Editions Alternatives

À l'occasion du vernissage de l'exposition Portraits d'artistes organisé dans une lieu mythique de la capitale, Molitor, Stéphanie Lemoine et Emmanuelle Dreyfus animeront deux rencontres et discussions en lien avec le thème de l'exposition
– « la question de l'identité au sein de l'art urbain et la mise au centre de leurs œuvres de celles et ceux qui font passer leur art avant leur personne » – et leur récent ouvrage L'Art clandestin.
Les artistes présents : Alber, Balder, Does, Jean Faucheur, LeModuleDeZeer, Noty Aroz, Quentin DMR, Shane, Skio, Teurk. L'expo se déroulera du 10 novembre au 11 décembre.

Molitor
13 rue Nungesser et Coli 75016 Paris
Tél. : 01 56 07 08 50
Vernissage le 9 novembre de 18 à 21 h
(sur réservation par mail “je participe au vernissage” rsvp@mltr.fr)

C'est le titre de l'article de Valérie Robert publié dans l'hebdomadaire Version Fémina (31 octobre) qui a interrogé deux de nos autrices pour évoquer la question. Extraits : « Le street art (graffiti, pochoir, collage, fresque, mosaïque) s’exerce dans l'espace public, principalement sans autorisation. D’où, notamment, l’accessoire indispensable : le hoodie, le fameux sweat à capuche, pour ne pas être reconnu. “II y a d’ailleurs toujours eu une convention dans le graffiti de ne jamais montrer son visage ni dévoiler son nom, explique la journaliste Emmanuelle Dreyfus, qui consacre un livre à cet art clandestin ⁽¹⁾. Mais il faut savoir que, jusqu'à la Renaissance, rester incognito était également de rigueur dans l’art”, ajoute-t-elle.  [...] De Banksy à Invader, en passant par Zevs ou même JR, l’art urbain a toujours masqué l’identité de ses maîtres mais aussi leur physique – seuls les galeristes et la Société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques (ADAGP), qui gère en France les droits d’auteur, les connaissent. Normal, explique la galeriste et commissaire d'exposition Magda Danysz ⁽²⁾ : “L’anonymat a d’abord une fonction de protection par rapport à un acte illégal. Ce qui peut être pris aujourd’hui comme un gimmick ou une coquetterie artistique ne l’est pas du tout. Je me souviens de vernissages où la police débarquait pour repérer la tête des copains de l’artiste. Désormais, le jeu du chat et de la souris s’est un peu arrêté.” Emmanuelle Dreyfus affirme même que l’anonymat se perd avec la nouvelle génération qui chercherait davantage la notoriété, la visibilité. »

1- Auteure, avec Stéphanie Lemoine, de l’Art clandestin, Alternatives.
2-  Commissaire de l’exposition Capitale(s), à l'hôtel de ville de Paris, jusqu'au 11 février 2023, et auteure du catalogue éponyme, Alternatives (Capitale(s)).

Sur le site du quotidien parisien, présentation de Maisons rêvées : « Il y a donc pour Delphine Aboulker une sorte d'urgence à réhabiliter la maison d'architecte, en montrant aussi bien la vitalité de la création hexagonale que sa pertinence pour répondre aux enjeux du moment, tout en épousant différents modes de vie. “La maison d'architecte n'est pas réservée à une élite, elle est accessible à tous, plaide auprès de Libé l'historienne de l'art, à partir de 40 bâtisses français construites ces vingt dernières années. Au-delà du geste esthétique, elles sont d'ailleurs réinventées du fait des enjeux écologiques. Les architectes apportent leurs solutions comme le modulable, l'extension du bâti existant ou les matériaux biosourcés.” On pense ici, pour ne citer qu'elle, à la discrète villa KGET, de Bonté & Migozzi, accrochée à une colline d'Ensuès-la Redonne (Bouches-du-Rhône) face à la mer, abondamment fournie en lumière naturelle, et dont l'ossature verticale en bois entre en symbiose avec l'environnement immédiat. »
Lire l'intégralité de l'article de Florian Bardou en cliquant sur libération.fr.

