Le Soir tombe sur “Artivisme”
Mis en ligne le 22/12/10 | #Lors de son supplément du 9 décembre, le quotidien belge Le Soir décrit ainsi Artivisme : « Comment marier conscience, engagement, imaginaire, humour ? En se jetant sur ce livre passionnant, qui nous emmène vers les aventures de l'art de contestation. Ce manuel destiné aux enfants de Marx et de Coca-Cola fait l'éloge du piratage, du terrorisme burlesque, du happening festif. C'est foisonnant, drôle, séduisant, sans jamais cesser d'être intelligent et couillu. »
On laissera la responsabilité de la conclusion de cet article au journaliste lorsque l'on connaît la féminité des deux auteures Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi...
"Libération" : Passard roi de l'asperge debout !
L'ensemble de la presse unanime sur son livre
Mis en ligne le 19/12/10 | #
Pas moins de trois pages pleines, dont celle de l'ouverture de son Mag et un appel sur sa une du 18/19 décembre 2010 : Libération met en vedette Alain Passard en présentant son premier ouvrage : Collages et recettes. Dans son chapeau de présentation intitulé Debout l’asperge, Béatrice Vallaeys écrit : « L’asperge se cuit debout. Ceci n’est pas une contrepèterie, ni un message de Français parlant aux Français. C’est la conviction du chef triplement étoilé Alain Passard, maître en cuisine de son restaurant l’Arpège, artiste des plats aux seuls légumes en sau
ce ou à l’étouffée. Passard cultive une passion pour les légumes, et les jardiniers qu’il voudrait voir élevés eux aussi au rang d’artistes. Car l’on commettrait aujourd’hui une grande faute de goût à ne pas reconnaître la cuisine comme un art. »
Au début de son long interview, le patron du restaurant l'Arpège répond ainsi à Valérie Munson sur le fait qu'il n'avait jamais publié de livre : « Je n'en avais jamais senti le besoin, ni même l'envie. Mais lors d'un voyage en Asie, réveillé par le décalage horaire, j'ai fait des croquis, en pleine nuit. J'en ai réalisé cinq ou six, que j'ai montré ensuite à mes collaborateurs. Le livre a pris forme après, en discutant. Je voulais faire passer un message à mes jeunes confrères : le cuisinier peut être aussi sensible aux couleurs. Alors qu'on parle toujours du goût et du nez, dans ce métier, j'ai voulu faire entrer avec mes collages le geste et le visuel en cuisine. J'ai commencé par faire les quatre saisons, puis je me suis pris au jeu. Ce n'était pas prévu, c'est ce qui rend les choses encore plus fortes. (...) Avec mes collages, il y a un côté mystérieux, c'est juste une idée de ce que le plat peut être, les gens pourront disposer les produits comme ils le veulent, ils ne sont plus exécutants mais interprètes. »
D'autres médias ont aussi apprécié son Collages et recettes :
– Sud Ouest (19 décembre) : « Alain Passard a choisi d'explorer les ressources des légumes. Dans son restaurant l'Arpège, à Paris, il recherche les meilleures associations et hisse la cuisine verte au rang de la haute gastronomie. Le livre qu'il signe est de la même veine, les assiettes potagères y sont des symphonies de couleurs, de formes, de goûts, de textures. Le chef triplement étoilé a découpé et illustré lui-même les recettes. »
– 3 Étoiles (trimestriel janvier/février/mars 2011) : « Le chef trois étoiles nous offre son premier livre, original à plus d'un titre. Les 48 recettes ne mettent en scène que des fruits et des légumes, sa passion de cuisinier et de jardinier Les mariages sont parfois surprenants asperges, poire au citron et oseille rouge, petits pois et pamplemousse rosé aux amandes fraîches, betteraves rouges à la lavande et aux mûres, avocat soufflé au chocolat noir. Toutes ces recettes sont illustrées, non par des photos, mais par des collages de papiers découpés, compositions graphiques et colorées qui révèlent une autre facette de l'artiste peintre cuisinier.
– La Croix (16 décembre) : « Aujourd'hui, on ne peut plus être chef si l'on n'a pas été publié. Certains livres sont remarquables, comme Collages & recettes d'Alain Passard, aux Éditions Alternatives. »
– Paris capitale (mensuel de janvier/décembre) : « Un livre original. Loin des photos glacées et glaçantes. Un régal pour l'œil. »
– Maison française (bimestriel de décembre/janvier 2011) : « Ce merveilleux ouvrage du chef trois étoiles de l'Arpège à Paris confirme tout le talent du cuisinier à travers 48 recettes et nous fait découvrir ses dons artistiques dans le maniement du ciseau, le collage des papiers et la forte influence des couleurs sur ses créations culinaires. On rêverait d'avoir un tableau signe Alain Passard chez soi.»
– Challenges (9/15 décembre) : « II y avait les découpages de Henri Matisse dans son album Jazz. Voici que l'artiste en cuisine Alain Passard nous propose d'aussi savants alliages de couleurs (et de saveurs) dans le livre de recettes le plus original de l'année, celle des 25 ans de son restaurant L'Arpège. Un cadeau à déguster. »
– La Tribune (9 décembre) : « LES CISEAUX DU CHEF. Dans Collages & recettes, beau livre tout simple, il montre une autre facette de sa personnalité : son goût – et son talent – pour les collages. Pour chacune des 48 recettes inédites, il a ainsi réalisé une œuvre graphique, aussi légère et acidulée que ses préparations. »
– L'Express Styles (8/14 décembre) : « On savoure à toutes les pages. »
– L'Express Supplément (8 décembre) : « Cet ouvrage propose 48 recettes inédites illustrées par les collages graphiques et colorés de ce cuisinier capable de préparer une banane au curry. »
– First Class (29 novembre/7 décembre) :
« Vous sortez aujourd'hui un nouveau livre de recettes chez « Alternative ». De quoi s'agit-il ?
Alain Passard : C'est un ouvrage dans lequel j'essaie d'aller encore plus loin dans ma passion légumière en utilisant des collages originaux pour illustrer 48 recettes inédites. J'ai découpé et illustré moi-même mes recettes. C'est assez graphique. Et j'es
père que cela ouvrira vos papilles et titillera vos pupilles. »
– Sur le blog de Scally : C'est moi qui l'est fait.
“Artivisme” et Banksy sur France Inter
Mis en ligne le 17/12/10 | #
Samira Ouardi, coauteure de Artivisme est Jean Labadie, distributeur du film Faites le mur de Banksy étaient les invités de Philippe Collin lors de son émission le 5/7 boulevard sur France Inter du 15 septembre 2010.
A réécouter ci-dessous :
“GraffitiArt” : Alternatives saute sur Banksy et JR
Mis en ligne le 16/12/10 | #La revue GraffitiArt (décembre/janvier 2011)
a remarqué la présence d'Alternatives
sur la scène du street art
en faisant référence
aux sorties quasi simultanées
de Guerre et spray
et Women are heroes.

