Editions Alternatives

Le « poteau » de Gotlib Yves Frémion dénonce « les innombrables atteintes à la liberté d'expression » dans son Images interdites affirme à juste titre Siné Mensuel (juillet/août). « Un panorama dynamiteur, une icono du tonnerre. “Un censeur ne peut être autre chose qu’un ‘demeuré mental’ avec un tas de refoulements”, tempêtait le grand Gotlib. Son poteau Frémion, qui fricasse des polars succulemment transgressifs sous le pseudo de Colonel Durruti, a répertorié méthodiquement les innombrables atteintes crapuleuses à la liberté d’expression perpétrées depuis le nouveau millénaire dans tous les domaines visuels. Et c’est du joli : y a de nos jours cinq fois plus de répression contre les images qui offusquent qu’au siècle dernier. »

C'est ainsi que Suzanne Madon introduit la présentation de L'Art du livre origami dans le bimestriel (juillet/août) Arts & Métiers du Livre. « Origami et compagnie. Sous cette couverture sobre se cachent des trésors de l’art du pliage mis au service du livre d’artiste ou de photographie. Si les principes de l’origami semblent connus, on découvre ici un monde infîniment plus riche qu’on ne l’imagine. Avec le kirigami (du japonais kiru, couper kami, papier), qui allie pli et découpe, on peut ainsi construire des reliefs en pop-up, jusqu’à assembler et imbriquer des feuilles pour produire de véritables architectures en trois dimensions. Leporello, livre escargot, livre tunnel... plus d’une centaine de créations d’artistes contemporains illustrent les multiples formes de cet univers de papier. Quelques pièces de collection témoignent de son ancienneté. L’auteur livre également les clés de 35 modèles de sa propre conception qui permettent au lecteur de comprendre leur structure et de les réaliser. L’amateur tenté par une première expérience comme le plus aguerri en quête d’inspiration trouveront donc leur bonheur. Les autres exploreront une galerie éblouissante d’invention. Un pont entre le plaisir enfantin de manipuler la matière et un art qui n’en finit pas de se renouveler. »

À la table d'une famille tamoule et son autrice Jody Danasse en vedette dans le bimestriel (juillet/août) Les petits plats de Laurent Mariotte. La journaliste Louise Delaroa y présente un dossier bien ficelé : « Sacré cuisine indienne ». Extraits :
« Le quartier de la Chapelle abrite la diaspora tamoule. Cette ethnie est originaire de l'État du Tamil Nadu, au sud-est de l’Inde et au nord du Sri Lanka. Les Tamouls sont majoritairement de confession hindoue, ils ont leur propre langue et leur culture ne doit pas être confondue avec celle des hindis, majoritaires en Inde. La fête de Ganesh à Paris, dieu de la sagesse et de la gourmandise, est donc marquée par les traditions tamoules. Jody Danasse, auteure et dessinatrice de l’ouvrage A la table d’une famille tamoule, connaît bien le rituel : “Les commerçants distribuent des repas végétariens, comme des dalhs. De façon générale, quand on célèbre un dieu, on ne mange pas carné. C’est une question de respect pour tous les êtres vivants. [...] Ganesh adore aussi les laddu, de petites boules de farine de pois chiche, imbibées de sirop”, poursuit l’auteure. Certains ingrédients sont incontournables durant les festivités, car ils ont une symbolique importante dans l'hindouisme. La noix de coco représente fabondance. “On la casse en deux pour prendre les auspices. Si l’intérieur est immaculé, c’est bon. Devant les commerces de la rue Saint-Denis, le sol en est jonché ! C’est une manière de leur souhaiter prospérité et bonheur.” Les offrandes de fruits comprennent aussi du curcuma utilisé pour bénir. II symbolise la purification. “On façonne même le dieu Ganesh avec de la pâte de curcuma !”, explique Jody. Enfin, le tulsi, appelé basilic sacré, est la plus sainte de toutes les plantes. C’est un élément phare de la médecine ayurvédique.” »

