Editions Alternatives

Excellent papier de Letizia Dannery consacré à la planche à roulette – dont la discipline figure pour la deuxième fois cette année aux Jeux olympiques – dans L'Express (25 juillet/7 août). La journaliste y met en valeur le travail de « Sylvie Barco, photographe plasticienne, coauteure avec Philippe Danjean et Stéphane Madœuf de l'ouvrage Art of Skate paru ce printemps aux éditions Alternatives, qui travaille au plus près des skateurs. Fascinée par les traces que laissent les humains dans l'espace public, elle a longtemps trimballé son objectif partout dans le monde pour immortaliser des murs tagués. En 2018, sa découverte du skatepark de Gandia, en Espagne, marque un tournant dans son corpus. Elle y entame la série Gang of Skate, qui mêle images photographiques, fragments de textes et motifs graphiques pour donner jour à une œuvre plastique à part entière. Des adeptes évoluant dans un espace dédié, équipé de rampes et halfpipe, Sylvie Barco s'intéresse ensuite à ceux qui se sont approprié un lieu en détournant ses caractéristiques de leur usage classique, tels ces garçons qui foulent inlassablement le Dôme. Un laboratoire urbain où “chaque recoin ouvre sur une exploration, une provocation, un enjeu”.
Plutôt que de capturer la performance, l'artiste cherche la métaphore : saisir au vol cette planche qui, à elle seule, traduit le “monologue intérieur d'une jeunesse en quête d'expression et de liberté” dans un univers où “tout est hyper étudié – tenue baggy, chorégraphie, contrôle”. S'affranchissant de la traditionnelle iconographie du skateur en lévitation, elle se focalise notamment sur le rapport que chacun entretient avec la chute, déconcertant parfois ses modèles, habitués à être figurés dans l'aspect spectaculaire du saut. À l'arrière-plan, les filles, plus secrètes, ont aussi leur place sur le bitume. Les clichés de Sylvie Barco les voient se fondre avec les communautés Queer, Yel et LGBT pour former un groupe atypique où la planche devient vectrice d'émancipation et de solidarité. »

Le raz de marée continue pour Algues au quotidien, au point d'être notre titre le plus repris dans les médias en 2024 :
– dans le bimestriel Femme actuelle jeux nature (aoüt/septembre), Céline Lacourcelle propose un dossier sur « Les superpouvoirs des algues » décrits comme des « organismes marins [qui] sont les premiers végétaux à être apparus sur Terre. Véritable mine de nutriments, ils sont aussi dotés d'étonnantes capacités. » Le livre de Aurélie et Éric Viard y est vivement recommandé : » UN LIVRE POUR NE PAS EN PERDRE UNE MIETTE.  II y en a pour tous les goûts dans cet ouvrage. Après une présentation de treize variétés incontournables, on apprend à les mettre à toutes les sauces. D'abord à table en boissons iodées, rillettes de la mer, taboulé revisité, sorbets protéinés... Ensuite dans la salle de bains pour de nouvelles routines beauté sous la forme de cosmétiques simples à préparer pour toute la famille, comme ce masque réparateur algues et miel ou ce gommage pour le corps à la spiruline. Bonne pêche ! »

– Autre bimestriel, Open Mind, celui de juillet/août, avec le même titre :
« Aurélie et Éric Viard spécialistes de l'alimentation vivante en France partagent leur savoir-faire pour tout connaître des supervégétaux qui existent ! Kombu, nori, wakamé, macro-algues.... Ils vous ont listé les 13 algues à absolument intégrer à vos plats, mais aussi à votre routine beauté. Après un rapide tour d'horizon de leurs usages et de leurs bienfaits, place à la pratique ! Pas moins de 40 recettes y sont répertoriées pour apprendre à les cuisiner ou les utiliser en cosmétiques. »

– Saveurs nutrition (trimestriel de juillet/septembre) :
« LES ALGUES PAR LE MENU. En France, on est loin des
8 kg par an et par habitant d'algues consommées par les Japonais, mais on progresse... D'eau douce ou d'eau de mer, les algues regorgent de protéines, vitamines et nutriments qui les propulsent au rang de superaliments. Mais au quotidien, comment les accommoder? Après une revue de détail – pays de prédilection, CV... –, les auteurs les mettent en scène dans des recettes entre terre et mer finement iodées. Un granola croquant à la laitue de mer en paillettes, un bowl protéiné au wakamé, des rochers choco à la chlorelle... Du petit déjeuner au dessert, ces recettes végétariennes et crues annoncent un régal loin des produits ultra-transformés. »

– Dans l'hebdomadaire Ici Paris (10-16 juillet); Églnatine Grigis parle de  « LA FOLIE DES ALGUES ». Et de s'interroger : « La France a de fantastiques ressources en algues, en particulier en Bretagne, notent Aurélie et Éric Viard dans Algues au quotidien (éd. Altematives). Malgré cette chance que bien des pays nous envient, les algues sont encore trop peu présentes dans la gastronomie traditionnelle. Les végétariens et les végans les adorent, les flexitariens sont... plus frileux. Dommage, car wakamé, nori, dulse, kombu et autres macro algues regorgent de bienfaits : riches en protéines, minéraux (calcium, magnésium, iode...), antioxydants et peu caloriques, elles se marient avec bon nombre de plats. »

C'est la conclusion du bref – mais bel ! – article que le périodique Open Mind a consacré à Mes jus maison au fil des saisons :

