“Chiner le Design” emballe la presse
Mis en ligne le 02/05/11 | #Plusieurs journaux ou revues ont mis en avant Chiner le design :
– Aladin, magazine des chineurs (mai 2011) : « Véritable catalogue référençant 1 000 objets qui ont marque l'histoire du design, cet ouvrage répond clairement aux questions essentielles. Où chiner ? À quel prix ? Chaque objet est présenté avec photo, année de création, designer et fabricant, rareté et fourchette de prix. Ainsi reconnaît-on le tabouret Tam Tam d'Henri Massonnet ( 1968), la lampe Nesso chez Artemide ( 1965) ou encore le premier transistor de chez Sony ( 1955). Un bon outil de base pour repérer et identifier des centaines objets parfois familiers d'autres oubliés. »
– Art actuel, bimestriel de mai-juin, sous le titre BIEN ACHETER : « Vous êtes en train de chiner et vos choix vous portent vers des objets de design : voici le livre qu'il vous faut. Olivier Frénoy a référence mille pièces. Téléviseurs, machine à écrire, mobilier, luminaires etc. Vous allez connaître leur degré de rareté. Bon achat ! »
– Maison magazine, bimestriel de mai-juin : « Quand on passe ses soirées sur eBay et ses dimanches dans les vide-greniers de France et de Navarre, mieux vaut être armé. Parce qu'à défaut de savoir à qui l'on a affaire, il est bon de savoir à quoi l'on a affaire. Cet ouvrage s'intéresse justement à 1 000 objets venus de tous horizons, du pichet isotherme au téléphone, du cendrier au grille-pain, de l'aspirateur au transistor. Un bon moyen de vérifier en un clin d'œil le pedigree d'un produit : nom, designer, marque... Un listing assorti de nombreux conseils pour bien chiner, négocier et, bien sûr, acheter. »
– Sympathique présentation de Chiner le design dans le quotidien Ouest France du 19 avril. Pascale Vergereau écrit notamment : « Aux puces ou dans les brocantes, on ne chine pas que des petites cuillères en argent. Le design devient très recherché. Comment repérer un objet rare, l'acheter au juste prix ? Olivier Frénoy, designer industriel et collectionneur, dit tout dans Chiner le design. Son guide se concentre sur les objets du quotidien radios, télés, fers à repasser, ordinateurs (...) Ce n'est pas parce qu'un objet est vendu comme vintage (rétro) par un brocanteur qu'il est design. Un téléphone en bakélite traduit une ancienneté certaine mais fabriqué a des millions d'exemplaires, il ne vaut pas plus de 30 €. En revanche, un téléphone Cheesedidhdessme par Jean Heiberg (un Norvégien) a une réelle valeur design et marchande (entre 100 et 200 €). »
Passard ne trompe pas son Monde
Mis en ligne le 26/04/11 | #Une pleine page pour Alain Passard avec une pertinente et malicieuse analyse de Christophe Donner de son Collages et recettes dans le Monde Magazine du 23 avril 2011 :
« Alain Passard n'avait jamais écrit un "livre de cuisine". C'est qu'il n'aime pas les photos de recettes. Leur exactitude trahit l'esprit, décourage les papilles et elles sont incapables de rendre compte du geste. Encore et toujours le geste, c'est l'obsession d'Alain Passard. Geste étudié, répété mille fois, pour n'être jamais le même. Sollicité comme on l'imagine, il a donc décliné toutes les propositions avant d'avoir la révélation de ce livre avril-là. Tout simple. Sobre. Aucune photo de l'auteur en toque. Juste des recettes et des collages. Les collages ne sont pas le reflet de ce qu'il pourrait y avoir dans l'assiette. Ils n'illustrent pas les textes. Ils sont le résultat d'une série de gestes, associés à des intuitions de couleurs. Le collage du cèpe au citron à la fleur de thym et huile d'olive a des contrastes, des profondeurs de sousbois, avec un confit de citron qui prend la lumière par surprise. On imagine assez bien l'artiste au milieu des emballages, des échantillons de déco, des pubs du Monde Magazine, cultivant son jardin de papiers. »
