Editions Alternatives

La galerie Perrotin présente le film Wrinkles of The City Istanbul de Guillaume Cagniard sur le projet éponyme de JR. La projection du film sera accompagnée d’un accrochage d’œuvres de l’artiste, réalisées dans le cadre de ce projet. Vous pourrrez retrouvez sous un autre angle le chapitre consacré à la capitale turque dans Wrinkles of the City.

Galerie Perrotin
16 rue de Turenne
75003 Paris
du mardi au samedi de 11 à 19 h
du 16 mars au 13 mai 2017

Dans son numéro du 9 mars 2017, le quotidien Sud Ouest consacre un long dossier (voir la page d'accroche ci-dessus) à l'obsolescence programmée en interrogeant l'une des co-auteure de Du jetable au durable. Les journalistes Julien Rousset et Nicolas César ont notamment demandé à Laetitia Vasseur son avis sur les réparations : « “Et c'est toujours le même processus : vous allez voir votre vendeur pour lui signaler le problème, et très vite on vous répond que le moins cher, plutôt que de réparer, c'est de racheter un nouvel appareil..”, observe Laetitia Vasseur. Elle évoque d'autres moyens, plus subtils, de donner au consommateur l'impression qu'il faut changer de produit : la publicité, le design concourent activement à cette “obsolescence culturelle”. “Tout le monde trouve son compte dans cette accélération de la consommation. Cela génère plus de profits pour les fabricants, davantage de TVA pour l'État..” Tout le monde, sauf la planète. Plus de consommation, plus de déchets. “Chaque citoyen européen produit environ 14 kilos de déchets d'équipements électriques et électroniques par an. C'est 32 % de plus qu'il y a cinq ans.” »

Sur la Toile, deux références pour Du jetable au durable :

– Sur Le Monde.fr (cliquer pour lire l'entretien en entier), qui reprend le reportage de Damien Dubuc paru le 24 février 2017 dans M, le magazine du Monde, rencontre avec Laetitia Vasseur qui explique : « Les fabricants savent parfaitement jouer du design, de la publicité et du marketing pour raccourcir la durée de vie des produits. Ce sont les outils privilégiés de “l’obsolescence esthétique”. Le design est conçu de façon à rendre un appareil démodé à peine un an après sa sortie et les stratégies commerciales visent à mettre sur le marché des nouveautés, ou supposées telles, tous les six mois. Ce type d’obsolescence redouble l’obsolescence technique dont l’un des ressorts est de limiter les possibilités de réparation. Les industriels ferment de plus en plus leurs systèmes : les coques de certains appareils électroniques sont fixées avec des vis spéciales, qui empêchent les utilisateurs de remplacer eux-mêmes leur batterie. Des pièces essentielles des machines à laver sont moulées dans un bloc indémontable. Ces stratégies hérissent mais elles marchent : les Français changent en moyenne de téléphone tous les 18 mois, et même tous les neuf mois à Paris. »

– Sur RFI.fr, Emmanuelle Nastide, dans son émission 7 milliards de voisins, a interviewé le 7 février Laetitia Vasseur et Anne-Sophie Novel, co-auteures de Du jetable au durable, « Un petit guide très bien fait ». L'émission (passionnante !) est à (ré)écouter ici.

Lors de son émission On va déguster du dimanche 26 février, François-Régis Gaudry a invité Éliane Cheung à propos de son ouvrage (« très émouvant..., très original..., un véritable coup de cœur..., illustrations superbes »), À la table d'une famille chinoise qui connaît un vif succès (il est en cours de réimpression). Vous pouvez réécouter son passage ici à partir de 14'25" lorsque Éliane explique sa recette « de sa maman » ailes de poulet caramalisée au citron et au gingembre, qui figure à la page 64 de son livre et sa soupe de haricots rouges (page 128).

Un reportage sur l'obsolescence programmée, présenté par Lisa Beaujour (photo ci-dessous) sur France Info le 1^er mars 2017, est consultable ici. Écoutez Laetitia Vasseur, co-auteure de l'ouvrage Du jetable au durable qui y est notamment interviewée.

C'est ce qu'affirme le trimestriel Notre temps santé (mars/avril 2017) à propos de l'ouvrage de Luise Vindhal et David Frenkiel ;

Et toujours à propos de Green Kitchen, Emmanuelle Bézières, dans le bimensuel Gourmand (1/14 février) parle de « recueil délicieusement photographié et touchant » :