Il n'est pas interdit d'apprécier “Images interdites”
Mis en ligne le 12/04/22 | #« Passionnant »,« Magnifique » c'est l'avis du trimestriel Télé cable sat jeux (avril/juin) à propos de Images interdites :
Beaucoup de réactions sur le Net à propos de l'ouvrage de Yves Frémion :
– Le Salon littéraire dans lequel Jean-Paul Gavard-Perret conclut sa présentation ainsi : « L'album répertorie ce qui a choqué, irrité ou rendu fou les censeurs de tout acabit. Mais au delà le livre devient de facto un hommage à celles et ceux femmes qui défendent la liberté d'expression, osent un érotisme qui n'a rien de voyeur ou d'étroit, abordent la politique la plus engagée qui soit. »
– Le même Jean-Paul Gavard-Perret écrit un texte un peu différent dans lelitteraire.com en souiignant notamment : « Sous diverses latitudes, bien des ostracismes demeurent. Bien des lois font rentrer des œuvres dans le ghetto du livre interdit : le vice est toujours traqué sur le plan sexuel, religieux ou idéologique. Bref ‚l'image (dessin de presse, illustration, BD, cinéma, TV, photo, peinture, graphisme) reste plus que jamais la cible des rages totalitaires. Et plus largement, aucun pays n'est épargné. »
– Actualitté : « Après avoir fait sa révolution au XIXe siècle, l'iconographie prend au cœur de nos sociétés contemporaines une place et un pouvoir considérables à tel point que l'on parle aujourd'hui de “civilisation(s) de l'image”. Comme à ses débuts, cette révolution s'accompagne d'une forme de répression bien connue sous le nom de “censure”. L'Anastasie d'hier n'a pas disparu et demeure active, redoublant de zèle dans les médias et notamment sur Internet et les réseaux sociaux. Une enquête signée d'un spécialiste de la question, déjà auteur d'Images interdites, publié chez Alternatives en 1989. »
– blogdesarts.com. Alain Vollerin revient notamment sur la caricature de Poutine en couverture : « Abondamment illustré par des documents rares et des dessins parfois à la limite de l’outrage. Mais la satire est là pour secouer. Chaque image est commentée avec soin. Si vous vous interrogez sur le visuel de couverture, ce photomontage anonyme de 2013 contre la loi réprimant la propagande homosexuelle, classé “document extrémiste” par le ministère de la Justice, fut reposté sur le site Vkontackte par Alexandre Tsevtkov, qui fut condamné à quinze jours de prison. »
Et une première diffusion radio assurée par Ronan Manuel sur Radio Rennes qui parle ainsi : « Yves Frémion est une homme libre. C'est donc librement et avec talent qu'il nous balance ici le drame du monde intellectuel. Les anciens censeurs sont bien moins nombreux, les nouveaux sont innombrables. Le wokisme a remplacé la pieuse morale et les données en sont chamboulées. C'est la remontée gastrique de tous les frustrés de la Terre et souvent au nom de l'humanisme et du progressisme. Les exemples dans ces pages sont parfois étourdissants. Chacun se sent contraint par le communautarisme dont il relève de répéter une nouvelle langue de bois en matière d'ethnie, de religion, de sexe ou de couleur de peau. Images interdites de Yves Frémion c'est un indispensable pour peut-ëtre comprendre et certainement constater à quel point nous sommes en train, ou au moins certains d'entre nous, de nous interdire toute liberté de pensée. »
“Le Parisien”, “20 Minutes” etc. : c'est tout bon pour le “Guide du Paris boui-boui”
Mis en ligne le 29/03/22 | #Une belle présentation pour le Guide du Paris boui-boui dans Le Parisien du 26 mars. Philippe Baverel écrit notamment : « Boui-boui, vous avez dit boui-boui ? “J'ai beaucoup de tendresse pour ce mot désuet et péjoratif qui désigne des petits restos qui ne payent pas de mine et qui proposent, sur place ou à emporter, une cuisine familiale de qualité à petits prix”, déclare Chloé Vasselin, guide touristique passionnée de gastronomie exotique qui livre, en 142 pages remarquablement illustrées par Sarah Velha, plus de 120 adresses parisiennes classées par arrondissement. Comme autant d'invitations au voyage, défilent au fil de l'ouvrage toutes les cuisines du monde “préparées avec soin par des femmes et des hommes issus de l'immigration, qui travaillent avec passion àv nous régaler”, affirme l'autrice. Un annuaire très cosmopolite, à la fois détaillé et pratique, nourri de six ans de pérégrinations dans la capitale. »
Retrouvez l'article complet sur le site du journal.
