Editions Alternatives

Les “gros” médias sont particulièrement sensibles à l'engouement suscité par la planche à roulettes, pour le dire en français, phénomène très bien analysé dans Art of Skate.
– Une semaine avant Ça matche pour “Art of Skate” : une pleine page dans “Paris Match” , le magazine Elle (18 avril) a “ADORÉ” : « Il a grandi dans la rue, mis la jeunesse du monde entier à ses pieds, conquis ses lettres de noblesse artistiques et est devenu une discipline olympique ! Cet ouvrage raconte l'histoire du skate, et les fantastiques photos de Sylvie Barco révèlent l'esprit même des skateurs, leur quête d'un toujours plus fort et toujours
plus haut. »
– Le Journal du Dimanche (21 avril) dans lequel Humbert Angleys a trouvé un bon titre (voir ci-contre). Et d'écrire : « De sa genèse à sa mythologie, Art of Skate balaie ce sport encore jeune et déjà mûr. Ces “histoire(s) d’une culture urbaine” accessibles au profane retracent, couplées à une iconographie léchée, l’aventure d’une pratique foisonnante. [...] À parcourir les photos superbes, prises sur le vif dans nombre de “spots” français et étrangers, ou les petits bijoux de créativité des planches répertoriées dans cet ouvrage très complet, on parierait que l’imagerie que le skate a sécrétée, “tributaire d’une histoire qui lui impose ses codes et son langage”, lui évitera d’être dénaturé. École de patience et de persévérance – “Réussir un trick [une figure, NDLR], c’est accepter d’affronter balafres, bleus, blessures et parfois même fractures, un autre style de tatouages qu’ils arborent”–, le skate saura bien rester “en roues libres.” ».

 – BMF TV, lors de l'émission Première édition (16 avril), Christophe Delay a présenté le livre de Philippe Danjean, Stéphane Madœuf et Sylvie Barco en le résumant ainsi :« Le skate et sa culture dans un milieu qui n'est pas facile à intégrer, la philosophie des skaters, la transmission, la place des femmes avec des images de Sylvie Barco prises un peu partout dans le monde et à Paris notamment près du Palais de Tokyo. »

« Comment se nourrir à Paris sans dépenser une fortune » : tel était le thème de l'émission À votre service diffusée le 12 avril sur France Bleu Paris. Corentine Feltz et Valère Corréard accueillait Estérelle Payany pour parler de son guide Midi moins cher tout récemment paru. À (ré)écouter ici.

Critique culinaire à Télérama, il n'est guère étonnant que le site de l'hebdomadaire conseille le livre d'Estérelle Payany, reprenant 10 adresses contenu dans celui-ci.
« Depuis huit ans, elle s'attable pour vous en toute discrétion aux quatre coins de Paris, payant sa note comme tout client et filant compter ses T à peine le café avalé. Du couscous à la pizza , du boui boui au bistrot, du phô au pot-au-feu , suivez le guide pour savourer ces petits plats qui tiennent au corps et à l'âme sans attacher au portefeuille ! Et en guise d'apéritif, une éclectique sélection de 10 adresses pour faire (presque) le tour de France et du Monde dans la capitale. Et 110 de plus à (re)découvrir dans l'ouvrage ! ». À lire en cliquant là (il faut être abonné.e pour en profiter).
Sans surprise non plus Télérama Sortir (17/23 avril) chronique ainsi le guide :

Deux autres références :
–sur Libération.fr : « il est possible de manger à petits prix toutes sortes de cuisines, comme le rappelle notamment la critique Estérelle Payany dans son ouvrage qui vient de paraître Midi moins cher, le guide du déjeuner malin à Paris » ;
– lors de l'élmssion Le Goût du monde du 13 avril présentée par Clémence Denavit sur RFI et enregistrée à la Librairie Gourmande de Deborah Dupont-Daguet. Estérelle Payany était invitée pour parler des livres de cuisine. Midi moins cher est présenté à la fin. À réécouter en cliquant là (durée 29 minutes).

