Editions Alternatives

Le premier quotidien de France, dans son numéro du 22 janvier 2007, a repéré deux de nos récents ouvrages. Ouest France écrit ainsi : « L'Amérique du Sud est en pleine mutation et les éditions Alternatives suivent de près ces évolutions politico-historiques qui collent bien avec le nom de l'éditeur. Argentine rebelle détaille des initiatives isolées, où les théories altermondilaistes deviennent pratiques, ou les mots “coopératives”, “autogestion” et “troc” font partie du quotidien. “Cette argentine rebelle mérite notre intérêt. Elle est vive, inventive, novatrice”, écrivent les auteurs qui le prouvent en mots et en images. Autre pays, autre livre. Le Venezuela où Hugo Chavez (voir ci-contre photo de l'auteur Maurice Lemoine extraite du livre) tente de proposer un autre modèle économique. Un laboratoire d'idées nouvelles et recyclées pour vivre autrement. Un chantier en cours à découvrir le temps de cet instantané... »

Dans son supplément LES LIVRES du 9 février 2007, le quotidien belge Le Soir, ouvre son dossier par une illustration de Frank Lalou extraite de Je t'aime, avec l'illustration ci-contre et le sous-titre TROIS MOTS QUI OUVRENT À LA VIE. « Frank Lalou,caligraphe polyglotte et amoureux. Son livre illustré Je t'aime vient d'être réédité. Il permet de faire sa déclaration en trois cents langues. Le calligraphe conclut ainsi son interview : “Je suis sûr qu'il y a des bébés qui sont nés grâce à ce recueil. Il permet de dire « Je t'aime dans tellement de langues ! Même avec des mots extraterrestres : une des expressions est issue de Star Trek... »
La veille de la Saint Valentin, Le Quotidien du Médecin a choisi le même ouvrage sous le titre LES MOTS DE L'AMOUR : « Pour ne pas rester transi à l'autre bout du monde, les amoureux ont intérêt à emporter le livre réalisé par Frank Lalou il y a cinq ans et aujourd'hui réédité. Il est simplement intitulé Je t'aime et il n'aurait pa pu s'appeler autrement puisqu'il recense plus de trois cents façons d'exprimer ce sentiment dans des langues différentes, de l'acholi (Ouganda) au zuni (tribu indienne d'Amérique du Nord), en passant par le cantonnais ou l'innuit. »

Long article analytique de Pierre Puchot dans le quotidien La Croix (24 janvier 2007), sous le titre LES JEUX VIDÉOS ENTRENT DANS L'HISTOIRE : « Tel un album de famille, Push start pose la question du lien générationnel autour de références culturelles communes (...) Il tient plus de l'illustré que de l'ouvrage de fond sur l'influence sociale des jeux vidéos. Construit autour de textes courts et de captures d'écran intelligemment annotées, ce libre brille par la pertinence des choix de son auteur, le collectionneur et chroniqueur François Houste. »

Bonne présentation de Push start sur le site Pixelcreation.fr. Voici le lien : Pixelcreation.fr

Autre excellente chronique de l'ouvrage de François Houste de l'Agence française pour le jeu vidéo sur Ajjv.com

Maurice Lemoine, qui vient de sortir chez nous Le Venezuela de Chávez, a les honneurs de la presse : L'Humanité (16 décembre 2006), sous le titre UNE RÉVOLUTION EN IMAGES, écrit : « De ses nombreux vopyages au Venezuela, l'auteur a rapporté la fresque photographique d'une société en mutation. Une série de cinq textes, écrits dans le style du reportage, font écho aux photos en noir et blanc. Des quartiers populaires et de la vie quotidienne aux manifestation de soutien au président, lors de la tentative de coup d'Etat de l'opposition en 2002, le reporter saisit le fil d'une histoire à rebondissement. »
Actualité oblige, le rédacteur en chef du Monde diplomatique Maurice Lemoine est très demandé. Qu'on en juge : – Marie-France Chatin-Laroche l'a invité pour son émission Décryptage le 4 décembre 2006 à RFI. – Reçu également par Michel Field lors du Journal de la rédaction ce même jour sur LCI. – l'hebdo Politis (30 novembre-6 décembre 2006) conseillait lui aussi Le Venezuela de Chávez. – Le jour des élections vénézuéliennes, le journal de la mi-journée de France Culture avait aussi reçu Maurice Lemoine qui est l'auteur de la photo ci-dessus extraite de son livre.
Un article dithyrambique sur le livre de Maurice Lemoine, celui du site Oulala.net

