Editions Alternatives

À l’occasion de la parution de Délices d’Afrique et de Bienvenue, tome 2 (éditions Gallimard) l’auteure Marguerite Abouet, et les illustrateurs Agnès Maupré et Singeon (de gauche à droite sur la photo ci-dessus) ont très joyeusement accueiili un public nombreux, ravi d'apprécier et leurs ouvrages et les délicieuses préparations d’un buffet africain assuré par le traiteur Makango, « la finesse de la gastronomie africaine ». (Photos du bas : Odile Bernard)

Librairie du 104 - Le Merle Moqueur : 104 rue d’Aubervilliers 75019 Paris
le samedi 10 novembre

La co-auteure de Vive la corévolution a accordé une longue interview au trimestriel marseillais Interdépendances (octobre-décembre 2012). Voici la conclusion d'Anne-Sophie Novel :
« Les avantages économiques de la consommation collaborative engendrent des comportements plus écologiques. Peu d’études existent sur les effets environnementaux de ces nouveaux types de consommation, mais ils permettent assurément de réduire certains effets néfastes de la surconsommation. En termes d’impacts économiques et sociaux, les effets sont évidents : les logiques coopératives et solidaires recréent du lien social. C'est le cas de sites comme voisinage.fr et peuplade.fr ou une initiative comme l’Accordene (lieu ou se regroupent les habitants d'un même quartier en vue d’une coopération et de l’échange de services (dépannage informatique, correction de textes, couture, conseils en décoration, etc.) qui contribuent a l’éclosion dune coopération locale entre habitants. Ces initiatives permettent de reposer sur une logique autre que l’échange monétaire. Au niveau social, l'entraide et le recours au principe de réinsertion encouragent des dynamiques de cohabitation relevant du savoir vivre ensemble. »

Le 30 octobre, le quotidien Les Échos présentait ainsi le même ouvrage sous le titre De la logique du « moi » au « nous » :
« Collaboration, transparence, intégrité, partage... Les maîtres mots qui enjoignent à tout un chacun de travailler en bonne intelligence ne manquent pas. Quant aux actes, ils se multiplient. “La compétition cède du terrain à la coopétition [coopération + compétition] puis à la collaboration radicale”, observent Anne-Sophie Novel et Stéphane Riot. Résultat : des organisations commencent à fonctionner en transparence et petits groupes coordonnés. De la corévolution au management collaboratif, la logique de la coconstruction imprègne peu à peu les façons de penser, de consommer et de manager. En passant du “moi” au “nous”. » 

Première parution dans la presse à l'occasion de la sortie de Instruments de musique en papier et en carton : celle du mensuel Musickeys d'octobre 2012 (voir ci-dessous).

Son auteur Max Vandervorst entame une nouvelle tournée ludique en Belgique et en France :
– 10-11-2012 : “Récital pour objets abandonnés et clavier tempéré” à Wolubilis (Bruxelles) ici
– 16-11-2012 : “Recital voor afgedankte voorwerpen en wohltemperierte klavier” (Anvers) ici
– 17-11-2012 : “Ceci n'est pas un spectacle” à Ganshoren (Bruxelles) ici
– 19-11-2012 : à 19 heures : émission radio Le monde est un village (RTBF) : présentation du Multivers et du livre Instruments de musique en papier et carton ici
– du 22 au 24 novembre 2012 : “Multivers Max Vandervorst” au Théâtre de la Vie (Bruxelles) : 1 installation + 2 spectacles + 1 workshop + invités surprises : ici  (reprise exceptionnelle du spectacle L'Homme de Spa et workshop sur les instruments en papier et carton ici
– 1-12-2012 : “Symphonie d'objets abandonnés” à Forbach (Fr) ici
– 7-12-2012 : “Récital pour objets abandonnés et clavier tempéré” au Rayon Vert (Bruxelles) ici
– 15-12-2012 : “Récital pour objets abandonnés et clavier tempéré” à Bagnolet (Fr) ici
– 16-12-2012 : “Récital pour objets abandonnés et clavier tempéré” à La Louvière (Bel) ici