L'utilisation « des végétaux marins dans la gastronomie française est récente » comme le précise Léo Pajon dans le qutoidien Le Monde (11 avril) et sur Le Monde.fr. La journaliste effectue un instructif reportage « Au Croisic, des cueilleurs d'algues pour un régal végétal ». Elle conseille ainsi Algues au quotidien « Comment s'initier ? Les éditeurs culinaires, jamais en retard d'une tendance, ont commencé à s'emparer du sujet. Dernier ouvrage en date ? Algues au quotidien (Alternatives, 144 pages, 14 euros), par le couple Aurélie et Éric Viard, cofondateur d'un magasin en ligne de produits bio. Ce petit ouvrage est un bon début pour plonger dans cet univers iodé : il recense treize algues parmi les plus consommées et des propositions inattendues pour bousculer des recettes traditionnelles, telle cette “salade presque grecque”, mêlant du kombu aux tomates et aux concombres, ou encore cette soupe aux épinards et à la laitue de mer. »

Elle (21 mars) propose à ses lectrices les recettes du caviar vegan, des crackers, des falafels et de la salade rouge, toutes extraites du livre présenté de cette manière :

Bruno Bertheuil, dans le numéro du 24 mars de Paris Normandie Dimanche, propose un papier intitulé « Quand les algues arrivent dans nos assiettes ». Il a demandé à Éric Viard la genèse de son ouvrage : « Avec mon épouse, co-autrice du livre, nous consommons des algues depuis plus d’une vingtaine d’années. Nous avions découvert la cuisine aux algues en Asie où nous avons beaucoup voyagé, surtout en Thaïlande où l’on en trouve dans pratiquement toutes les préparations. En France, nous n’en consommons pas beaucoup alors que nous avons un gisement totalement inexploité. En plus, chez nous, ce sont des algues sauvages à la différence de l’Asie où elles sont très majoritairement cultivées. Nous voulions écrire ce livre, pas uniquement parce que nous en proposons sur notre site spécialisé dans les aliments bio mais parce que l’on voulait montrer que l’on pouvait véritablement en cuisiner. »
Avant de faire la présentation suivante du livre : « Sortir les algues de leurs niches culinaires, nous en faire découvrir la richesse gastronomique et surtout nous donner envie d'en cuisiner tel pourrait être l’objet du dernier livre d'Aurélie et Éric Viard Algues au quotidien. Et ils nous montrent qu'avec ces algues, on peut tout faire ou presque et souvent très simplement: des smoothies, des gâteaux, des soupes, des salades, des condiments et bien d’autres choses encore. Plus qu'un simple livre de recettes, il s'agit de nous familiariser avec l'univers des algues et leurs variétés. Et comme toutes les algues ne terminent pas dans nos assiettes, Aurélie Viard propose même à la fin du livre des recettes de produits cosmétiques. Mais c’est une autre histoire... »
 

Dans le quotidien La Croix datée du 14 mars, Stéphane Dreyfus lie « l'utile à l'agréable » en appréciant la démarche du concours Mini Maousse développée dans Quand la ville se prend aux Jeux :
« Pour faire de saville un terrain de jeux (olympiques ou non), il n’est pas forcément nécessaire de construire de gigantesques stades. II sufïït parfois de transformer un parking ou un bout de rue en espace ludique et sportif, ou, comme certains artistes facétieux, de créer des arbres à basket-ball ou des terrains de foot sur un champ de bosses. Autant d’idées qui réinventent la ville et que montre cet ouvrage richement illustré publié à l’occasion du concours Mini Maousse sur des micro-architectures. Le sujet de cette année ? Concevoir une mini fan-zone nomade, comme celle imaginée par les étudiants de l’école Olivier-de-Serres, à Paris, qui insère des ateliers sportifs dans les marchés en plein air. De quoi lier l’utile à l’agréable. »

Le site Actualitté qui décrypte « les univers du livre » fait aussi référence au même ouvrage en remarquant que celui-ci « propose de réfléchir sur le petit, le proche et l'accessible. ». L'article est à lire en cliquant ici.

