Editions Alternatives

C'est la conclusion de l'article que consacre Carole Garnier dans le numéro d'août 2016 du mensuel Top Santé à Calcium végétal :

Le bimestriel Paris-Tonkar (juillet/septembre 2016) est sous le charme de Wrinkles of the City, sensible à sa présentation et au choix du papier :

Le 25 juin dernier l'auteur de La Pharmacopée naturelle était l'invitée de François Morel et Patrick Mioulane lors de leur émission Le weekend des experts jardin sur RMC. Vous pouvez réécouter l'émission en cliquant ici.

Une mention brève – la rubrique s'intitule Bibabuzzdéco
– dans le mensuel Biba d'août 2016 pour La Peinture suédoise :
« Apprendre à “cuisiner” la peinture (écologique) suédoise
pour l'extérieur et l'intérieur avec “La Peinture suédoise” de
Nathalie Boisseau. »

Autre mensuel, celui du même mois d'août, Avantages : « REPEINDRE SA CABANE DE JARDIN.  Avec une peinture écolo, pas chère et durable à base de farine et d'ingrédients naturels. Dite « suédoise » à cause de son utilisation dans les pays du Nord, cette peinture est idéale pour les cabanes et meubles en bois d'extérieur. »

Enfin, toujours à propos du même titre, voici la présentation qu'en fait le bimestriel Top Nature de juillet/août :

"Par Mons et par vers" : c'est pas ce (bon) titre que Télérama, dans son numéro du 25 juin/1^er juillet 2016, revient sur l'expérience relatée dans La Phrase :

Autre présentation, celle effectuée par  Caractère (mensuel de juillet), le magazine des professionnels de l'imprimé, qui précise « Trois graphistes/peintres en lettres ont ainsi composé une frise en lettres noires sur une bande peinte en blanc. Le support choisi est un film plastique WW100 de MACtac. La typographie utilisée – la Garaje – a été sélectionnée notamment pour la largeur extensible de ses caractères. Toutes ces précisions, et bien d'autres notamment sur la conception du projet et son impact sur les habitants, sont à retrouver dans cet ouvrage qui présente le texte de la phrase dans son intégralité accompagné de très nombreuses photographies de cette belle “expérience de poésie urbaine.” »

C'est du moins la question que pose le journaliste Alain Vollerin en chroniquant Mon collègue est un robot dans l'extrait qui suit.
– Le bimestriel Mémoire des arts (juin/août 2016) :
« Pas de doute ils vont entrer en grand nombre dans nos vies quotidiennes, et dans des délais très brefs. D'ailleurs, il y en a un qui dirige la France depuis le fauteuil de François Hollande, celui-ci étant parti se cacher dans un terrier en Papouasie-Nouvelle Guinée. Valéry Bonneau produit une petite histoire des robots aux champs, dans l'industrie, dans le commerce, dans les services, pour votre défense, à l'hôpital, dans le monde de l'éducation, pour s'amuser, etc. Les robots sont-ils humains ? Font-ils des chômeurs ? Enfin, les robots combien ça coûte ? Avec un lexique. Une très bonne idée de cadeau en pleine actualité. Valéry Bonneau vous invite à l'enterrement de la civilisation du travail humain. Belle qualité des nombreuses illustrations. »

– Plusieurs hebdomadaires agricoles (L'Action agricole picarde, L'Allier agricole, Agri Ardennes, La Creuse agricole et rurale, Le Réveil Lozère) reproduisent le même article dont nous avons tiré cet extrait :
« Après quelques pages d'introduction, de définition sur ce qu'est un robot et d'une petite histoire des robots, Valéry Bonneau entre dans le vif sujet : les robots de demain et peut-être même déjà d'aujourd'hui, ressembleront physiquement à des humains. Les tâches qui leur seront confiées pourraient être normalement confiées à une personne physique. Et ce dans tous les secteurs de l'économie ! »

– Enfin, et ce n'est pas tellement une surprise, le bimestriel Planète Robots présente ainsi le livre :
« Dans cet ouvrage, plus de 40 robots déjà opérationnels sont décrits sous forme de fiches pratiques. L'auteur nous explique, de façon ludique et pédagogique, comment fonctionnent ces travailleurs d'un nouveau genre. ll nous invite aussi a reflechir des maintenant à la coexistence entre les humains et les robots pour que la révolution qu'ils représentent constitue un réel bienfait pour nous. »