“Tribunes urbaines” : « Quand les murs parlent, le monde écoute »
Mis en ligne le 15/11/23 | #
Deux blogs et une rencontre pour Tribunes urbaines :
Les billets de Miss Acacia est un des top des blogs consacré à l'art urbain. Voici ce qu'elle écrit à propos de l'ouvrage: « Vous savez ce qu’on dit : “Si les murs pouvaient parler…” Eh bien, dans le monde de l’art urbain, ils le font. Des villes en ébullition aux ruelles silencieuses, les artistes urbains s’arment de bombes de peinture et de collages pour donner voix aux sans-voix. »
Pour lire, apprécier la suite et savourez sa très belle conclusion cliquez ici. Et comme toujours Miss Acacia termine par un morceau de musique, cette fois-ci elle a choisi Jeune et con de Damien Saez « artiste aux textes engagés.»
Autre présentation, celle d'une autre blogguese qui suit depuis de longues années le street art, Roswita Guillemin notamment à travers son Street Art Journal. Extrait :
« Bien sûr, on fait facilement référence aux affiches politiques de Mai 68, aux luttes pour les droits civiques aux États-Unis, mais force est de constater que les artistes urbains ont investi les murs de la planète pour s'exprimer et rendre visibles leurs préoccupations sociales, politiques et environnementales. Ils sont devenus les porte-parole des luttes de notre société, mettant à jour les malaises et les injustices de nos sociétés. ». Cliquez là pour savourer l'entièreté de son analyse.
Si vous demeurez en région parisienne, vous pouvez retrouver l'autrice de Tribunes urbaines à Montrouge. Chrixcel sera présente à “une journée longue-vue” organisée par le collectif et atelier d'artiste La Cale. Elle participera tout d'abord à une table ronde animée par Oriana Scaron sur le thème de l'art engagé avec le street artiste Jaëraymie – dont l'œuvre Distorsions est reproduite sur la couverture du livre – suivi d'une dédicace.
Association La Cale
6 bis rue du Colonel Gillon 92120 Montrouge
le samedi 18 novembre à partir de 17 h
Attention : le nombre de places pour participer à la table ronde est limité à 25
Les rouleaux d'aubergines aux noix (“Cuisine Sans Frontières”) : la recette du dimanche de “Libération”
Mis en ligne le 23/10/23 | #Jacky Durand a très souvent apprécié, avec sa verve entraînante, les livres de cuisine d'Alternatives dans Libération, sur le site du journal ou dans la newsletter
Tu mitonnes. Avant de présenter la recette du dimanche de Svetlana (Georgie), il écrit : « Dans le sac à dos de l'exil, il y a très souvent des recettes de cuisine, des plats de l'enfance et des saveurs gravées à jamais dans les papilles des migrants. C'est tout le sens du livre Cuisine Sans frontières concocté par l'association du même nom qui favorise la rencontre des cultures autour des fourneaux et l'intégration des personnes migrantes. Quand on nourrit l'autre, on ignore les barrières du monde, on est dans le partage des goûts et des destins. C'est ainsi que Cuisine Sans Frontières présente une quarantaine de recettes proposées et préparées par les ressortissants d'une trentaine de pays représentés dans l'association : Algérie, Albanie, Géorgie, Congo, RDC, Côte d'Ivoire, Nigeria... ».
L'article est à lire ici.
”10 ingrédients, 50 recettes, zéro gaspi” est « très utile et pratique » (LeMonde.fr)
Mis en ligne le 13/07/23 | #LeMonde.fr propose trois recettes ( « pour être sûrs de les utiliser, pour un dîner rafraîchissant, avec du vert, de l'orange et du violet ») extraites du dernier livre de Clémence Catz : sa galette de petits pois façon socca, ses aubergines farcies et son chessecake aux abricots. Voici comment Yoanna Sultan-R'bibo présente son ouvrage. « Ça y est, c'est enfin l'été ! Si la mer n'est pas encore en face de vous, faites entrer la Méditerranée dans vos assiettes. Pour un menu qui fleure bon le Sud, on a pioché dans le très utile et pratique
10 ingrédients, 50 recettes zéro gaspi, de Clémence Catz (Alternatives, 140 pages, 16 euros), qui propose des recettes simples, à base des ingrédients qui traînent souvent dans le placard quand on a décidé de se mettre à la cuisine veggie (tofu, farine de pois chiche, lentilles ou algues). »
Le bimestriel Healthy Food (juillet/août) chronique également ce titre : « ZÉRO GASPI. Algues, farine de pois chiche, fécule, flocons d'avoine, graines de chia et de lin, lentilles, miso, purées d’oléagineux, quinoa et tofu : Clémence Catz a défini ces dix ingrédients comme des indispensables de la cuisine végétarienne. Elle nous propose 50 recettes salées et sucrées pour apprendre à les utiliser et surtout, ne jamais les gaspiller en les laissant traîner au fond du placard... »
“Capitale(s)”, “Le Rire urbain”, etc. :
des expo street à art « à profusion »
Mis en ligne le 18/12/22 | # Très chouette article d'Alexandra Boucherifi sur « le site d'information dédié à l'art contemporain » très bien informé – plus de 11 000 références depuis leur début il y a 13 ans ! – Artshebdomédias. Elle y décrit l'explosion des expos art urbain en France de Paris à Bordeaux en passant par Landernau, Thonon-les-Bains et Biarritz. Voici son introduction. « Le temps lointain où l’on peinait à publier des articles pour informer sur les rares expositions de graffiti est définitivement révolu. L’heure est à la profusion d’expositions d’“art urbain” partout en France, des pionniers aux petits derniers à découvrir. L’heure est aussi au sens, au questionnement, à l’analyse, au regard porté sur l’histoire qui s’écrit sous nos yeux, depuis quelques décennies déjà. » On n'est pas étonné des présentations des deux événements parisiens dont Capitale(s) et Le Rire urbain sont d'une certaine manière un peu les catalogues.