Le site web de Actualitté, le « magazine littéraire pour professionnels et curieux : les univers de l'édition décryptés à travers l'actualité du livre et ses acteurs », met en avant Tania Mouraud, encore une fois en concluant : « l'artiste rend au message antiraciste, qui doit "encore une fois" être répété, toute sa force, sa justesse et son efficacité. ». À découvrir ici.
 
Autre référence celle du bimensuel de mars Arts magazine international: « À l’occasion de son exposition sur Fluctuart, Tania Mouraud, avec sa graphie hors norme, fait dialoguer sa série de 2005 “I have a dream ”, avec une nouvelle série intitulée “Shmues”. L’écriture devient alors matériau plastique qui exprime un désir de liberté et d'insoumission. En associant plusieurs langues – anglais, français, hébreu, chinois, hindi, arabe et coréen – à la singularité de son langage plastique, l'artiste rend au message antiraciste, qui doit “encore une fois” être répété, toute sa force, sa justesse et son efficacité. »

Voici les ouvrages que nous allons faire paraître ce premier semestre 2024.

                                              FÉVRIER

                               
– La Nature retrouvée. En explorant des pistes pour réintroduire la nature au cœur de l’habitat social et améliorer la vie de ses usagers, ce livre bouscule un certain nombre d’idées reçues sur les HLM. Et si ces initiatives, dont le but est de nous reconnecter au vivant, devenaient l’ordinaire ? Tel est l’enjeu de ce livre qui paraît le premier jour du mois.
– Tania Mouraud, encore une fois. Artiste plasticienne contemporaine majeure de la scène française et internationale, elle manifeste par sa graphie hors norme, qu’il convient de batailler pour voir des mots qu’un usage médiatique a fini par rendre invisibles. Le livre est couplé à une exposition personnelle visible au centre urbain Fluctuart du 15 février – date de la sortie en librairie – au 28 avril.

                                               MARS

                              
                              
– Les Algues au quotidien. Manger des algues n’est pas une tradition en Europe et pourtant ce sont de véritables bombes nutritionnelles écologiques. En librairie le 14.
– Un jardin d’aromatiques sur mon balcon. Voici un guide simple pour cultiver 25 herbes et fleurs aromatiques en pots. Par l’auteur de Un potager-compost sur ma terrasse. Parution le 14.
– Quand la ville se prend au Jeux. Face aux grandes installations du programme Paris 2024, Mini Maousse 9 propose de réfléchir sur le petit, le proche et l’accessible. Il se veut un coup de pouce au design actif dont l’objectif est d’aménager l’espace public afin de rapprocher de l’activité physique et sportive celles et ceux qui en sont le plus éloignés. Sortie le 14.
– Art of Skate. Le phénomène du skate expliqué de ses origines à aujourd’hui ; ce titre montre aussi les réalisations d‘artistes et de street artistes célèbres qui ont décoré des planches. Sortie le 28.

                                               AVRIL

                          
                                                     
– Guide du street art à Paris . Cinquième édition de notre célèbre guide, régulièrement mise à jour, qui propose 10 itinéraires (deux inédits) pour explorer les meilleurs spots de Paris et sa proche périphérie. Sortie le 11.
– Midi moins cher. Estérelle Payany, critique culinaire à Télérama Sortir, propose 120 adresses pour déjeuner à Paris pour moins de 20 €. Un guide du déjeuner malin. En librairie le 11.
Photo du cabochon de notre page d'accueil extraite de La Nature retrouvée.

                                                 MAI

– Ma cuisne anti-inflammatoire. 50 recettes délicieuses et simples pour soulager vraiment l’inflammation chronique. L'autrice enseigne la cuisine anti-inflammatoire à l’école Chefsquare de Paris. Parution le 2.
– Mes jus maison au fil des saisons. Praticienne de santé naturopathe spécialisée dans l’alimentation vivante, l'autrice vous offre 100 recettes pour trinquer à votre santé... et une préface du chef étoilé Alain Passard ! Parution le 16.
– Jo Di Bona - Pop Graffiti. Première monographie du street artiste chaleureux et haut en couleur qui fête à travers cet ouvrage ses dix ans de créations tous azimuts. En librairie le 16.