Editions Alternatives

Plusieurs retombées pour Végétaliser les mini-espaces urbains :

– Culture(s) bio (juillet-août). Dans un article titré Amener la nature en ville, Marie-Pierre Chavel précise : « La marche à suivre. D’abord repérer l’endroit où l’on voudra installer ses plantations. Puis demander l’accord à sa mairie qui fera signer une charte de végétalisation. [...] Ensuite, se faire guider par les professionnels de la ville, laisser parler ses talents de jardinier ou picorer des idées… On en trouve de très belles dans le livre de Leslie Garcias, Végétaliser les mini-espaces urbains. Trou dans un mur, fond de trottoir, clôture, friche, toit, elle a répertorié de nombreux lieux qui peuvent être végétalisés et les plantes qui vont bien avec, et donne maints conseils pour passer à l’action. »

– le hors-série n° 219 de L'Ami des jardins :

– le trimestriel Archiscopie (numéro de l'été) écrit : « Conçu par une paysagiste pour promouvoir et faire évoluer la ville de demain vers plus de nature, ce manuel pratique et accessible à tous présente tout ce qu’il faut savoir pour créer et entretenir son coin de jardin, du plus petit interstice de trottoir aux pourtours d’arbre en passant par les friches et le mobilier urbain. Avec des conseils, des informations pratiques (permis de végétaliser, choix des semences, réalisation de boutures, fabrication de contenants, bombe à graines, nichoir à oiseaux, etc.), de nombreux exemples de végétalisation et un carnet d’adresses utiles. »

Trois références pour le Guide du Paris alternatif :

– Marie Claire Idées (septembre/octobre) :

« ALTERNATIVEMENT VÔTRE.
Plus de 200 adresses dans la capitale et le Grand Paris pour vivre et consommer autrement en ville. Un Paris sous bonne influence porté par des valeurs fortes et animé d'ateliers DIY, de boutiques solidaires et équitables, de lieux culturels alternatifs, de jardins partagés, de primeurs et restaurants en lien avec les producteurs locaux. »

– L'auteure du livre, Marie-Anne Brushi, a été interviewée par Sophie Scarpula lors de son émission La Vie en bleu diffusée le 21 août sur France Bleu Paris qui a présenté l'ouvrage, « un manuel d'immersion dans la mouvance écolo de la capitale. »

– Voici (16/22 août) :

C'est une partie de la conclusion du texte publié sur le blog de Thierry Maricourt qui termine son anlyse du Marinus & Marianne ainsi : « Marinus n’hésita pas à se moquer de Hitler et de Staline (“étroitement liés dans l’accomplissement d’un projet commun” selon le commentaire de Gunner Byslow à propos d’une œuvre de Marinus en une de Marianne le 28 février 1940), en priorité ses boucs-émissaires, et ses compositions firent mouche. Son humour est grinçant, jamais désuet. Il n’est pas sans évoquer certains photomontages de Hara-kiri, dans les années 1970, ou, plus récemment, ceux des Casseurs de pub. » L'intégralité de son texte est à découvrir ici.

À noter le long article que Le Dauphiné du 28 juillet a consacré à l'Exposition Marinus, photomontages satiriques 1932-1940 à Grenoble pour laquelle Marinus & Marianne sert de catalogue officiel.

Jérôme Sorrel était l'invité de Emmanuelle Bastide lors de son émission 7 milliards de voisins sur RFI le 2 septembre. L'occasion de parler à plusieurs reprise de son récent ouvrage Vélotaf. L'émission, passionnante, est à réécouter ici.

À peine paru en librairie (le 15 août, mais oui !) que Green Kitchen pour les kids était remarqué par deux fleurons de la presse féminine :

– Elle (numéro du 23 août) reprend quatre recettes extraites de l'ouvrage de Luise Vindahl et David Frenkiel : nids de légumes racines aux œufs, dino burgers, épinards et petits pois, lasagnes tout-en-un et brownies aux haricots noirs. L'hebdo fait la présentation suivante de leur livre :

– Biba (numéro d'août) a également choisi la recette des dino burgers mais aussi celles des gaufres aux épinards et au cottage cheese, de la tempura de légumes à la noix de coco et des bâtonnets glacés à la myrtille et avocat. Et en prime, un petit résumé de leur dernière parution :

                                                 
                                                              L'unique portrait
                                                            officiel de Banksy...
 
C'est le titre « à la Libé » de l'article que consacre Stéphanie Aubert au célèbre artiste de Bristol dans le quotidien du 8 août. La journaliste revient à nouveau sur la question qui taraude ses admirateurs, les autorités des divers pays que le street artist a marqué de son empreinte et les journalistes : qui est Banksy ? Sa conclusion est celle du seul livre écrit de sa main, Guerre et Spray : « Comme pour se prémunir des critiques, que par ailleurs son anonymat minimise, n’ayant pas de personne physique sur lesquelles les renvoyer, la star du street art, pas complètement dupe de ses propres limites, sait aussi retourner ses armes contre elle-même. Ainsi, son livre Wall and Piece (4) multiplie les saillies d’autodérision, comme le pochoir qui conclut l’ouvrage : “Oh mon dieu, c’est trop mignon la façon dont tu dessines sur des choses et ne penses qu’à toi tout le temps.” Qui que tu sois. »
(4) Guerre et Spray, Gallimard, coll. Alternatives (2010).