Autre référence au guide, celle de 20 Minutes du 18 mars :
« Un “Guide du Paris Boui-boui” pour voyager au coin de la rue. “J'ai voulu partager toutes ces pépites que j'ai récoltées ces dernières années”, explique Chloé Vasselin, qui a publié jeudi son Guide du Paris boui-boui (éditions Alternatives), un recueil de 120 adresses de petits restos d'île-de-France. L'autrice a testé, plusieurs fois, toutes les adresses répertoriées. Elle n'a gardé que les bonnes cuisines, à petit prix (moins de 15 €), où l'accueil est cbaleureux. “Les bouis-bouis, on ne les trouve pas sur les grands boulevards, mais dans les petites rues parallèles”, explique-t-elle. On les découvre en flânant une après-midi ou en obercbant de quoi manger. L'autrice les préfère parce qu'ils sont modestes, rarement récents, avec un service sans prétention. “Quand je me rends cbez les tenanciers des bouis-bouis, c'est un peu comme s'ils m'avaient invitée cbez eux”, confie Cbloé Vasselin. »
En cliquant sur le site Web du quotidien, Mathilde Desgranges vous en dit un peu plus sur le livre : 20minutes.fr.
Un autre site a chroniqué ce même titre, le jeune magazine en ligne (ils ont commencé en septembre 2021) Zenchef dans lequel Aude Lemoine écrit en préambule : « Munie de son carnet, Chloé Vasselin a écumé plus de 200 adresses pour en sélectionner une centaine, la crème de la crème des bouis-bouis, qu’elle présente dans son guide. Le voyage a toujours eu une place importante dans sa vie, pour les aventures et les rencontres qu’on peut y faire. Sentiment qu’elle retrouve, quand elle franchit le pas d’une gargote à Paris. Sa définition du bouiboui : une petite adresse modeste et singulière, où on se régale d’une cuisine simple, bonne, servie sans chichi par une figure du quartier, un(e) expatrié(e) et qui sent bon le voyage. Elle apprécie la singularité de chaque adresse, le fait de ne pas savoir ou cela va mener, l’impression du temps qui s’arrête. À ses yeux, les propriétaires de ces établissements sont des petits héros du quotidien, des personnages venus de loin, avec une cuisine d’exil et des produits difficiles à trouver. Les bouis-bouis sont résilients, et même résistants… à la pandémie, à la mode, au diktat, aux impératifs esthétiques beau ! Avec ce guide parisien, Chloé les réhabilite et les met en lumière. »
Un beau sourire pour les 12 titres de notre premier semestre !
Mis en ligne le 14/01/22 | #
Et vogue l’architecture ! est le premier ouvrage que nous ferons paraître en ce début d'année 2022. Et Rubber Duck est le nom de ce sympathique et souriant canard jaune géant conçu par Florentijn Hofman – voguant ici dans le port de Saint-Nazaire – et qui figure dans ce nouveau titre de Fiona Meadows présent en librairie le 3 mars.
