliser ces huit matériaux écologiques, qui représentent des pistes et des réponses face aux enjeux de notre époque, dans un chantier exemplaire qui pourra servir de base pour bien des projets à venir... »
– Architecture intérieure (novembre/décembre) : « Écorénover une maison en ruine avec 0 % de béton, 0 % de plastique et presque 100 % de matériaux naturels provenant d’un rayon de moins de 100 km, voilà le défi que s'est lancé Anatomies d'Architecture, une coopérative créée par trois architectes et un anthropologue. Ce livre retrace l'aventure d’un chantier unique dont les héros sont les matériaux écologiques. »
– Traits urbains (novembre/décembre) : « Après son Tour de France des maisons écologiques (2020), la coopérative Anatomies d’Architectures (Mathis Rager, Emmanuel Stern, Raphaël Waiter et Alice Mortamet) raconte un défi relevé à petite échelle. Nombreuses illustrations à l’appui, l’ouvrage détaille méthodes, coûts, modalités de mise en œuvre, faisant revivre des méthodes anciennes.
L’expérimentation n’est pas transférable au secteur économique du bâtiment ? Les auteurs s’inscrivent en faux : “construire avec des matériaux naturels locaux est possible, et ne doit pas rester une exception mais devenir la nouvelle norme au plus vite !” ».

Présentation colorée – le visuel est signé par le Collectif Douceur Extrême, Paris 2020 – pour Tribunes urbaines proposée par Marie François dans le mensuel Avantages de novembre :

Le bimestriel Graffiti Art (octobre/novembre) a également chroniqué le livre de Chrixcel :
« Si les murs du monde entier n’ont pas attendu l’apparition de l’Art Urbain pour être des espaces privilégiés d’expression populaire, force est d'admettre que le processus s’est intensifié ces demières décennies. En France, il n'est pas rare de voir un graffiti détournant la figure de Marianne, tandis qu'un grand nombre d'œuvres récentes évoquent plus ou moins directement la guerre en Ukraine.
“Créer, c’est résister”, disait la regrettée Miss.Tic . Il suffit de parcourir les différents chapitres de cet ouvrage pour en avoir la confirmation “Quand la femme se rue”, “Queer art et baisers interdits”, “La caricature politique”...
Tout tend ici à rappeler que les “artivistes” n'omettent aucun sujet, persuadés d'être les porte-voix d'une époque en souffrance. »