“Ma pâtisserie sans gluten ni lactose” : « un ouvrage plein de qualités » (Le Monde.fr)
Mis en ligne le 22/12/24 | #Parmi sa sélection sélction de « cinq livres pour des fêtes qui vont faire recette »,
le site web du quotidien Le Monde met en avant Ma pâtisserie sans gluten ni lactose : « Les gourmets qui se découvrent des intolérances alimentaires vivent souvent de longues traversées du désert culinaires. Il reste compliqué de dégoter un restaurant, ou même une recette, pour continuer à égayer ses papilles. Nils Peillon, photographe culinaire atteint de troubles digestifs, diagnostiqué intolérant au gluten et au lactose, a appris à slalomer pour éviter la farine de blé, le lait, le beurre, la crème... autant d'ingrédients longtemps jugés indispensables, notamment en pâtisserie. Déjà derrière le compte Instagram “Basilic et citron vert”, qui rassemble près de 100 000 abonnés, il publie aujourd'hui un ouvrage plein de qualités. » La fin est à lire en cliquant sur LeMonde.fr.
La grande illusion : clap de fin
Mis en ligne le 19/12/24 | #La grande illusion va très bientôt devenir... une (grande) illusion : une des expositions événement de cette rentrée ferme en effet ses portes le dimanche 22 décembre. Alors courez vite au Fluctuart pour vous plonger dans l'univers immersif incroyable de son auteur Speedy Graphito. Et la veille de la fermeture, vous aurez la chance de pouvoir rencontrer l'artiste qui dédicacera son livre La grande illusion, ouvrage qui, lui, demeurera toujours disponible en librairie.
Fluctuart
Pont des Invalides
2 port du Gros Caillou 75007 Paris
Dédicace le samedi 21 décembre de 15 à 17 h
Nice : dernière dédicace de l'année de “Faces au mur” pour Cyrille Gouyette
Mis en ligne le 17/12/24 | #Cyrille Gouyette termine le périple de signature de son Faces au mur : c'est sa septième étape après Choisy-le-Roi, Paris à trois reprises, Antibes, Mons. Notre auteur globe-trotter revient sur la Côte d'Azur, à l'espace Soardi - encadrement et galerie d'art. Il sera accompagné par César Malfi (à droite sur la photo ci-dessus) dont sa Joconde est reproduite sur la couverture du livre de Cyrille.
Espace Soardi
9 avenue Désambrois 06000 Nice
le samedi 21 décembre de 15 à 18 h
“Stickers” : « La folie du sticker art »
Mis en ligne le 16/12/24 | #
C'est le titre du passionnant dossier que Christian Charreyre a fait paraître dans la revue Urban Arts (décembre/janvier), avec il faut le souligner, une superbe mise en page très colorée. Le long article s'appuie sur Stickers, donnant une large place à l'expertise de leurs deux auteurs. Extraits :« Loin d’être un parent pauvre de l’Art Urbain, ce petit autocollant s’est imposé, depuis 35 ans, comme un moyen d’expression à part entière, séduisant artistes et collectionneurs. Signe des temps, Jean-Pierre Dewerpe et Quentin Gassiat viennent de signer Stickers : entre art de rue et culture populaire (éditions Alternatives), un ouvrage dédié à cette composante de l’Art Urbain. C’est lors d’un voyage à Naples, “où il y a des milliers de stickers à peu près tous les deux mètres”, que Jean-Pierre Dewerpe, spécialiste des environnements en forte croissance, mais aussi artiste plasticien depuis 20 ans, découvre cette forme d’expression. “Le sticker est intéressant parce qu’il est multiple, pouvant porter un message publicitaire, politique ou religieux – parfois très violent – ou artistique. C’est vraiment un reflet de la société”. [...] “Le sticker a été beaucoup utilisé par les surfeurs, les skateurs – la Screaming Hand de Santa Cruz –, les tatoueurs ou l’industrie musicale. La banane d’Andy Warhol, devenue l’iconique illustration de la pochette de l’album de Nico et le Velvet Underground était, à l’origine, un sticker. Sans oublier les clubs de foot, les supporters marquant leur présence lors des matchs à l’extérieur. J’aime beaucoup les stickers du St Pauli, le club de Hambourg, l’un des rares en Europe à avoir inscrit dans ses statuts qu’il était antiraciste et antifasciste”, souligne Quentin Gassiat. Car le sticker est aussi un moyen de marteler un message militant ou politique. “Après chaque manif, il y a toujours des milliers de stickers le long du parcours”, note Jean-Pierre Dewerpe. »
Autre référence celle du mensuel Aladin Antiquités (décembre) qui le conseille dans sa « sélection pour les fêtes » :
“Renaud des mots et des images” :
cinq artistes en dédicace à Roubaix
Mis en ligne le 13/12/24 | # Le musée La Piscine est un extraordinaire endroit, « un bijou d'architecture Art déco. » Cinq des artistes qui ont illustré Renaud des mots et des images – Christina Ruiz Guinazu, Catherine Viollet, Jef Aérosol, Alione et Najah Albukaï – seront présents dans ce prestigieux cadre roubaisien pour dédicacer l'ouvrage dont on rappelle que l'intégralité des droits sont reversés à l'Unicef.