Une semaine plus tard sortira Images interdites, trente-deux après le titre éponyme, avec l’un des deux auteurs de l’époque Yves Frémion. Et durant ces nombreuses années, les diverses censures s’en sont données, si l’on peut dire, à cœur joie. Ce livre répertorie ce qui a choqué, irrité ou rendu furieux les censeurs de tout poil ces vingt dernières années. Ceci dans tous les domaines de l’image : dessin de presse, illustration, BD, cinéma, TV, photo, peinture, graphisme, street art, affiche, couverture de livre ou sur Internet.
Une semaine auparavant, le 3 mars, paraîtra Ensemble pour les droits des femmes. Sous la direction de Giula Clara Kessous et d’Isabelle Rome, dix-huit personnalitées engagées dans le combat pour le droit des femmes témoignent ici de leurs actions et de leurs réflexions afin que l’égalité femmes-hommes deviennent une réalité.
Autre ouvrage s’adressant au femmes, celui de Naïma Matboua et Marie-Odile Cayeux-Poirrier qui proposent aux futures mamans 40 recettes santé, l’alimentation jouant un rôle majeur dans le développement du fœtus : parution de
9 mois à table le 14 avril.
Et également trois autres nouveautés dans le domaine de l’alimentation :
– Le 17 mars sortie du Guide du Paris boui-boui. Arrondissement par arrondissement, Chloé Vasselin vous fera voyager gourmand dans le monde entier à petit prix sans quitter la capitale ! Avec des illustrations délicieuses de Sarah Velha.
– Grâce à The Friendly Kitchen, vous pourrez cuisiner facilement des recettes de saison sans aucun produit d’origine animale conconctées par la cheffe Fanny Mijon dont le restaurant est une adresse incontournable des tables vegan parisiennne. La blogueuse et photographe culinaire Vanessa Fouquet met le tout en valeur (en librairie le 7 avril).
– À la table d’une famille tamoule est dans la lignée d’un de nos best seller À la table d’une famille chinoise. Dans ce titre la franco-indienne Jody Danasse fait découvrir une cinquantaine de recettes familiales comme le samossa avec méthode de pliage, les aubergines au tamarin ou le poulet tandoori. En vente le 7 avril.
Trois parutions dans la collection Tout beau tout bio :
– Jean-Paul Tranchant, agronome de formation, explique son concept révolutionnaire de Recyplant® dans Un potage-compost sur ma terrasse (sortie le 10 mars) ;
– Dans Le bois brûlé, Nathalie Boisseau explique la technique japonaise du shou sugi ban très en vogue chez les designers, architectes et décorateurs d'intérieur et donne des recettes pour réaliser son propre bois brûlé. ATTENTION : sortie repoussée au printemps 2023.
– Et toujours par la même prolifique auteure – une dizaine de titres chez Alternatives depuis 2009 – la mise à jour avec une nouvelle maquette de son best-seller Peindre et décorer au naturel. Ses deux ouvrages paraîtront en librairie le 30 juin.
Peut-être vous étonniez-vous de ne voir figurer aucun titre street art lors de ce premier semestre 2022 ? L'Art clandestin va susciter votre curiosité car l'ouvrage d'Emmanuelle Dreyfus et Stéphanie Lemoine aborde la thématique de l'anonymat et l'invisibilité de certains artistes urbains célèbres – JR, Lui Bolin, Mark Jenkins, Zevs, 1UP... – ou non. Sortie le 26 mai.
Nos premiers titres (voir plus haut) concernaient l'architecture ou la collection Manifestô – celui sur le droit des femmes. L'architecture et l'existant réunit les deux. Sous la direction de Jana Revedin, l'ouvrage ouvre des pistes afin que les nouvelles génération d'architectes opérent le croisement de toutes les ressources existantes en termes matériels, historiques et symboliques, pour construire autrement. Parution le 12 mai.
