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actu : presse

“Fémi-9” se régale du chutney à l'ananas proposé dans “Aliments fermentés”

Mis en ligne le 12/12/16 | #
 

L'épais (228 pages !) bimestriel Fémi-9 (décembre 2016/janvier-février 2017) apprécie tout particulièrement une des recettes extraite de l'ouvrage Aliments fermentés, aliments santé :
« Vous découvrirez dans le livre de Marie-Claire Frédéric des recettes simples venues de tous les pays du monde qui vous permettront de vous régaler tout en renforçant votre santé comme ce chutney à l'ananas qui accompagne à merveille les plats de la cuisine indienne :
Fermentation : 7 jours à température ambiante puis entre 15 et 25 °C
Consommation : optimum après 5 10 jours ensuite la saveur est plus acide
Conservation : 3-6 mois
Pour 1 bocal de 750 ml : 1 ananas bien mûr, 1 oignon rouge, 1 piment rouge frais, 1 petit bouquet de coriandre, 20 g de gingembre frais, 1 citron vert,
1 cuil à café de sel, 1 cuil à café de curry.
»


actu : presse

“Fémina” apprécie « tout particulièrement »
“Mon enfant au naturel”

Mis en ligne le 12/12/16 | #
 

L'hebdomadaire suisse Fémina (4 décembre 2016) fait la présentation suivante du tout récent Mon enfant au naturel :

« GUIDE VERT. Médecine douce, alimentation équilibrée, aménagement zen et sain de chambre d'enfants, recyclage des jouets : ce guide vert vise le bien-être pour les 0 à 10 ans, et donne à leurs parents des conseils futés. On apprécie tout particulièrement le chapitre dédié à l'aromathérapie, tant l'utilisation des huiles essentielles pour les petits est compliquée à gérer quand on est novice. »


actu : presse

Adieu Suzanne

Mis en ligne le 07/12/16 | #
 

                                  Suzanne Bukiet

Voici le très beau texte de Jean-François Bernardini qui a été lu en hommage à Suzanne Bukiet le 7 décembre lors de ses obsèques : 

Dans la main de la terre
 
« Il y avait peut-être cent ans qu'elle était là ou peut-être juste un instant. Le vent de la nuit lui caressait le visage. Je ne saurais vous dire où était son pays, où était sa maison. Si elle était femme de marin, de paysan, d'exilé ou d'émigrant. Si elle avait franchi la mer, une montagne ou l'océan. La terre semblait être derrière elle. En la voyant marcher on pouvait imaginer qu'elle la portait toute seule sur ses épaules.
 
Allez donc savoir ce qu'elle s'en allait chercher Ce qu'elle aurait tant aimé entendre cette nuit-là. La nuit les regards des hommes s'éteignent un peu. On dit que la lumière est à l'intérieur. Dans un village, au fond d'un port, en haut d'une montagne, un phare dans l'océan, ou bien une étoile dans le ciel.
 
À chaque chant elle accordait son âme, elle accordait ses pas. Elle disait qu'elle voulait apprendre le chemin jusqu'aux plus beaux signaux du monde. Jusqu'à la beauté qui unit les hommes, les peuples Son rêve elle l'écrivait de quatre mots. L'unité qui rassemble, la diversité qui enrichit.
 
Dans chaque chant du monde elle voulait graver une alliance, une reconnaissance.  De chaque langue elle voulait apprendre la part d'altérité, d'intelligence, d'humanité. Elle disait que c'était cela la plus belle promesse d'avenir, de paix, de richesse du monde.
 
Un jour le poète a écrit pour elle. L'homme n'est ni grand ni petit. Il a la taille de ce qu'il sait aimer et respecter. Elle, elle répondait que toute la vie il fallait apprendre à être l'invité de l'autre, l'invité du monde, que c'était cela l'hospitalité.
 
