Editions Alternatives

 Le Monde du 19 février 2011 est le premier support à parler de Cradle to Cradle : « Enfin traduit, le livre de William McDonough et Michael Braungart promeut le recyclage intégral des produits afin d'éviter l'accumulation de déchets. Le but : un compostage de tous les objets, conçus, bien sûr, à cette fin. »

 Deux jours plus tard, La Tribune (21 février) a consacré pas moins de trois pages à étudier l'idée avec le titre UN CONCEPT AMBITIEUX VISE LE RECYCLAGE DES PRODUITS À L'INFINI. Ajoutant dans leur chapo que “le principe C2C donne des pistes aux entreprises mais aussi aux villes et aux États pour concilier croissance et écologie”.
La dernière page du dossier revient en détail sur le livre. Min Tran Huy y explique :  « Cradle to Cradle est un texte court (240 pages) en forme de manifeste, dans lequel William Mc-Donough et Michael Braungart plaident pour un modèle économique où croissance et écologie ne seraient plus opposées mais s'alimenteraient mutuellement, par application à la production industrielle duprincipe de l'écosystème naturel. (…) Trois cents produits ont d'ores et déjà été certifiés « C2C » (du collant au papier en passant par la moquette ou le mobilier de bureau) et nombre d'entreprises (dont Desso, Nespresso, Tarkettou Dim) ont embrassé cette théorie qui veut réconcilier profit et bien être. L'introduction de Michael Braungart, que nous publions en avant-première et en exclusivité, en dit long sur les principes, les réussites et les espoirs des tenants de ce qui s'annonce peut-être comme la prochaine révolution industrielle. »

Libération du 22 février n'a pas traîné non plus (voir colonne de gauche).

Pour illustrer son livre, Collages et recettes, le chef-cuisinier Alain Passard a préféré ses collages à des photos, car plus intimes et mystérieux, ils sont ainsi plus ouverts à l'interprétation. Ils rappellent davantage la partition pour le musicien, le texte pour l'acteur. Ils donnent le ton, invitent et piquent la curiosité de nos pupilles et papilles, car à côté, la recette se lit sur le registre de la confidence entre amis.
 
C'est de cette volonté de transmettre le beau geste qu'est née l'idée d'une exposition itinérante de ses collages et de rencontres autour de la pratique d'Alain Passard, sa créativité, sa cuisine légumière et ce dans des lieux de savoir, de culture et d'innovation.
 
Ce tour de France, qui a débuté à la Faculté des métiers de Rennes du 14 au 28 février 2011, se poursuivra au 104, dans le cadre du Festival du livre culinaire> à Paris du 3 au 6 mars, à la Cité du goût de Saint-Brieuc du 14 au 18 mars, le 15 mars dans sa ville natale : La Guerche (près de Rennes), au Lieu Unique à Nantes les 2 et 3 avril, D'autres dates seront précisées ultérieurement (renseignements PASSARD).

Le White Guide, numéro 1 suédois des guides de restaurants, propose chaque année un classement des 250 meilleures tables de Suède sur plus de 500 établissements sondés. Il présente, selon ses propres termes, « la crème de la crème, les restaurants les plus tendances, les plus cosy, les plus cool, les plus romantiques et les plus exotiques ».
 
Pour le guide 2011, ils ont élu celui qui leur paraît être le meilleur chef au monde : il s'agit de Alain Passard, le chef triplement étoilé de l'Arpège à Paris, auteur du best-seller Collages et recettes.

Le quotidien Nice-Matin (27 février 2011) parle de
« l'excellente Patricia Beucher » à l'occasion de la sortie
de son tout dernier titre Mon potager tranquille :
« COUP DE CŒUR. Enfin un livre sur le potager écrit par une femme
et qui oublie donc les rigueurs militaristes
et productivistes typiquement masculines.
Un potager peut être beau, bio, bon et permettre des économies
qui peuvent atteindre 1 500 € par an. Le tout sans embrouille,
prise de chou, ni courbature. » 

L'auteur de Fast Culture expose durant un mois à Londres.
Speedy Graphito propose ses œuvres, ainsi que celle de Gabriel Anastassios, du 23 février au 24 mars 2011 à l'Opera Gallery 134, New Bond Street. 

Double page dans Libération du 18 février pour Artivisme. Marie Lechner écrit entre autre : « ... un livre-collage dresse un panorama de cette internationale désobéissante, aux croisements de l'art et de l'activisme. Une nébuleuse que les auteures, Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi regroupent sous l'étiquette un peu pompeuse d''“artivisme”, d'emblée récusée par les principaux concernés, défiants envers toute tentative d'institutionnalisation. “Nous sommes conscientes de la contradiction qu'il y à faire entrer sous une énième ‘isme’ une galaxie de pratiques très hétérogènes”, reconnaissent volontiers les auteures. Les deux jeunes femmes (...) en tirant le fil, ont découvert une multitude d'initiatives “peu connues en France”, qu'elles souhaitaient partager. Depuis, certaines pratiques se sont émoussées, assimilées par le marché, d'autres se radicalisent. C'est le propre de ces formes de se réinventer en permanence. »
Ce même Libé en a remis une petite couche dans leur numéro du lendemain (19/20 février) en écrivant : « Un remarquable livre de Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, Artivisme, art, action politique et résistance culturelle (Ed. Alternatives) fait le tour de la question (...) des sacrés farceurs, les artivistes qui, selon le mot d'ordre de Tristan Tzara “ne peignent plus mais protestent”. »

À noter les débats autour de l'artivisme, durant six vendredi, à partir du 18 février 2011 : Artivisme, que fais-tu ?  
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Cycle de rencontres-débats et d'expériences singulières proposé par le Master Projets Culturels dans l’Espace Public 
Tous les vendredis du 18 février au 1^er avril 2011, 19h-21h à la Sorbonne (amphi de gestion) 
1 rue victor Cousin, Paris V^e - Entrée libre après inscription.