Editions Alternatives

Présentation attentive par la journaliste Stéphanie Lemoine – auteure de plusieurs ouvrages chez nous – de Sous le street art, le Louvre dans le mensuel L'Œil d'avril :

C'est le titre choisi par les trimestriels Fémitude (mars/mai) et Mieux pour moi (avril/juin) pour parler de Instruments de musique en verre et plastique avec le texte de présentation suivant : « Vous aimez la musique, vous avez décidé de recycler et de moins jeter... Vous allez adorer les 45 activités ludiques pour créer des instruments de musique à partir d'objets recyclés proposées par Max et Basile Vandervorst dans Instruments de musique en verre et plastique. Vous allez pouvoir transformer vos bouteilles ainsi que leurs capsules et capuchons en capsulophone ou autre spalafon... autant d'inventions surprenantes qui vous permettront de vous initier joyeusement à la lutherie sauvage. À travers la mode et les tendances, la “lutherie sauvage”, qui consiste à créer des instruments de musique à partir d'objets non spécifiquement conçus à cet effet, nous offre un terrain d'aventures et de découvertes permanentes et nous pousse à un dépassement continuel de nous-mêmes, rappellent Max et Basile Vandervorst. Du clown musical jusqu'à la musique concrète et savante de Pierre Schaeffer, des sculptures sonores de Tinguely aux steel bands de Trinidad, des générations de chercheurs et d'artistes se sont évertuées à élargir une fois pour toutes la notion même d'instruments de musique. Non seulement l'usage de ces instrument-là nous permet de trouver des sons nouveaux, inouïs, inimitables par les instruments traditionnels ou électroniques mais encore nous aide-t-il à développer des concepts inédits : composer pour une bouilloire ou une bicyclette suscite chez le musicien un imaginaire totalement différent de celui qui est induit par la formule symphonique ou par l'orchestre de rock. Placé sur un terrain vierge, non labouré par la tradition, l'artiste est contraint à l'invention. »

L'étrange période sanitaire que nous traversons a permis à beaucoup de (re)découvrir les plaisirs de l'art culinaire et de nombreuses revues ont mis en avant les livres consacrés à ce sujet comme par exemple La cuisine des gens qui sèment qui a séduit :
– Thuries magazine (mai) :

– Mieux pour moi (trimestriel avril/juin) : « Vous découvrirez les grandes lignes de ce projet associant permaculture et gastronomie. Les cent recettes proposées par Estelle Eeckhout et Arnaud Dalibot sont à la fois simples, généreuses et gourmandes. Elles vous permettent de faire profiter vos papilles de ce que la nature offre au quotidien. “Nous utilisons un grand nombre d'ingrédients dans nos recettes, précisent Estelle Eeckhout et Arnaud Dalibot. La liste de courses peut par fois paraître impressionnante mais les ingrédients sont tous vendus en magasins bio, souvent même en supermarchés, et sont aisément réutilisables. L'exiguïté de notre cuisine au restaurant nous a poussés à simplifier nos recettes, les rendant facilement réalisables, tout en préservant gourmandise et générosité.” »

– Même présentation du livre dans Fémitude (trimestriel mars/mai) qui offre la recette de la courge butternut rôtie au zaatar, fourme d'Ambert, mâche, roquette et noisette.

La crise du Covid-19 a bouleversé toute la chaîne du livre et Alternatives n’y a évidemment pas échappé. Le programme du printemps a été allégé, plusieurs titres ont basculé en septembre/octobre prochains. Voici les nouveautés que vous pourrez vous procurer chez votre libraire préféré en mai et juin.
Le 28 mai, quatre titres autour de la construction écologique et l’urbanisme paraissent :
– Dans la collection Manifestô, Les Nouveaux bâtisseurs dans lequel Vidal Benchimol – co-auteur de Vers un nouveau mode de ville – met en avant les immenses défis environnementaux que doit relever le secteur de la construction et de l’aménagement.
– Deux architectes et un anthropologue ont effectué un Tour de France des maisons écologiques qui démontre concrètement qu’un certain nombre d’acteurs proposent déjà des réalisations qui relèvent ces défis.

– Vers des villes africaines durables, douzième titre de la collection Point FNAU, fait le tour des énormes enjeux  – démographiques, sociaux, économiques, environnementaux et climatiques, de gouvernance – auxquels les métropoles du continent vont devoir faire face d’ici 2050. Autre nouveauté dans cette même collection, Santé et territoire.

Le 4 juin, sortie de deux nouveautés street art avec Stéphanie Lombard – très suivie sur les réseaux sociaux sous le nom de Wonder Brunette –, et la mise à jour complète de son best-seller (notre meilleure vente depuis trois ans) le Guide du street art à Paris (édition 2020/2021), dans lequel on trouvera 10 itinéraires dans Paris, Montreuil, Vitry et Aubervilliers. Son livre va avoir un petit frère très attendu : le Guide du street art à Marseille. Ce sont ici 8 itinéraires dans la cité phocéenne et sa proche banlieue qui ont été choisis par LLB. Et ça décape !