La Piscine - Musée d'art et d'industrie André Dilgent
23 rue de l'Espérance 59100 Roubaix
le samedi 14 décembre de 15 à 17 h
Cette séance de signature a été annoncée par les deux quotidiens locaux Nord Éclair et La Voix du Nord (13 décembre) dans lesquels Bruno Renoul écrit : « SORTIR. Voici une belle possibilité de faire d'une pierre deux coups : trouver une bonne idée de cadeau de Noël tout en faisant un geste pour l'enfance en détresse. Le musée de La Piscine organise ce samedi 14 décembre une vente dédicace d'un beau livre dédié au chanteur Renaud, qui sera ce même jour sur la scène du Colisée de Roubaix (il reste des places).
AU BÉNÉFICE DE L'UNICEF. Cet alburn, dont les droits d'auteur sont intégralement reversés à l'UNICEF, est un recueil de vingt chansons de Renaud sur le thème de l'enfance - Mistral Gagnant, Morgane de toi... – illustrées par des artistes contemporains, C215, Hervé Di Rosa, Speedy Graphito, Ernest Pignon-Ernest ou encore Sêma Lao. Cinq d'entre eux seront présents à Roubaix pour dédicacer l'ouvrage : Jef Aérosol, Alione, Catherine Viollet, Cristina Ruiz GuinazuetNajah Albukaï. »
“Faces au mur” : « sous l'angle original du portrait », « richement illustré et dirigé »
Mis en ligne le 11/12/24 | #Quatre recensions pour Faces au mur :
– L'Express (12/18 décembre) présenté ainsi par Letizia Dannery : « Un énième livre sur l'art urbain ? Oui, mais sous l'angle original du portrait. Historien de l'art et iconophile tout terrain, Cyril Gouyette nous raconte comment ce genre pictural d'abord élitiste puis abandonné, a retrouvé ses lettres de noblesse dans la rue. En reprenant des figures célèbres ou en créant de nouvelles icônes, ici mises en regard avec des œuvres du passé, les graffeurs se réapproprient le registre, faisant fi des techniques et des codes s'y rattachant, pour mieux le régénérer. » Présentation à retrouver sur L'Express.fr
– Gala (28 novembre) :
– L'Éclaireur Fnac: « L’art urbain envahit de plus en plus nos rues ; une création contemporaine tous azimuts que Cyrille Gouyette a choisi de compiler dans Faces au mur en interrogeant notamment l’art du portrait. Longtemps cantonné aux demeures des élites et aux musées, avant d’être abandonné, c’est sur les murs de nos villes que le portrait renaît aujourd’hui. Une nouvelle tendance que Cyrille Gouyette décrypte dans ce bel ouvrage publié aux éditions Alternatives. » L'article complet est à lire sur leur site.
– La Gazette Drouot (13 décembre) : « PORTRAITS. La peinture n'a pas disparu, l'art du portrait encore moins. Pour preuve, il s'expose au grand jour et en grand sur les murs des cités. L'auteur en dresse un inventaire dans une série de focus, issue d'une multitude d'exemples, témoignant de la diversité des styles. Un panorama du street art en France. »
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