Il y a peut-être cent ans qu'elle marchait ainsi ou peut-être un instant. C'était cela sa fidélité. Le chant d'amour qui fait pleurer les yeux d'un peuple ne peut à tout jamais laisser indifférent l'âme du monde. C'était cela sa force.
 
Ce soir-là, entre la mer et l'océan, il y avait peut-être quelques lumières de plus dans
la main de la terre. Là où rien n'est séparé. Là où s'additionnent et se reconnaissent toutes les dignités du monde. Là où les enfants de Bretagne ont écrit un jour : tous ces pays dispersés par le vent, les champs de blé dans la poche des paysans et l'océan qui n'a plus pour frontière que la graine emportée par une main d'enfant.
 
Ce soir le pain sera blanc à la table d'hôte. Passant, demeure ici pour le partager. Il y a peut-être cent ans qu'elle marchait ainsi ou peut-être un instant. Elle disait que cette beauté-là est invincible. Elle disait que cette beauté-là est invincible. »


actu : presse

“La Cuisine de mon grand-père” : « Un livre absolument magnifique. » (France Inter)

Mis en ligne le 06/12/16 | #
 

Réécouter la voix de Raymond Oliver et apprécier la présentation du livre La Cuisine de mon grand-père lors de l'émission On va déguster sur France Inter du 27 novembre 2016 en cliquant ici. « Les textes sont très bien écrits » précise Elvira Masson, « un de nos livres préférés de l'année » ajoute François-Régis Gaudry. Un vrai régal, on vous dit !


actu : presse

“Street art/today” : « inspiré » (“Prima”)
« ouvre en beauté nos yeux » (“Le Temps”)

Mis en ligne le 06/12/16 | #
 

Deux présentations qui font plaisir de Street art/today :

Street art today Prima– celle du mensuel Prima (janvier 2017) : « “La créativité, quand elle naît d'un besoin vital de reconnaissance,
du désir d'échapper à une réalité écrasante, trouve toujours
le moyen de s'exprimer.” Si le street art entre aujourd'hui
dans les musées et les galeries, il continue néanmoins de s'exposer
sur les murs des villes du monde entier.
Ce livre dresse le portrait des cinquante artistes les plus emblématiques, et nous présente leurs œuvres
in situ.
C'est étonnant, amusant ou majestueux, mais toujours inspiré.
» ;

– et celle du quotidien suisse Le Temps (26/27 novembre) :

                        Street art/today Le Temps


actu : presse

“Habiter les ruines” séduit : “Télérama”, “Avantages”, “Habitat naturel”,
Paris Première...

Mis en ligne le 05/12/16 | #
 

Le livre d'Olivier Darmon suscite un vif intérêt des médias. Voici une première liste des supports qu'Habiter les ruines a séduit :

Télérama (3/9 décembre 2016), dans son choix toujours judicieux de beaux livres à offrir pour les fêtes de fin d'année, écrit :
« Ancienne usine, couvent à ciel ouvert, bergerie effondrée, la ruine est porteuse d'histoires. Alors, plutôt que de la raser ou d'effacer ses blessures sous une rénovation proprette, si l'on s'appuyait sur ses stigmates pour construire autour, avec, dedans, et conserver son identité ? C'est le parti de ce joli petit livre, qui décortique une vingtaine de projets souvent fous.»

– Le mensuel daté de janvier 2017 Avantages :

                    Habiter les ruines Avantages

Habitat naurel 

– Habitat naturel (bimestriel décembre/janvier) :
« Aussi lézardés soient-ils, les vieux murs sont des opportunités à saisir pour créer des configurations hors normes et inventer de nouvelles manières d'habiter. L'auteur nous emmène autour du monde visiter de surprenantes réalisations empreintes du passé et du présent et sources d'idées pour les renovateurs en puissance. »

 

– dans Paris Première, Ça balance à Paris (émission du 18 novembre), le livre est le coup du cœur du chroniqueur Christophe Bourseiller.


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