Editions Alternatives

C'est avec beaucoup d'humour et d'à propos que Miss Acacia présente sur son blog Street illusions : elle termine sa chronique sur le clip de Jean-Louis Aubert Juste une illusion ! Elle recommande chaudement « ce livre magnifique », ajoutant : « Deux après leur Bestiaire fantastique du street art, Chrixcel & Codex Urbanus retrouvent le chemin de la collaboration pour nous emmener dans l’univers de l’illusion. Trompe-l’oeil et jeux d’optiques pour nous amener à voir au-delà de ce qui est. Un voyage merveilleux ! ». Pour lire sa présentation – et ausi réécouter le tube de l'ancien chanteur de Téléphone – il vous suffit de cliquer ici.

La journaliste Marie Godfrain, dans le hors série Ideat du mois de novembre, conseille :

– Habiter l'air : « Aux confins de la philosophie,
de l’art, de l’architecture et de l’ingénierie, Habiter l’air donne à voir une série de structures gonflables, architectures bioclimatiques ouvertes sur l’extérieur
et autres innovations. L’ouvrage, conçu par un spécialiste qui a concentré ses recherches sur l’air en tant que
matériau de construction, est aussi une balade dans
les installations les plus audacieuses, les dispositifs
encore en développement et des formes d’habitat
déjà éprouvées. Et une invitation au rêve. »

– Sustainable Design 8 : « Chaque année depuis huit ans, Jana Revedin et Marie-Hélène Contal, spécialistes en la matière, livrent le meilleur de l’architecture “qui contribue à un développement plus équitable et durable, construisant une démarche innovante et participative pour répondre aux besoins des sociétés”. À travers divers exemples de développement de matériaux durables, ce dernier cru se penche aussi sur la manière dont la discipline peut répondre à des situations d’urgence lors de crises humanitaires. » Le même livre est aussi recommandé par le trimestriel Monuments & Patrimoine (novembre/janvier)

– Le Tour de France des maisons écologiques : « Pourquoi le béton continue-t-il de couler à flots alors qu’il est responsable de 5 % des émissions de CO₂ dans le monde ? Pourquoi importons-nous des roseaux de Chine et du bois de Scandinavie alors que la France regorge de forêts ? Comment pouvons-nous continuer de couvrir nos cloisons de bois exotiques lorsqu'on connaît les [conséquences désastreuses de la déforestation ? Habitats classiques aux matériaux écologiques, yourtes, maisons en béton de chanvre ou kerterres, sortes d’igloos en torchis... Réponse en 18 exemples concrets. »
Autre référence pour livre de Mathis Roger, Emmanuel Stern et Raphaël Walther, celle du bimestriel Home (novembre/décembre) : « Le tout est retranscrit en un état des lieux très pratique, des croquis aux témoignages, parfait pour ceux qui souhaiteraient se lancer. »

Dans le bimestriel de novembre/décembre Artten!on, la journaliste Joëlle Péhaut illustre son article de présentation de Stencil graffiti de la photo très sympa
ci-contre, légendée : « Nicolas
L. C.,  le golfeur à Compiègne (60) ». Elle conclut avec finesse : 
« Autant dire qu'avec la pléthore d’artistes du monde entier, cités ou non ici, ayant tous tété, entre autres contrecultures, celle du punk ou du skate, ce support si populaire a entraîné des commandes publiques et s’observe depuis longtemps déjà dans des endroits qui lui sont dédiés (Le Mur de la rue Oberkampf par exemple) ou des galeries. “Art politique” dénonçant inégalités sociales, réchauffement climatique, féminicides ou oppression, cet art ne manque pas de nous rappeler également ce besoin antédiluvien : laisser une trace de son passage. Cet irrépressible désir de dire au plus grand nombre “j’ai été là !” ».

Deux belles analyses dans le quotidien suisse La Liberté qui porte souvent une grande attention à nos publication :
– le 13 novembre, le journaliste Olivier Wyser consacre un article détaillé à Habiter l'air le sous-titrant : « Spécialiste de l'air, appréhendé comme un matériau de construction, l'architecte Michele Boni publie un livre captivant qui donne des idées » et le titrant « IL N'Y A PAS PLUS INSPIRANT QUE L'AIR ». Et de noter, en faisant référence à deux titres de Olivier Darmon : « Après Habiter les ruines et Habiter les toits, la collection prend de la hauteur et inspire un grand bol de cet air si viviviant. » ;
– dans le numéro de la veille, le quotidien romand, sous la plume de Tamara Bongard, disait beaucoup de bien de L'Art du fil avec un papier de trois pages titré : « LA CRÉATION QUI NE TIENT QU'À UN FIL » surtitré « Marie-Madeleine Massé consacre un ouvrage aux œuvres d'art contemporain inspirées par le fil. »

Dans le numéro 50 de Arts et essais, rubrique de l'excellent site culturel en ligne À vos marques tapage ! élogieuses présentations de Christine Le Garrec pour :

– Street Art Africa : « ouvrage passionnant qui fourmille d’œuvres toutes plus originales et fascinantes les unes que les autres ! »
– Street illusions : « Ces artistes, venus de l’architecture ou des beaux arts pour la plupart d’entre eux, nous ouvrent en grand les portes de la perception avec leurs oeuvres hypnotiques qui laissent toute place à la poésie, au rêve et à l’humour… Alors ouvrez grand vos yeux, affutez votre curiosité et assouvissez votre soif de beauté avec ce livre, richement illustré et documenté, qui nous offre un fabuleux et exhaustif inventaire de cet art de l’illusion ! »
– Abandoned Places : « « À travers ce recueil de photographies captées tout autour du monde, ce chasseur passionné du vide et du néant nous offre un étonnant bouquet d’images de lieux inhospitaliers, désertés des hommes : usines et mines désaffectées, hôtels, discothèques, centres commerciaux, parcs d’attractions, châteaux, villas, théâtres à l’abandon […] Henk Van Rensbergen, au fil de ses respectueuses et néanmoins souvent périlleuses déambulations, a également collectionné tout un tas d’anecdotes parfois hilarantes, d’autres fois glaçantes, qui accompagnent certains de ses clichés. Un ouvrage troublant qui ne peut laisser personne indifférent ! »

Pour lire l'intégralité des chroniques du 6 novembre de Christine Le Garrec, c'est ici.

C'est le titre de la une du magazine de novembre L'Œil qui consacre un long dossier intitulé Art urbain, les femmes font le mur. C'est Stéphanie Lemoine, auteure de plusieurs ouvrage chez Alternatives, qui a réalisé cette longue et passionnante enquête dans laquelle elle fait notamment référence à deux ouvrages parus chez nous : « “Comme on est moins nombreuses, on est plus visibles”, résume Élise Clerc, ex-graffeuse et co-autrice avec Audrey Derquenne de Graffeuses et de Figures de graffeuses aux éditions Alternatives. “Ça suscite tout de suite de l'intérêt.” [...] De fait, on peine à trouver ce qui rassemble les femmes qui créent dans la rue. Il y a les pionnières, qui ont très tôt occupé le terrain : Jenny Holzer, Tania Mouraud, Lady Pink, Miss.Tic et, plus récemment Miss Van, YZ, Swoon ou Fafi... Et il y a les graffeuses. Le documentaire Girl Power de Sany (2016) et les ouvrages que leur ont consacré Élise Clerc et Audrey Derquenne suggèrent que les dix doigts de leurs mains sont très loin de suffire à les énumérer. »