Sur le Web aussi on apprécie l'humour
du “Rire urbain”
Mis en ligne le 07/12/22 | # Plusieurs recension pour Le Rire urbain sur Internet :
– Baz-art/org : « Les artistes qui nous ont le plus touché ou amusé :
– Levalet et ses gags lunaires ;
– Tous celles et ceux qui jouent sur les mots (Miss.Tic, Madame, Petite Poissone, La Dactylo, Les murs ont des oreilles...) ;
– Selor et son renard jaune ;
– Miss Printed et son ironie teintée de vintage. »
– Luckysophie.com : « Noël approche, voilà un chouette livre à glisser sous le sapin : Le rire urbain - Quand le street art fait de l'humour par Sophie Pujas aux éditions Alternatives, sorti en octobre dernier. [...] J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce beau livre drôle présentant le travail de 27 artistes, au travers de courts textes impactants nourris de citations et de photos parlantes. [...] J'ai retrouvé avec plaisir des artistes dont je connais bien le travail comme Petite Poissone, La Dactylo (vues récemment dans l'expo Roadmap), Jace, Seth (vu au Mausa Vauban et dans son expo solo Empreinte Carbone à Fluctuart), Selor (vu à Bordeaux, Marseille, Bruxelles et aussi dans l'expo Roadmap), Cal, Banksy (j'ai bien aimé l'expo The World of Banksy à Paris) et d'autres que j'ai découvert comme l'anglais Mobstr dont j'ai immédiatement adoré l'humour incisif. »
– Idboox.com : « Au travers de ces messages affichés, bombés, peints, tagguer ou collés sur les murs de villes, ils et elles sèment leurs mots d’esprits qu’on décode, rien que pour rire.
L’auteure s’est elle aussi amusée à arpenter les rues à la recherche du rire urbain. Une trentaine de street artistes sont rassemblés dans ce très beau livre : La Dactylo, Banksy, Madame, Miss. Tic, Jace, Seth… nous interpellent sur papier glacé. Avec eux, elle “questionne les formes et les couleurs que prend cet humour, de la pure légèreté au combat, du mot d’esprit au sarcasme en passant par le burlesque explique-t-elle.”
Des textes courts et de nombreuses photographies agrémentent cet ouvrage passionnant et plein d’humour ! »
– Artistik Rezo.com qui, à travers l'exposition à la Galerie Gallimard, fait référence à l'ouvrage de Sophie Pujas.
Le même titre a également été cité lors de l'émission Bienvenue au Book Club sur France Culture à laquelle Élise Herszkowic, co-auteure du livre Capitale(s) - 60 ans d'art urbain à Paris a participé sur le thème : Quels enjeux de pouvoir et de liberté s'expriment-ils dans la rue ? À réécouter ici.
“Maisons rêvées” : « un condensé de promesses et de fantasmes » (“Libération”)
Mis en ligne le 30/10/22 | #
Sur le site du quotidien parisien, présentation de Maisons rêvées : « Il y a donc pour Delphine Aboulker une sorte d'urgence à réhabiliter la maison d'architecte, en montrant aussi bien la vitalité de la création hexagonale que sa pertinence pour répondre aux enjeux du moment, tout en épousant différents modes de vie. “La maison d'architecte n'est pas réservée à une élite, elle est accessible à tous, plaide auprès de Libé l'historienne de l'art, à partir de 40 bâtisses français construites ces vingt dernières années. Au-delà du geste esthétique, elles sont d'ailleurs réinventées du fait des enjeux écologiques. Les architectes apportent leurs solutions comme le modulable, l'extension du bâti existant ou les matériaux biosourcés.” On pense ici, pour ne citer qu'elle, à la discrète villa KGET, de Bonté & Migozzi, accrochée à une colline d'Ensuès-la Redonne (Bouches-du-Rhône) face à la mer, abondamment fournie en lumière naturelle, et dont l'ossature verticale en bois entre en symbiose avec l'environnement immédiat. »
Lire l'intégralité de l'article de Florian Bardou en cliquant sur libération.fr.
( proposition graphique initiale : Jean-Jacques Tachdjian )
WWW credits