Marc Brétillot se fait tirer le portrait par "Libération"
Mis en ligne le 26/04/11 | #Ce n'est pas tous les jours qu'un auteur d'Alternatives se voit consacrer la célébrisssime dernière page du quotidien Libération. C'est le cas de l'auteur de Culinaire Design. Dans son numéro du 16/17 avril 2011, la rubrique portrait était en effet dédiée à Marc Brétillot. Extraits du truculent papier d'Anne-Marie Fèvre :
« Avec un rictus moqueur, Marc Brétillot lâche
: “J'anime un atelier de design culinaire.” De design “quoi” ? En juin 2001, on suit alors cette silhouette de moine punk, habillé en noir et rouge, dans les couloirs de l'école d'art de Reims, dans la Marne. Cet enseignant y anime un laboratoire où des étudiants, en alchimistes potaches, fabriquent de bien bizarres sandwichs, de curieux bâtons de rouge à lèvres en chocolat et autres loukoums à l'andouillette. Avec une exigence : cela doit être bon ! (…] Brétillot remet à vif les ingrédients, fait des rapprochements dérangeants, casse les codes des plats ancestraux. Dans ses constructions d'aliments, un goût tranche sur l'autre, pour choquer le palais, puis le séduire. Il manipule de même les rituels du repas, créant des tablées de cobayes devant lesquels défilent tapis roulant et autres machineries. »
Nos enfants dans le Monde
Mis en ligne le 08/04/11 | #Un dossier spécial dans Le Monde du 7 avril 2011 dans l'exacte problématique développée par Nos enfants nous accuseront, qui est mentionné. L'auteur du livre, Jean-Paui Jaud est interviewé à la fin de l'enquête par Patricia Jolly. En voici la conclusion, évidemment similaire aux analyses développées dans son ouvrage :
« Plus de 40 % des produits bio
consommés en France sont importés, c'est pourquoi une reconquête de nos terres est fondamentale. II existe aussi un paradoxe : chaque année, les agriculteurs bio français doivent payer leur certification “bio”, quand ceux des grands domaines intensifs touchent la majorité des aides agricoles européennes. Et les maladies générées par les produits chimiques qu'ils utilisent coûtent une fortune à la collectivité. Il faut refuser la dictature de l'industrie agroalimentaire, qui défend son juteux business à coups de budgets de marketing et de communication colossaux. »
Le Parisien aime chiner le design
Mis en ligne le 08/04/11 | #Sous le titre Le livre conseil du chineur de Boulogne, le quotidien Le Parisien du 29 mars présente ainsi Chiner le design :
« Olivier Frénoy, designer et collectionneur d'objets industriels, dont l'agence est a Boulogne, publie un livre intitulé Chiner le design. Sur 250 pages, il livre ses conseils pour dénicher les bons objets, les lieux pour chiner, la valeur des objets. Sans oublier un chapitre sur le design industriel. Le tout il
lustré d'un millier de photos, pour autant d'objets référencés. Et, pour découvrir une partie de sa collection, direction le musée des Années 1930 à Boulogne, ou le designer a imaginé un espace regroupant une centaine d'objets. »
Cosméto et Féminitude
Mis en ligne le 08/04/11 | #Le trimestriel Féminitude (mars/avril/mai 2011) a sélectionné La Cosméto' au naturel en écrivant :
« Les recettes sont généralement simple et très bien expliquées, elles sont réalisables par les débutantes comme par celles qui ont déjà une expérience de la cosmétique naturelle. Et pour que vous vous rendiez mieux compte de l'intérêt de ces produits de beauté faits maison, Laurence Dupaquier vous offre cette recette d'huile de soin vanille, une huile de soin composée d'un alliage d'huiles bienfaisantes pour la peau et parfumée par la divine odeur exotique de la vanille. » Une page entière reprend donc cette recette.
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