Nos meilleures ventes 2021 : “Levain” devant Banksy
Mis en ligne le 08/01/22 | #
C’est la très bonne surprise de l’année qui vient de s’achever : le premier livre de Valérie Zanon rafle la première place du palmarès de nos meilleures ventes de l’année écoulée en librairie. Levain – trois tirages successifs en six mois ! – devance en effet deux ouvrages du mystérieux street artiste de Bristol, Banksy, proposé par la journaliste Alessandra Mattanza et le phénomène Guerre et Spray qui, onze ans après sa première sortie et quatorze réimpressions, figure à nouveau sur le podium. Rappelons que c’est le seul titre jamais écrit par Banksy lui-même.
Malgré cette seconde année à nouveau marquée par la pandémie, le haut du classement demeure relativement stable puisqu’on retrouve aux quatrième et sixième rangs deux titres de Marie-Claire Frédéric et Guillaume Stutin qui y figuraient l'an dernier (voir Nos vingt meilleures ventes de 2020) : Aliments fermentés, aliments santé (+ 3) et Boissons fermentées (– 3), devançant d’un rang leur dernière nouveauté Légumes lacto-fermentés (7e).
Autres valeures sûres le Guide du street art à Paris, au dixième rang (+ 6), le Tour de France des maisons écologiques (14e, + 11), et Super chanvre & CBD (12e, + 4) de Linda Louis également photographe de notre numéro 1 Levain (voir plus haut)..
En arts culinaires, il faut mettre en avant la très belle performance de Mes recettes express à IG bas (photos de Lidwine Crosset) qui figure en cinquième position. C’est la seconde parution de Ella Hagege après Megalow Food (21e, + 8) paru quatre ans plus tôt. À signaler la neuvième place du dernier titre de Kathy Beskow intitulé Simplement vegan et l’arrivée d’une petite nouvelle, la dynamique cheffe lyonnaise Louise Rogelet avec Pâtisserie végétale (11e) avec des photos de Nils Peillon. Toujours dans ce domaine, Cuisine healthy du monde entier (photos de Chiara Russo) est également dans notre top 20 (18e).
Trois titres arts urbains figurent respectivement en huitième, dix-septième place et vingtième place : Une street histoire de l’art, nouvel opus de Cyrille Gouyette après le déjà remarqué Sous le street art, le Louvre ; Street art XXS dans lequel Édith Pauly fait découvrir qu’il n’y a pas que les fresques gigantesques que l’on peut savourer ; et le Guide du street art à Lille Métropole, dynamique petit frère des guides sur Paris et Marseille déjà parus chez nous.
Olivier Darmon est un journaliste et historien qui se fait un plaisir de nous faire découvrir des habitats atypiques. Après Habiter les ruines (2016) et Habiter les toits (2018), il fait paraître le tout aussi surprenant Ré-habiter (13e) dans lequel une vingtaine de projets internationaux prouvent que l’on peut concevoir une architecture novatrice sans forcément démolir des bâtiments dégradés.
Les éditions Alternatives ont souvent fait paraître des guides sur la capitale. Celui de cette année s’intitule Guide Paris nature (16e) : il est concocté par deux guides spécialisées dans les randonnées dans la ville Camille Martin et Nathalie Lévy.
Enfin on doit aussi mentionner deux ouvages de notre collection Tout beau tout bio « relookée » en 2021 : La peinture suédoise (15e) de notre fidèle auteure Nathalie Boisseau et Savons au naturel (19e) proposé par l’artisanne savonnière nancéenne Charlie Marandet.