L'auteur de JR28MM, Artocratie en Tunisie et Women are heroes est à (re)découvrir à travers deux passages à la télévision :
– sur Arte, lors de l’émission Square (diffusée le 4 novembre 2012, 45 minutes), un reportage passionnant, réalisé par Vincent Josse, permet de mieux connaître JR, notamment dans son atelier de New York et dans l'étonnante galerie The Invisible Dog ;

– sur CNN, une interview, conduite par Krisitie Lu Stout, du même JR lors de l’inauguration de son exposition à la galerie Perrotin de Hong Kong, en septembre dernier.

... et le projet fou InsideOut qui continue joyeusement à travers le monde !

La Tribune de Genève (20-21 octobre 2012) apprécie les petits plats de l’auteur de Mon Happy Cooking Book, « genevoise d’adoption ». Voici la conclusion de l’article consacrée à Nathalie Rodach : « On n’assiste donc pas a une leçon de cuisine mais a une envie de partage. Elle veut ouvrir un blog où les lecteurs pourront poster leur variante des recettes qu’elle a données. À chaque préparation elle ajoute des variantes et des propositions pour utiliser les restes du plat cuisiné le lendemain. On attaque le sorbet framboise et la salade de pêche a la coriandre alors qu’elle parle encore de la différence entre l’art et la cuisine.  “C’est difficile de faire valider par le public ce qu’on crée dans l’atelier. Alors que, avec la cuisine, on s’autovalide déjà si on a soi-même du plaisir a déguster ce qu’on a préparé.” Exercice réussi. »

Plusieurs supports ont salué la sortie de Tissons la soildarité, a commencer par l'Agence France Presse du 30 octobre 2012 :
– « Avec les soutiens du couturier Christian Lacroix, et de l'ancien président d'Emmaùs Martin Hirsch, le réseau “Tissons la solidarité” qui lutte contre l'exclusion des femmes, revient à travers les portraits d'une quinzaine de femmes qui ont bénéficié de ses programmes, sur les actions innovantes du Réseau. Depuis 2004, "Tissons la Solidarité" permet depuis 2004 à de nombreuses femmes de se former et de retrouver un emploi grâce à ses activités de tri, de couture et de revente, dans ses propres boutiques, de vêtements de seconde main, ce que Christian Lacroix appelle "s'inscrire dans la durée". Pour Martin Hirsch, les liens entre l'économie classique et l'économique sociale et solidaire doivent se développer car ils sont “fondamentaux”. »

– Mais aussi Femme actuelle, hebdomadaire du 29 octobre au 4 novembre (voir ci-contre).

 
– Ainsi que Ouest France du 30 octobre : « Abi (Association au bénéfice de l'insertion) fait partie de l'association Tissons la solidarité. Cette association, créée en 2004, regroupe aujourd’hui 70 structures d'insertion en France et développe des actions de communication et de formation. À ce titre, vient de sortir un très joli livre qui retrace, à travers des témoignages, la belle aventure des associations d'insertion comme Abi (Ed Alternatives). Une initiative parrainée par la fondation du couturier Christain Lacroix qui, en professionnel du luxe, va donner de son temps et de son savoir-faire, proposant de la formation. “L'objectif est de faire de la création à partir de vêtements de deuxième main... que l'on proposera ensuite sous la griffe Tissons la solidarité, indique le président d'Abi, Roger Schuffenecker.” »

– et l’hebdo L’éveil de Lisieux du 24 octobre (lire ci-dessous la présentation du livre en bas à droite) :  

– Et également TSA hebdo (novembre) : « Mêlant textes et photos, ce beau livre nous raconte, au travers de portraits de femmes, l'histoire du projet d'insertion porté par le réseau “Tissons la solidarité” depuis 2004. »

– L'Est républicain (4 novembre) mentionne aussi le livre en décrivant les exemples de trois employées de Verdun-Chantiers qui défileront le 20 novembre à la Halle Freyssinet à Paris dans le cadre du réseau..