Editions Alternatives

L'hebdo gratuit Direct Montpellier (26 janvier 2012) fait sa une sur une interview de José Bové. Interrogé sur son Changeons de cap, changeons de Pac !, voici ce qu'il en dit : « L'idée sous jacente que je porte actuellement au Parlement européen, c'est de faire changer cette politique agricole commune. (...) C'est vrai que l'on peut avoir tendance à jargonner, c'est pour cela que j'ai essayé d'être clair et pédagogique avec ce livre : j'y donne une vision historique de la Pac et de ce qu'elle peut devenir. Il faut que les Français s'approprient le débat. C'est en ce sens que j'explique que chaque citoyen donne 100 euros pour la Pac, en payant ses impôts, et qu'il en découle une véritable responsabilité. Il faut qu'il soit capable de savoir quelle agriculture choisir. »

Plusieurs articles intéressants pour Paris pochoirs en ce début d'année 2012 :

– Mémoire des Arts (janvier/février) :
« Un travail colossal qui rassemble plus de 5 000 photos et décrit de manière chronologique l'évolution de cet art depuis sa création par Blek le Rat en 1981. Du Nantais Jef Aérosol influencé par le mouvement punk, à Miss.Tic, “poétesse de la rue”, en passant par les portraits de Mr. Lolo, et les animaux de Mosko & associés etc., le pochoir habille la rue de messages accrocheurs. Le pochoiriste se caractérise par une aptitude à manipuler les mots et les images. Il joue avec son support et contourne ainsi la Réalité. Formule captivante et amusante ou critique innovante de la société. Exemple Le Bateleur : “Rêve, révolu... révolution !”' Tous dans le même but, comme le dit Miss.Tic : “Saisir dans l'éphémère désordre d'un graffiti l'éternel défi d'exister”. Avec une carte des pochoirs de Paris ».

– NightLife, bimestriel (hiver 2012) : voir ci-dessous.

–  Graffiti Art n° 14, bimestriel (hiver 2012) : voir ci-dessous.

C'est même tout le contraire (voir ci-dessous). Le bimensuel Architectures à vivre (janvier / février 2012) fait une description bien sympathique de Descente interdite.

Coco Tassel était l'invitée du Mag de Libération (24/25 décembre 2012) afin de commenter l'actualité de la semaine écoulée. L'auteure de J'adopte - Journal est revenue sur ce sujet, lors de sa journée de mardi délicieusement titrée "Ma fille et Dame Patapon" : « Notre fille a eu la chance d'avoir atterri un jour de juin chez nous, dans une famille qui eut le temps de s'interroger sur ce que signifie être parent. Et de cette différence qui dérange, qui titille, qui révolte encore ici et au-delà des frontières, je veux en prendre le positif aussi. (...) Je prépare à bras le corps cette soirée artistique : un événement visant à modifier  le regard sur l'adoption. »

Dans son numéro du 23 décembre 2011, le fameux hebdo Elle fait une courte interview de JR en l'introduisant par la présentation plutôt sympathique de son dernier ouvrage JR 28 MM : « Une rétrospective du travail exceptionnel de l'artiste JR, de 2005 à 2010, est proposé dans le grand livre “28 mm”. »

– Quatre pleines pages pour JR à l'occasion de son exposition à la galerie Perrotin et la sortie de son dernier titre JR 28 MM dans Le Figaro Madame (16 décembre 2011), dont voici une reproduction des deux pemières ci-dessus ;

– L'hebdo L'Express avait  consacré lui aussi une pleine page pour le mêmes motifs la semaine précédente (ci-dessous) ;

– et l'hebdo gratuit À nous Paris (19 décembre) qui commence son article par une curieuse intrrogation : « Faut-il aimer JR ? » (reproduction tout en bas)

–   Dans le mensuel de décembre Actives, voici comment est présenté l’ouvrage : « C'est en 2006, à la suite des émeutes qui ont enflammé la banlieue parisienne, que le jeune photographe JR réalise “Portrait d'une génération”, le premier opus de son projet 28 mm. Objectif : prendre en très gros plan des jeunes de banlieue et exposer ensuite ces portraits in situ et dans les quartiers bourgeois de Paris, histoire de casser les stéréotypes. Viendront ensuite “Face 2 Face” et “Women are heroes”. Voici donc une sorte de best of du projet 28 mm amélioré. »