Dans son numéro de janvier 2007, Danse, sous le titre LA COURSE DES PETITS RATS, a consacré un très long article au Chemin des étoiles. Voici la conclusion de France de Vogüé : « Ce livre est un fidèle témoignage de L'Ecole de danse de l'Opéra national de Paris d'aujourd'hui. Si vous avez encore quelques cadeaux de fin d'année en retard, n'hésitez pas à l'offrir ou à vous le faire offrir. Sinon votre anniverssaire sera peut-être dans un délai moins long que les prochaines fêtes de fin d'année ! »
Autre mensuel sur la danse, Danser (du même mois) a aussi remarqué le travail de notre auteur : « Pour les “addicts” de l'Ecole de danse de l'Opéra de Paris, la photographe Natacha Hochman qui a déjà publié il y a dix ans Itinéraires d'étoiles, réitère son exploit avec Chemin des étoiles On pénètre dans l'intimité et le quotidien acharné de ces enfants qui ont choisi la danse. »

Un blogeur qui adore 28mm : zyeuter les vidéos pour voir “les cuisines” du livre... Il s'appelle Jules Aimé.
« Une démarche originale. ». Tel est la conclusion de la présentation de 28mm dans le numéro de février 2007du magazine Réponses Photo.
Regards (mensuel de janvier) a beaucoup aimé 28mm. Sous le titre CLICHY SANS CLICHÉ, Marion Rousset écrit : « JR pratique l'affichage sauvage. Il se pointe dans un quartier avec son compère Ladj Ly, membre du collectif Kourtrajmé, muni de son objectif. Photographie les habitants. Puis accroche sur les murs de la ville ses portraits en noir et blanc qui prennent à témoin les piétons. »
Le beau bimestriel De l'air (décembre 2006-janvier 2007) écrit ceci sur ce même titre : « 28 portraits plein pot de jeunes du 9-3 placardés sur les murs de Paris. Pourquoi ? Pour en faire les invités des quartiers parisiens. Pour recueillir les propos et les réactions in situ des passants. Et pour finalement donner un livre qui dévoile les clichés de cette exposition sauvage et les commentaires qu'ils ont suscités. Le projet est signé JR, photographe, et Ladj Ly, acteur et documentariste. Préface de Vincent Cassel. »
Dans son numéro de décembre 2006-janvier 2007, le mensuel DS Magazine a chroniqué 28mm sous le titre STREET GALERIE. Anne-Laure Griveau écrit : « “Que voulaient-ils vraiment, ces jeunes, à part être entendus ?”, interroge le comédien Vincent Cassel dans la préface. C'est pour leur donner un visage et montrer qu'ils existent hors des stéréotypes habituels que l'artiste JR a posé, avec la complicité du réalisateur Ladj Ly, son objectif 28 millimètres dans les rues des cités des Bosquets, à Montfermeil et Clichy-sous-Bois. Fruit de ce travail : 28 portraits plein cadre, en noir et blanc, qui se sont d'abord affichés sur les murs de l'Est parisien. Une galerie éphémère à ciel ouvert qui interroge les passants sur la représentation toute faite que les médias et les politiques offrent des cités. “La considération n'est-elle pas le début de l'amour ?” espère Vincent Cassel. »
Sous un titre presque analogue (PHOTOS STREET), un autre mensuel de qualité Muteen (décembre-janvier 2006/07], explique : « Les portraits de rue de JR nous enchantent. Il s'approprie les “gueules” des mômes des quartiers, cadre serré, muni de son 28 mm. Habituellement, c'est au détour d'une rue que l'on croise ses photos en noir et blanc. Avec cet ouvrage, les voici au chaud, à la maison. On savoure particulièrment les témoignages cash recueillis par Ladj Ly, jeune acteur talentueux du collectif Kourtrajmé. Et en guest, Vincent Cassel signe une belle préface. »