“Ré-habiter” séduit toujours (“La Croix”, “Le Moniteur”, France Inter)
Mis en ligne le 04/01/22 | #Déjà beau succès en librairie, Ré-habiter continue à plaire au médias :
– Dans La Croix (30 décembre), François Ernenwein écrit dans son papier intitulé “Habiter sans démolir” : « Le journaliste Olivier Darmon invite à explorer le potentiel du bâti désaffecté, promis à la démolition. Déjà auteur d’Habiter les ruines, il propose d’explorer une vingtaine de réussites en matière de transformation de l’existant. »
Et de conclure : « On peut le découvrir à travers les chantiers présentés. Que ce soit le Palais de Tokyo à Paris (Lacaton et Vassal), des bunkers en Belgique (BILD architects) ou un garage transformé en Italie (ACT Romegialli). La réutilisation peut ainsi offrir de meilleurs bilans énergétiques – surtout si on ne cède pas à l’inflation technologique – que la destruction et la reconstruction. On préférera, quand c’est possible, la reconversion de bâtiments anciens au centre-ville à l’extension de grands ensembles en périphérie porteurs de conséquences sociales délétères. »
– Le Moniteur (22 décembre) : « Réutiliser, transformer, expérimenter» : le déjà-là devient une ressource de plus en plus précieuse pour les architectes [...] La posture adoptée relève davantage de l’appropriation, de la valorisation, de la réutilisation que de la réhabilitation ou de la rénovation. Les caractéristiques du bâtiment existant sont considérées comme une ressource plutôt qu’un écueil : des éléments à exploiter, une richesse potentielle... »
Le 25 décembre, c'est France Inter, lors du 6-9 du weeke-end qui a présenté le titre
– avec « de magnifques photos » et des maisons qui sont « de véritables bijoux » –, avec une courte interview de son auteur par Olivier Marin. C'est à réécouter ici.
100 livres sur l’art urbain !
Mis en ligne le 15/10/21 | #Nous venons de faire paraître le centième livre consacré au street art. Mais nous ne pouvons en dire le titre puisque le 14 octobre 2021, les 99e, 100e et 101e paraissaient tous les trois en même temps : Banksy, Une street histoire de l’art et Street art contexte(s) – nouvel opus.
Les éditions Alternatives ont une longue et belle histoire avec les arts urbains : nous avons en effet publié un des tout premiers ouvrages, si ce n'est le premier, en France sur le sujet en 1985, Le livre du graffiti, suivi l'année d'après du premier titre consacré aux pochoirs, Vite fait bien fait avec une couverture de Jef Aérosol qui publiera d'autres titres chez nous des années plus tard.
Depuis le début du XXIe siècle, le street art est devenu une composante incontournable de notre production, avec des best sellers comme Kapital paru en 2001 ou Guerre et Spray de Banksy – le seul ouvrage que le mystérieux artiste britannique a jamais fait paraître – et qui, depuis sa sortie à Noël 2010, est tout simplement devenu une des meilleures ventes de beaux livres en France ! Nous avons aussi, de 2006 à 2014, été le premier éditeur du célèbre JR, avec notamment les succès de Women are heroes ou de JR 28 MM. Descente interdite, coédité avec Wasted Talent, Paris Pochoirs, The Street Art Stencil Book, Street art/today, Street art XXS ou Le guide du street art à Paris – décliné à Marseille et à Lille – ont été des réussites, tout comme les parutions des titres de Miss.Tic, Monsieur Chat, Seth (1), Vhils, Rero, Ludo, Zevs, Ella & Pitr, Fafi, Sowat, Lek, Jace, Combo, Codex Urbanus...
(1) … à qui l’on doit la superbe illustration ci-dessus, “L’école buissonnière”, école Mozart à Manheim, 2020, reproduite dans le second volume Street art contexte(s) d’Olivier Landes.
> 2025 : avril - fév. - janv.
> 2024 : déc. - nov. - oct. - sept. - août - juil. - juin - mai - avril - mars - fév. - janv.
> 2023 : déc. - nov. - oct. - août - juil. - juin - mai - avril - mars - fév. - janv.
> 2022 : déc. - oct. - juil. - mai - avril - mars - janv.
> 2021 : oct. - sept. - juil. - mai - mars - janv.
> Les archives de tous types depuis 2016
> TOUTES les ACTUALITES et TOUS les ÉVÉNEMENTS
( proposition graphique initiale : Jean-Jacques Tachdjian )
WWW credits