Des retombées très douces pour Miel - Guide d'usage :
– Le Courrier de l'Ouest (12 octobre). « En une dizaine d’années, l’autrice ménigoutaise Marie-Claire Frédéric a déjà écrit une dizaine d’ouvrages tous consacrés à la cuisine. [...] Depuis quelques années, ses thèmes se sont spécialisés. Elle a d’abord exploré toutes les facettes des aliments que l’ont dit fermentés tels que les produits laitiers, les vins ou encore les choucroutes ou les cornichons, un style de cuisine et de conservation qui ne nécessite ni énergie, ni frigo, ni congélateur. Ses derniers écrits ont porté sur le miel. “Quand on achète du miel dans les supermarchés, on trouve tout et n’importe quoi. L’origine obligatoire des produits indique : origine pays de la communauté européenne et hors pays européens, c’est-à-dire n’importe quoi”, se désole Marie Claire Frédéric qui délivre tous les secrets du miel dans Le Miel - Guide d'usage. »

– Le site du quotidien Ouest France reprend en partie l'article précédent en mettant aussi en avant la dédicace du livre que Marie-Claire a faite à la bibliothèque L'Oiseau Lire de Ménigoute (voir photo ci-dessous), les ouvrage étant fournis par la librairie ambulante Les Mots volants.

– le trimestriel La Santé par l'alimentation (octobre / décembre) parle d' un « livre d'or » : « Si vous ignoriez encore les multiples vertus médicinales et gustatives du miel, ce livre va vous plonger avec délice au cœur de ce superaliment. Riche en glucides, potassium, et antioxydants, ce trésor de bienfaits fabriqué par les abeilles n'aura bientôt plus de secrets pour vous. Passant en revue les différentes variétés et donnant des conseils pour bien le choisir (nectar, monofloral, polyfloral), l'auteure souligne en outre ses propriétés nutritives et dévoile 40 recettes thérapeutiques ou gourmandes. »

– le trimestriel Mieux pour moi (octobre / décembre) reprend la recette du gommage doux au miel et à la poudre d'amandes extraite de l'ouvrage avant de revenir sur les bienfaits ancestraux de cette substance. « Vous voulez prendre soin de vous avec des produits faits maison faciles à préparer... Dans Le Miel - Guide d'usage, Marie-Claire Frédéric vous explique les différentes vertus médicinales et gustatives du miel et vous propose quarante recettes santé, beauté et cuisine. »

– Autre allusion au livre celle de RFI.fr.

C'est le titre (qui ne manque pas d'air... ni d'esprit !) qu'a trouvé le bimestriel (novembre/décembre) Esprit d'ici pour chroniquer Levain gourmand.
« C’EST GONFLÉ.
Aux adeptes du levain maison, ce livre va ouvrir de larges perspectives puisque son autrice y révèle son utilisation en pâtisserie, moins banale qu’en boulangerie. Elle réinterprète des classiques qui utilisent d’ordinaire de la levure de boulanger (chouquettes, kouglof...), tout en donnant des tas de conseils pour ne pas se tromper et bien choisir ses ingrédients. En prime, elle dévoile ses secrets pour réussir son levain à coup sûr et aide à comprendre ce qui se passe dans notre cuisine. »

Autre référence, celle du mensuel Gourmand (octobre)
« LE LEVAIN AUTREMENT.
Et si on pouvait faire autre chose que du pain avec du levain ? Valérie Zanon répondra que “réduire l’utilisation du levain à la panification, c’est finalement se priver de 50 % de son potentiel” ! Eh oui, car il est possible de le travailler autrement, en version gourmande et sucrée. La blogueuse a récidivé :après un guide sorti en 2021, elle enchaîne avec un nouveau livre sur cet agent levant naturel qui se développe en mélangeant de la farine et de l’eau, après avoir fermenté pendant plusieurs jours. La pro du levain révèle sa méthode infaillible pour le réussir en six jours, alors à vos carnets ! De façon classique dans les brioches ou les cookies, ou bien de manière plus inattendue dans un soda, le levain a bien des atouts ! Au-delà de son pouvoir levant, c’est un réel exhausteur de goût, de moelleux et de fondant. »

Sophie Scarpula a reçu sur France bleu Week-end Magda Danysz afin d'évoquer l'exposition (Prolongation de l'exposition Capitale(s) ) – dont elle est une des commissaire  – et son ouvrage Capitale(s), « magnifique, un livre en complément de l'exposition, mais c'est plus qu'un catalogue pour prolonger l'expérience qui contient beaucoup de renseignement, d'histoires, d'anecdotes... ». L'émission du 15 octobre est à réécouter ici.