... ben si justement ! Le magazine Photo (juin/août) consacre plusieurs pages à Sylvie Barco et son parcours photographique dont on retrouve un large panorama dans Art of Skate, « la naissance d'un livre référence. ». Voici la conclusion du magazine : « Sous les statues de nymphes, c'est un art vivant qui prend corps au cœur de l'art classique. Un art auquel chacun peut prendre part. Sylvie Barco, comme beaucoup d’autres avant elle, se l’approprie en photographie et plus récemment en design. Elle customise l’objet pour “raconter [s]on exploration photographique du skate sur un skate”, jusqu'à imaginer une planche-lampe sur laquelle elle travaille actuellement. Son livre, réalisé avec Philippe Danjean et Stéphane Madoeuf, retrace tout ce pan de monde qui ne cesse de glisser. »

Dans le numéro de jullet/août de Elle à table, les journalistes Alexandra Michot et Céline Puertas recommandent Midi moins cher et Mes jus maison dans leur Eat Parade :

L'ouvrage de Alice Vanhoye a aussi reçu les faveurs :
– du bimestriel (juillet/août) Healthy Food : « Des jus maison à faire toute l'année. La naturopathe spécialiste de l’alimentation vivante Alice Vanhoye dévoile une ribambelle de jus de légumes et de fruits extraits à froid à travers 100 recettes superbement illustrées. Chacune des créations détient son propre pouvoir sur notre organisme : régénérant, vitalisant, boosteur de défenses immunitaires, source de vitamine C... Vous n’avez plus qu’à piocher en fonction de votre forme du moment. » ;
– du trimestriel Ventre et santé magazine (juillet/septembre) : « RETROUVER LE JUS ! Quelle différence entre un jus fraîchement extrait et un smoothie ? Entre un jus de fruit du commerce et celui que vous faites maison ? Dans Mes jus maison au fil des saisons, la cheffe de cuisine végétale et naturopathe Alice Vanhoye nous explique les avantages santé des jus réalisés à l'extracteur, et nous dévoile ses précieux conseils (équipement, composition, erreurs à éviter...). Véritables bombes nutritionnelles, les jus fraîchement extraits élaborés principalement à base de légumes (et parfois quelques fruits peu sucrés), ne contiennent pas de fibres et ne sont donc pas irritants pour les intestins. Hyper concentrés en enzymes, vitamines, minéraux, oligoéléments et antioxydants, ils sont reminéralisants, alcalinisants et donnent la patate. Les recettes d'Alice Vanhoye qui suivent le rythme naturel des saisons sont délicieuses.
What else? »

Deux retombées pour Ma cuisine anti-inflammatoire :
– Les Échos week-end (7/8 juin) dans lequel Claude Vincent écrit : « Le contenu de l’assiette – qui joue sur le stressle sommeil, l’équilibre psychique et la forme physique – est un des moyens de lutte contre l’inflammation chronique assez facile à mettre en œuvre. Et les ouvrages proposant de nous guider ne manquent pas, tous à peu près bâtis sur le même modèle - explications, conseils, recettes- et souvent conçus par des auteurs concernés à titre personnel.[...] La cuisinière (formée chez Ferrandi) Marianne Magnier Moreno qui enseigne la cuisine anti-inflammatoire à l’école Chefsquare de Paris, s’est un jour aperçue que sesviolentes douleurs au dos étaient dues aux produits laitiers. Sa cuisine les évite ainsi que le gluten. Vous pouvez consulter l'entiereté de ce même article intitulé « Santé : combattre l'inflammation par l'assiette » sur le site du journal : lesechos.fr.
– Le bimestriel Good! C'est bon ! (juillet/août) :
 
         
 
– Le trimestriel Ventre et santé magazine (été 2024) : « METTRE UN TERME
AUX DOULEURS CHRONIQUES. L’alimentation est le pilier de la santé tout au long de la vie. Rappelons d’ailleurs le fameux adage : “Nous sommes ce que nous mangeons”. Autrement dit, une bonne partie de notre équilibre physique et émotionnel dépend du contenu de notre assiette, de la même manière qu'une alimentation saine contribue à prévenir les maladies et l'inflammation chronique. Partant de ce constat et parce qu'elle souffrait elle-même de douleurs inflammatoires récurrentes, Marianne Magnier-Moreno propose dans cet ouvrage 50 recettes saines et faciles à faire à la maison, pour repenser son régime alimentaire au regard de ses pathologies inflammatoires...sans oublier de se régaler. »
– Autre trimestriel (juillet/septembre), Yoga les essentiels : « APAISANT. L'inflammation est à l'origine de nombreux maux chroniques tels qu'eczéma, acné, migraines, arthrose... Pour la résorber, il faut s'attaquer à son origine, qui est aujourd’hui souvent liée à l’alimentation moderne, trop riche en blé et en produits laitiers notamment, Marianne Magnier-Moreno enseigne la cuisine anti-inflammatoire à l'école Chefsquare à Paris, et nous dévoile, accompagnée du Dr Sabrina Carlier, endocrinologue, les grands principes à suivre : aliments à éviter, à réduire, les types de cuisson à privilégier... Elle nous propose, en outre, 50 recettes simples et équilibrées à réaliser au quotidien, sans oublier les gourmandises sucrées, telles que le "No-cheese cake", et sa pâte à tartiner, à tomber ! »
 

Premier article pour Jo Di Bona - Pop Graffiti  et c'est dans
Arts magazine (été 2024) : « Retour sur le parcours de l’artiste commencé en graffant les murs de la banlieue parisienne etqui se poursuit aujourd'hui sur ceux des quatre coins du monde, en galeries et dans les institutions les plus prestigieuses. Dans la rue comme en atelier, la technique est une association de graffiti à la bombe et de collage d'affiches, déchirées dans un second temps, dans une gamme chromatique très colorée, le tout immédiatement identifiable. Jo Di Bona revendique le côté Pop de son art, c’est-à-dire populaire etaccessible au plus grand nombre, et aime à faire figurer personnages célèbres comme illustres inconnus, avec ce regard généreux qu’il porte sur l’humain. »