Editions Alternatives

Bio contact (juillet/août 2014) propose un dossier sur les algues dans l'alimentation. Voici ce que le mensuel écrit – en présentant ci-dessous leurs deux auteurs Marie Calmon  et Olivier Picard – sur Les Algues au naturel : « Cet ouvrage richement illustré présente une quinzaine d'algues (description, composition, bienfaits) dont la plupart poussent communément sur les rochers des côtes françaises. Apprenez à les reconnaître, les cueillir, les conserver et les cuisiner, séchées ou fraîches, à l'aide de recettes végétariennes variées et goûteuses, afin de bénéficier de tous leurs bienfaits, et ce de façon simple et naturelle. » 

Top Santé consacre dans son numéro d’août 2014 un dossier sur la déshydratation des fruits et des légumes sous l’expertise de la diététicienne-nutritionniste Béatrice Bénavent-Marco. Occasion de présenter, bien évidemment, ainsi Déshydrater les aliments : « La technique est détaillée aliment par aliment. On trouve aussi des recettes pour cuisiner des produits déshydratés : caviar d’aubergines, cake au thé et au abricots… »

Le mensuel Be (juillet 2014) est très heureux de présenter Street food bio en consacrant trois pages à l’ouvrage de Géraldine Olivo présenté ainsi : « Une mine de recettes naturelles, basées sur des ingrédients frais. Des sandwichs, des bouchées, des desserts… À déguster chez soi ou à emporter. »

Bon d’accord, la tirade de Nabila est passablement éculée, mais le quotidien suisse 24 Heures (26/27 avril 2014) s’est inspiré d’une recette extraite de Street food bio – le journal romand a « bien aimé le joli livre de Géraldine Olivo et Myriam Gauthier-Moreau » –  pour en faire son titre :  

C’est l’excellent titre imaginé par le mensuel Néon (mai 2014), qui a pris le parti de reprendre la « technique barrée » de l’artiste, y compris dans son titre, afin de présenter Erreur dans le titre :

Autres magazines à analyser le récent livre de Rero :

– Mémoire des arts, bimestriel de mai/juin : « Quelques-uns des mots de Rero : zoom, vandalisme, usage, line, image, médiocrité, obsolescence, transmission, destruction créatrice, nature morte palimpseste, etc. Rero raye les mots et invoque la véhémence et l'expérience du père de l'alphabet urbain Jacques Villeglé : “être le témoin actif d'une humanité riche en contradictions est une de mes ambitions. C'est l'anonyme de la rue qui intervient sur les reflets de la culture dominante. Je passe après.” »

– Le trimestriel Graffiti Art (avril/mai/juin) : « De Charles Baudelaire à Giorgio Agamben, en passant par Sartre, Basquiat ou encore Huysmans, Rero multiplie les références intellectuelles et artistiques. Un héritage que l’on peut reconstituer au gré des citations que l’artiste a parsemées dans son livre qui vient de paraître aux Éditions Alternatives. Conçu comme un “livre-objet”, l’ouvrage invite également le lecteur à partager un certain regard sur le monde et sur la création par l’intermédiaire de 26 textes choisis. Rédigés par des psychologues, écrivains,  galeristes, photographes ou proches de l’artiste, tous correspondent à une lettre de l’alphabet et à un mot sélectionné par Rero pour éclairer son travail. Abandon,  Bavure, Copyright… Il s’agit en fait d’un véritable abécédaire artistique. »

Très belle présentation pour Erreur dans le titre dans l'hebdomadaire Arts libre (18/24 avril 2014). Extrait : « En ouverture de son ouvrage, l'artiste retrace lui-même son parcours de recherche et d'expérimentations artistiques avant d'aboutir à ce qu'il appelle aujourd'hui “la négation de l'image”. Graffeur, tagueur, membre d'un collectif mais non content de sa position, Rero entreprend des explorations picturales insatisfaisantes avant de se rendre à Londres puis de bosser dans une agence d'impression à Paris. Au contact permanent de la pub, il décide de quitter la calligraphie du street, opte pour la typo Verdana et la barre d'un trait noir. “J'avais trouvé mon langage, ma façon de décrypter les sensations, de décoder le monde, de mieux l'interpréter”. Dans la rue, sur des ruines, en pleine nature, dans le métro, en galeries, sur des façades... il pose ses aphorismes barrés. Pas besoin de signature. L'ouvrage, magnifiquement mis en page, retrace en image cet itinéraire sauvage commenté par 26 textes d'artistes, d'écrivains, de galeristes, de psychiatres... Autant d'interprétations surprenantes. »