Autre présentation du livre dans le trimestriel (juillet/septembre) Mieux pour moi qui offre sa recette du pachedi :

Dans le numéro du 7 au 12 juillet de Paris Match, le journaliste Emmanuel Tresmontant consacre un reportage de deux pages richement illustrées aux « boui-bouis chéris » qu'il a découvert et recommandé grâce au Guide du Paris boui-boui :
« Autrefois, les damnés de la terre quittaient le Puy-de-Dôme. À présent, ils fuient l’Iran,
le Pakistan, l’Afghanistan, l’Éthiopie, l’Algérie, l’Égypte, la Turquie, la Syrie, l’Ukraine...
Une jeune femme passionnée de gastronomie exotique, Chloé Vasselin, vient de leur consacrer le Guide du Paris boui-boui, dans lequel elle a recensé 120 adresses où il est possible de manger à moins de 15 euros.
Son guide en poche, nous avons redécouvert Paris. Le premier choc, c’est quand nous réalisons que le boui-boui, nous le connaissions, nous passions devant chaque jour, sans même imaginer une seconde que nous pourrions un jour entrer pour y manger... En fait, c’était une erreur. Ainsi en est-il de la petite adresse indienne ou pakistanaise, tel qu’on la trouve dans le X^e arrondissement comme Little India, 270, rue du Faubourg-Saint-Martin, ou pire encore comme Faisal, 11, rue Jarry (entre deux hôtels louches) ou comme cette épicerie insolite, Le Bazar Maurice. Les plats y sont délicieux, authentiques, épicés “comme là-bas”, préparés fraîchement en cuisine et servis avec gentillesse... Dans le boui-boui, on retrouve ainsi la simplicité du Paris populaire immortalisé naguère par Brassaï et Doisneau, cette humanité qui fait tant défaut à nos restaurants bon chic bon genre, où l’on s’ennuie un peu à table et où l’on aimerait qu’il y ait un peu plus de vie dans la salle, avec des rires, des blagues grivoises et des visages rougeauds... »

           
Deux  journaux parisiens font aussi référence à ce guide.
– Sylvie Chatelin dans Le 18^e du mois (juillet/août), « journal d’information sur le 18^e arrondissement de Paris », écrit :

– le magazine trimestriel Paris je vous aime (juillet/septembre) trouve le livre
« immanquable ! », Katia Kulawick-Assante le recommandant même en deux langues :

Sophie Menut Yovanovitch a vraiment apprécié The Friendly Kitchen ! Voici la présentation qu'elle en fait dans le bimestriel Cuisine et Vins de France (juillet/août) :

Dans son numéro de juillet/août, Le Journal de la Maison a eu un coup de cœur pour Et vogue l'architecture. Voici la présentation de Pauline Fontaine dans sa rubrique JLM now! :

« Si ne plus démolir pour reconstruire relève de l'évidence, il y a manière et manière de faire avec le déjà-là. » C'est la phrase introductive du mensuel AMC (juin-juillet) pour présenter Ré:habiter :

          
Autre référence au livre d'Olivier Darmon, celle d'un autre mensuel (été) S!lence :

C'est l'excellent titre – clin d'œil au célèbre film de Billy Wilder avec Marilyn Monroe – imaginé par Télérama (25 juin/1^er juillet) pour présenter Peindre et décorer au naturel :

Deux autres références au livre dans un autre hebdomadaire, Rustica (1^er/ 7 juillet) : « Déco écolo & économe. Nathalie Boisseau propose ici des recettes traditionnelles à partir d’ingrédients naturels : chaux, huile de lin, blanc de Meudon... Des techniques simples de restauration. » et dans le bimestriel Kaizen dans sa « sélection kulturelle »(juillet/août).

Deux articles sont consacrés au livre de Jody Danasse – paru il y a exactement trois mois – À la table d'une famille tamoule :
– Marie Larpent écrit dans le bimestriel Healthy Food (juillet/août) :

– le même ouvrage est le coup de cœur du trimestriel de l'été Esprit veggie :