Ce même 4 juin, premier titre chez Alternatives pour la jeune Heatlthy Clemsy qui considère que bien se nourrir doit aussi prendre en compte des facteurs scientifiques et psychologiques. C’est ce qu’elle explique très concrètement dans Une semaine dans mon assiette.

Illustration du cabochon : collectif Le Mouvement extrait du “Guide du street art à Paris” édition 2020/2021.

Nous avions récemment fait mention des textes très drôles que Jérôme Sorrel publie régulièrement sur son Instagram (voir ici). Le co-auteur de Vélotaf a imaginé avec Xavier Cadeau un challenge à la fois sportif et solidaire. Le Critérium des confiné.e.s est une initiative qui veut « donnner un sens à l’ensemble des coups de pédales donnés depuis le 16 mars 2020 sur leur vélo d’appartement. [C'est] un challenge un peu sportif mais surtout très solidaire au profit de la l’alliance “tous unis contre le virus”.
Challenge un peu sportif : pour saluer, avec les honneurs, tous ces home-trainers qui vont retrouver rapidement le fond de la cave, le garage, le grenier.
Challenge très solidaire : une collecte en ligne directement sur le site de la Fondation de France, pour lever des fonds afin d’accompagner les soignants, la recherche, les victimes qui luttent tous contre le COVID-19. [...] Que vous soyez un Raymond (un cycliste sur route du dimanche), une vététiste, un vélotaffeur au quotidien, un cycliste de l’Ile de Ré ou de l’Ile de Bréhat. Que vous pédaliez une fois tous les 20 ans ou tous les jours… pédalez avec nous dans vos appartements, dans vos maisons, dans vos caves, vos greniers...
Soutenez l’alliance ”tous unis contre le virus” en faisant un don directement là et pédalez aussi fort que vous êtes généreux. »

Voici la deuxième chronique recensant les initiatives régulières proposées par nos auteur(e)s* sur les réseaux sociaux afin de rendre le confinement un peu moins péniblos (voir la première ici).
– Stéphanie Lombard (alias Wonder Brunette), dont la dernière mise à jour de son best seller Guide du street art à Paris a été reportée, publie régulièrement sur son blog des « interviews confinées » d’artistes du street art. Vous pouvez déjà consulter les entretiens que lui ont accordé OAKOAK , Wabi Sabi, PRWND, Missgreen-grenouille, C+S. Passionnant afin de découvrit les itinéraires de ces créateurs/trices.

– Jérôme Sorrel, auteur de Vélotaf, dont la mise à jour a, elle aussi, été repoussée, fait une chronique quotidienne, souvent très drôle (« Réveiller son voisin de l’étage d’en dessous n’est pas un objectif raisonnable quand tu fais du home-trainer. Par contre, réveiller tout l’immeuble là ça commence à être un objectif sérieux. Montre que tu as de bonnes jambes à tout le quartier, envoie des watts et des décibels. À ce prix tu seras respecté dans le peloton (et le quartier) »). sur ce que vit un dingue de vélo comme lui coincé chez lui par le confinement à suivre sur son Instagram.

– Olivier Landes publie régulièrement « un peu d’évasion avec une œuvre quotidienne tirée de » son Street art contexte(s). Si vous n'avez pas eu l'occasion de vous procurer son ouvrage avant la fermeture des librairies, voilà une bonne occasion de vous faire une idée sur son contenu..  et de l'acheter à la sortie du lock-down. C’est également à retrouver sur son Instagram.

Bon pour les deux dernières présentations, ce ne sont pas tout à fait des « auteurs maisons », mais par l’esprit ou la proximité, ils font partie de la famille (nombreuse) d’Alternatives.

– Jo di Bona a illustré la couverture de Sous le street art, le Louvre. Avec sa compagne Amel il propose chaque jour une story désopilante sur Instagram. Si après avoir vu leurs vidéos gaguesques vous n’arrivez pas à vous marrer c’est que l’incroyable période que nous vivons vous a profondément perturbé(e)s… Cliquer sur Amel & Jo.

– Omer Pesquer fait partie depuis de longues années de l’aventure de notre maison d’édition : c’est en effet lui qui a développé notre site. Parmi ses nombreuses activités, c’est un passionné des musées, en particulier de leur image numérique. Chaque semaine il publie Muzeodrome qui permet de visiter des institutions évidemment fermées pour cause de Coronavirus. Pour vous abonner (gratuitement) à sa lettre – bourrée d'infos –, c’est ici.

* et les très proches d’Alternatives