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Médias : ça descend sec pour “Descente interdite”

Mis en ligne le 30/05/11 | #
 

FR3 Descente

Premières retombée médiatiques pour Descente interdite :

FR3 Île de France a invité Karim Boukercha, son auteur, le 25 mai 2011 ; 


   

– dans le Le Parisien  du 23 mai, Julien Solonel décrit ainsi l'ouvrage 

 Ce livre va rappeler de mauvais souvenirs a la RATP. Écrit par Karim Boukercha, lui-même ancien adepte de la bombe de peinture, Descente interdite retrace l'histoire du tag dans le métro parisien, des prémices, au début des années 1980, a aujourd'hui. « Jusqu'en 1984, les graffitis avaient toujours un contenu politique ou autre », raconte Karim, qui a lâché l'aérosol pour la plume. Venus de New York, les premiers tags recouvrent les rames de la ligne 8 avant de « se transmettre comme un virus », poursuit l'auteur, pour qui les graffs « sont un moyen d'expression et de reconnaissance ». Illustré de plus de 1 200 photos et documents, pour la plupart inédits, Descente interdite revient aussi sur la guerre que mène la RATP contre les tags. En 1992, la Régie lance le plan Reconquête du territoire, avec un budget de 80 millions de francs (12 M€) par an pour protéger ses métros. Les nouvelles peintures des rames, des techniques de surveillance plus évoluées ou des enquêtes rendent les tags moins visibles. « En 2011, même si l'efficace politique de nettoyage ne permet pas de le constater, on peint et on tague toujours autant », relativise Karim Boukercha dans le chapitre « Le métro ne meurt jamais. » La preuve en images. »

« Ce livre va rappeler de mauvais souvenirs a la RATP. Écrit par Karim Boukercha, lui-même ancien adepte de la bombe de peinture, Descente interdite retrace l'histoire du tag dans le métro parisien, des prémices, au début des années 1980, a aujourd'hui. « Jusqu'en 1984, les graffitis avaient toujours un contenu politique ou autre », raconte Karim, qui a lâché l'aérosol pour la plume. Venus de New York, les premiers tags recouvrent les rames de la ligne 8 avant de « se transmettre comme un virus », poursuit l'auteur, pour qui les graffs « sont un moyen d'expression et de reconnaissance ». Illustré de plus de 1 200 photos et documents, pour la plupart inédits, Descente interdite revient aussi sur la guerre que mène la RATP contre les tags. En 1992, la Régie lance le plan Reconquête du territoire, avec un budget de 80 millions de francs (12 M€) par an pour protéger ses métros. Les nouvelles peintures des rames, des techniques de surveillance plus évoluées ou des enquêtes rendent les tags moins visibles. « En 2011, même si l'efficace politique de nettoyage ne permet pas de le constater, on peint et on tague toujours autant », relativise Karim Boukercha dans le chapitre « Le métro ne meurt jamais. » La preuve en images. »

Parisien Descente


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