Editions Alternatives

Elle, le célèbre hebdo féminin, n'a pas traîné : le lendemain de sa parution en librairie le 21 octobre 2010, paf, quatre pleines pages consacrées à Collages et recettes. Allez, un extrait du savoureux article de Danièle Gerkens :  « Véritable pape des légumes, le chef Alain Passard publie enfin un livre de cuisine, soit près de 50 recettes qui subliment le veggie...(...) Jusqu'alors, Alain Passard ne faisait rien comme les autres. (...) Voici pourtant que tout change. S'il n'ouvre pas de bistrot à Las Vegas, le chef fait tout de même un accroc dans sa sacro sainte discrétion avec un ouvrage qui devrait faire hurler de bonheur ses innombrables fans. Soit quarante-huit recettes inédites et, parce qu'il est décidément unique, des collages personnels ». Allez, si vous vous procurez ce numéro du journal, vous y trouverez 7 recettes du chef !

(Photo extraite du numéro du 22 octobre 2010 de Elle)

Dans Votre beauté (mensuel de novembre 2010), voici un extrait de la présentation du même ouvrage : 
« Dans Collages et recettes il nous dévoile d'autres talents puisqu'il illustre chacune des quarante-sept recettes inédites de collages originaux. Cèpes et citron à la fleur de thym, pomme au four à la fleur d'hibiscus, navets violets et tomates noires au saint amour, bananes au curry de Madras. Chaque recette nous plonge dans un monde onirique et la cuisine n'a jamais aussi bien mérité sa place dans la catégorie des arts. »

Même tonalité dans le bimestriel Marie Claire idée" (novembre-décembre 2010), sous le titre Collection potagère :
« Alain Passard sait aussi bien faire chanter les couleurs dans les assiettes que dans ses ouvrages En 47 recettes inédites (carottes et basilic pourpre a la cannelle, pomme au four a la fleur d'hibiscus) et autant de collages graphiques, ce chef étoilé nous offre une nouvelle lecture de son talent.»

Etoile, le bimestriel grenoblois d'octobre-novembre 2010 écrit : 
« Alain Passard n’avait jamais souhaité publier ses recettes. Un livre en révèle aujourdh’hui quarante-sept qui laissent la part belle aux végétaux. Plus spectaculaires encore, les découpages et collages de papiers colorés, auxquels le chef de l’Arpège s’adonne pour juger de l’effet visuel d’un plat et qui illlustrent abondamment le livre. Mais pas si étonnant quand on connaît son approche chromatique et preque picturale de la cuisine : juste la nouvelle facette d’ une passion dévorante de la cuisine légumière. »

C'est sous ce titre énigmatico-poétique que le bimestriel 100 Idées déco (octobre-novembre 2010) parle de La Maison de A à Z :

Dans le mensuel M d'octobre 2010, un bel article sur Foujita :
« (...) L'homme qui aimait peindre les femmes et les chats, après avoir obtenu la nationalité française en 1955, choisit pour prénom Léonard, en hommage à Léonard de Vinci qu'il vénère. Témoin d'un temps révolu, celui d'un Paris de l'entredeux-guerres, de la Ville lumière qui vécut alors ses plus belles heures de gloire, Fou-fou (c'est son surnom), haute figure du quartier de bohème, demeure un maître du trait. Sylvie Buisson, spécialiste de cet artiste, livre un nouvel ouvrage invitant à découvrir une somme d'œuvres et un parcours atypique. »

Dans le supplément de l'Humanité du 2/3 octobre 2010, Georges Pérou consacre deux colonnes à ce même titre sous le titre “Foujita, l'excentrique et le séducteur”. Extraits : « Sylvie Buisson vient de publier un nouvel ouvrage sur Léonard Foujita, son peintre de prédilection. (…) Dans le présent ouvrage, elle met plus l'accent sur la personnalité de l'artiste et sur la manière dont il s'est intégré dans ce microcosme de l'avant-garde française (qui était composée, pour l'essentiel, d'étrangers) (…) En lisant l'histoire narrée par Sylvie Buisson, Foujita apparaît dans ses contradictions léger, fantasque, dandy d'une part et, de l'autre, si faible devant l'amour, incapable de vivre son donjuanisme de façade. »

Dans son numéro d'octobre 2010, le bimestriel France photo graphie, sous la plume de Marie-Jo Masse, écrit à propos de Made in Paris :« Paris tel que les Parisiens ne le voient plus pourrait être le sous titre de ce livre. Chaque double page décline un thème sous forme d'une mosaïque ou planche contact d'un côté et d'une photo plein format sur celle de gauche. Sont ainsi inventoriés les plaques d'égouts, les chiens, les enseignes, les panneaux de signalisation, les graffitis de Miss.Tic et d'autres, les petits métiers, les clochards. Petits détails de notre environnement quotidien qui nous semblent banals et qui constituent pourtant une vraie typologie parisienne qui étonne le touriste. D'ailleurs les auteurs de cet ouvrage sont originaires d'Amérique du Sud. N'y cherchez surtout pas des vues des grands monuments de Paris. C'est de l'air du temps qu'il est question ici. »
Petite rectificatif : un seul des auteurs est sud-américain comme le précise un autre bimestriel de septembre-octobre, Mémoire des arts : « Un ouvrage des photographes Daniel Spehr, Kathrin Schulthess, tous deux suisses et Guido Indij, argentin et éditeur. Des photos en pleine page, à la recherche l'identité profonde de la capitale. »

Dernières parutions pour Un nouvel art de militer :
– Altermondes (trimestriel de septembre 2010), qui consacre un copieux (15 pleines pages) et passionnant dossier sur l'engagement et la militance, a présenté ainsi l'ouvrage de Sébastien Porte et Cyril Cavalié :

– Marianne Langlet, dans Lien social (hebdomadaire du 13 septembre 2010), a retenu ce même ouvrage : « Presque un livre d’art. Les photos sont nombreuses et la présentation est soignée. Une balade dans les nouvelles formes du militantisme.(...) Le chapitre d’ouverture, l’École de la désobéissance, peut se lire comme un petit manuel. Il rappelle, photos à l’appui, les techniques de blocage et de résistance pour durer face aux forces de l’ordre sans être accusé de violence. Il détaille l’action du Manifeste des désobéissants, un collectif qui s’emploie à épauler les groupes dans leurs interventions et leur propose une formation aux actions non violentes. Une réponse en miroir à ces nouveaux stages anti-séquestration, destinés cette fois aux dirigeants d’entreprises qui doivent désormais faire face à de nouvelles formes de protestation. »

Le Guide de l'architecture moderne à Paris 
a retenu l'attention du mensuel hors série 
D'a-Guide (septembre 2010) : 
« C'est la cinquième édition de cet ouvrage, qui recense plus de 1 500 constructions de 1900 a nos jours, commentées par leurs auteurs
quand l'histoire le permet. Les 17 itinéraires imaginés au cœur des arrondissements de la capitale font découvrir les immeubles de logements, les bureaux, les musées et autres administrations qui ont marqué l'histoire de l'architecture parisienne. (...)
Avec ce guide, Hervé Martin cherche surtout 
à faire redécouvrir un patrimoine récent qui n'attire 
pas suffisamment l'attention qu'il mérite. »