“L'Art du pli” et “L'Art de la découpe” en vitrine à Beaubourg
Mis en ligne le 14/12/10 | #L'Art du pli et L'Art de la découpe, les deux ouvrages de Jean-Charles Trebbi, offrent à la Librairie Flammarion-Beaubourg l'occasion d'une superbe vitrine visible du 10 décembre 2010 au 4 janvier 2011. Plusieurs artistes présents dans ces deux ouvrages ont été sollicités pour la réaliser : Catherine Ursin (“Les femmes rouges”), Jean-Paul Moscovino (“sculpture bleue”), Brig Laugier (“Livre plié”), Catherine Carton (“Miroir dentelé”), Véronique Wardega ( bijoux en origami, Petits Plis, "Couronnes de grues”), Lebadang (“Grandes découpes”, suspendues près du comptoir d’accueil), Arzu Firuz (tapis circulaire rouge, également près de l'accueil) et Jean-Charles Trebbi (sculpture et livre d’artiste “Penseurs de ville”). Les affiches sont de Denis Couchaux, celle de gauche : projet d'architecture du studio Londonien Heatherwick Studio ; celle de droite; papiers découpés de Catherine Winkler Rayroud, Houston, États-Unis.

Spaciba Vitaly !
Mis en ligne le 10/12/10 | #
Les cendres de Vitaly reposent au cimetière du Père Lachaise à Paris, sa ville préférée avec Moscou.
Auteur de deux ouvrages chez nous (Qui peut savoir ce qu'est l'amour et Proverbes du peuple russe) Vitaly Statzynsky nous a quittés le 1er novembre 2010. Le 10 décembre, quarante jours plus tard selon la tradition orthodoxe, ses cendres ont été déposées au Père Lachaise à Paris, ville qu'il a longtemps habitée et qu'il chérissait. Outre son talent d'illustrateur, l'équipe d'Alternatives gardera en mémoire son esprit malicieux... et les petits verres métalliques qu'il tirait de ses grandes poches pour servir une vodka bien corsée (goût sucré pour les filles, poivré pour les garçons).


Sur la photo de droite, un verre de vodka déposé en sa mémoire.
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