Editions Alternatives

C'est la conclusion de la jolie présentation que fait Jean-Pascal Grosso dans le bimestriel Maison & Travaux (mars) de Maisons rêvées :

Dorane Vignando apprécie Maisons rêvées dans L'Obs (16/22 février) en soulignant que « les enjeux sociétaux sont au cœur du livre, questionnant non pas seulement la dimension esthétique mais politique de l’architecture. »

Autre référence à l'ouvrage de Delphine Aboulker, celle parue dans le bimestriel trilingue L'Arca International (janvier/février) : « Consacré aux maisons d’architectes dans l’Hexagone, Maisons rêvées présente un panorama richement illustré de l’architecture domestique française des vingt demières années. Il en récapitule les évolutions majeures, les grands acteurs et les réalisations phares à travers une sélection de maisons réparties en cinq thèmes : les maisons écologiques, les maisons de ville, la quête esthétique, la tradition réinventée et l’inspiration industrielle. »

Intéressante analyse de Gabirel Ehret dans le mensuel AMC (février) de Sustainable Design 9 avec le titre que nous avons repris. Exraits : « C'est une synthèse de l'édition 2021 du Global Award for Sustainable Architecture que présente cet ouvrage. Et principalement les cinq lauréats du prix organisé par la Cité de l'architecture et du patrimoine, qui avait alors pour thème les nouvelles synergies possibles entre l'architecture et la nature. Plus encore que leurs prédécesseurs, lesdits lauréats œuvrent dans des pays du Sud, à savoir le Paraguay (José Cubilla et Gabinete de Arquitectura, arch.), le Brésil (Severiano Porto, arch.) ou le Chili (TeresaMoller, pays.). [...] Les démarches des autres lauréats apparaissent résolument optimistes. Leur principal point commun est l'alliance virtuose de techniques vernaculaires et de matériaux a priori sommaires: brique, terre banchée, pierre ou bois (utilisé en charpente et parfois en bardeaux de couverture). [...] Dans cette exploitation savante d'un mode artisanal,c'est peut-être Gabinete qui va le plus loin : voyez les voûtes en pyramides inversées,faites de panneaux de briques, qui s'enchaînent dans son centre de rééducation de Lambaré, au Paraguay. »

Autre recension dans le périodique à parution irrégulière Diagonal (livraison de janvier) qui reprend le texte de la quatrième de couverture : « Le Global Award for Sustainable Architecture^TM a été créé en 2006 par l'architecte et chercheur Jana Revedin, avec la Cité de l'Architecture et du Patrimoine comme partenaire culturel. Il distingue chaque année cinq architectes qui partagent les principes du développement durable et d'une approche participative de l'architecture aux besoins des sociétés, au nord comme au sud de la planète. Le Global Award for Sustainable Architecture a été placé sous le haut patronage de l'Unesco en 2010. Le thème retenu pour la 14^e session du Global Award est : "Architecture et nature : une nouvelle synergie ?" Les lauréats du Global Award 2021 sont : Teresa Moller (Chili), Gloria Cabral & Solano Benitez (Paraguay), José Cubilla (Paraguay), Severiano Porto (Brésil) et Richard Sennett (Royaume-Uni). »

C'est la troisième fois que le mensuel professionnel Caractère – très apprécié par le monde de l'imprimerie – présente un ouvrage de Jean-Charles Trebbi. Dans sa livraison de janvier/février, c'est L'Art du livre origami qui a retenu son attention :

Dans l'hebdomadaire Gala (27 janvier/2 février), un article  « pour se faire du bien » de Marie-Caroline Malbec consacré au chanvre alimentaire qui reprend deux recettes du livre de Linda Louis : sa confiture de lait à la résine de CBD et son tiramitsu au pollen de CBD. Les trois pages de son dossier intitulé  COOL FOOD débute ainsi :
« Partez à la découverte du chanvre alimentaire, une plante hyperprotéiné aux vertus insoupçonées... ». Voici la présentation de Super chanvre & CBD :

Très belle référence pour Le Rire urbain dans le premier numéro de l'année du mensuel L'Œil :
« En vieille compagne de route du street art, Sophie Pujas en décline les thèmes et formes de prédilection au gré de beaux livres où se déplient tous les états possibles de cette nébuleuse planétaire. Dans Le Rire urbain, publié en octobre 2022 aux éditions Alternatives, elle s'intéresse à ce qui s'y loge d'humour et de cocasserie. Dans la lignée de ses ouvrages précédents, celui-ci déroule, après une introduction générale, une série de portraits d'artistes, français principalement. Si tous ont en commun de jouer avec la ville en jetant sur tel mur, tel mobilier urbain ou telle particularité du contexte un regard décalé, diverses approches permettent selon l'auteur de les classer. II y a celles et ceux qui, à l'instar de Philippe Hérard, Levalet, Michael Pederson ou Oak Oak, détournent la ville pour y faire surgir le burlesque ou l'absurde. Celles et ceux qui, comme Miss.Tic, Paella, La Dactylo ou Petite Poissonne, alignent les formules chocs et les calembours comme autant de clins d'œil aux passants. Et enfin celles et ceux (Banksy, Isaac Cordal ou Hogre sont du lot) chez qui l'humour est une arme de déstabilisation massive ».

Autre présentation du livre celle – là aussi, de la première parution de 2023 – du trimestriel Les Arts dessinés :