Editions Alternatives

Deux présentations du livre de Rebeka Elizegi :
– celle de Audrey Tartarat dans le mensuel du début 2024 Avantages qui l'illustre d'une création de Johanna Goodman figurant à la page 100 de L'Art du collage au féminin :

– une autre de Joëlle Péhaut – pas vraiment convaincue par « l'acte féministe
militant » de l'ouvrage – dans le bimestriel Artension (janvier/février) mais qui l'apprécie néanmoins : « Restent, comme toujours, les œuvres reproduites : des techniques variées, des intentions multiples et des réalisations magnifiques ; les prises de son de l’esprit de Linden Eller ou cette façon d’aller droit au but d’Isabel Reitemeyer, et de bien d’autres encore. Mais le collage, c’est avant tout l’inattendu. Un bout d’inconscient qui s’exprime. Or, à part avec Julia Kristeva, il n’est jamais fait mention de la psychanalyse et de son principe fondateur, l’association. Sans doute que citer Freud ou Lacan serait une trahison de la cause, faisant allégeance au patriarcat. Heureusement, le combat des femmes, objet politique qui concerne l’humanité tout entière, est parfois courageusement illustré, telles ces Palestiniennes et ces Israéliennes qui s’unissent par la paix ! »

La lyonnaise Luckysophie tient un blog « famille voyage » et est également une grande « passionnée de livres, [sa] bibliothèque s'étoffe de jours en jours avec des livres sur le street art et le graffiti. » Et Sophie a flashé sur Tribunes urbaines (« Une lecture très intéressante, abondamment illustrée de photos, pour nous aider à peut-être mieux prêter attention à ce que les murs ont à nous dire ! »)  et Marseille envahit (« Cet énorme livre de 400 pages est un condensé incroyable de 20 ans d'archives sur le graffiti marseillais, illustré de plus de 2 500 photos et avec plus de 60 témoignages rares sur le graffiti vandale. ») 
Cliquer ici pour découvrir l'article complet qui fait aussi référence au Guide du street art à Paris, au Rire urbain, à Figures de graffeuses et au Tunnel des Tuileries.

En ces temps incertains et un tantinet anxiogène, voilà un titre qui donne la pêche et ravit les médias. Délices d'Afrique fait le bonheur de :
– Afrique Magazine (décembre/janvier) : « UN LIVRE DE CUISINE pas comme les autres, truculent et affriolant !
ALLOCO, PÉPÉ SOUPE, saka saka, poulet bicyclette, et tant d’autres... Mis en mots par l’auteure des aventures d’Aya de Yopougon, Marguerite Abouet, et en images par la dessinatrice Agnès Maupré, deux complices qui ne mâchent pas leurs mots, les délices de la Côte d’Ivoire chantent ici en hommage à la diversité culinaire de l’Afrique de l’Ouest et à l’importance du partage. Outre les conseils, les anecdotes, la méthode et les petits secrets d’exécution, ce sont surtout l’humour et la camaraderie féminine qui font le sel des cinquante recettes et des quatre boissons proposées dans cet ouvrage savoureux, à consommer sans modération. Sans oublier les deux chapitres cocasses qui ouvrent et ferment le carnet. Le cube Maggi et son histoire en guise de mise en bouche et, pour couronner le tout, les boissons alcoolisées à consommer, elles, «avec modération». Au fil d’anecdotes et de clins d’œil exclusivement féminins, c’est drôle, c’est simple, et surtout : ça met l’eau à la bouche. »

– LeMonde.fr présente l'originalité de chroniquer à deux reprises le livre de Marguerite Abouet et Agnès Maupré.
Le 14 décembre le site propose « cinq livres gourmands pour croquer Noël à pleines dents » et qui conclut ainsi : « Mine de rien, cette réédition (la première version introuvable avait été publiée en 2012) nous en apprend énormément sur les cuisines africaines. Ne serait-ce que parce que, pour une fois, on ne se contente pas de piocher telle ou telle recette, mais on lit tout l'ouvrage ! ». L'intégralité du texte de Léo Pajon est à savourer ici.
Le 17 décembre, la rubrique initulée « beaux livres : les coups de cœur du “Monde Afrique”» s'achève ainsi : « Un livre album empli de la fantaisie d'une créatrice que l'on ne se lasse pas de retrouver. » Cliquer là pour lire la présentation complète de Kidi Bebey.

Séverine Thery, alias Altinnov, passionnée par l'art contemporain et l'art urbain, tient un blog passionnant et très suivi (plus de 21 000 followers) tout comme son compte Instagram. Elle a choisi Tribunes urbaines (« Chrixcel avec son écriture passionnée nous embarque dans un voyage au long court »), Dico de l'art urbain (« Plus qu’un dictionnaire : c’est une mine d’or ! »), Odyssée (« Les personnages de Levalet
prennent vie et créent une singulière déambulation… ») et Anthologie du street art
(« merveilleusement illustré ») « à glisser sous le sapin ». Elle vous explique ses choix ici.

Un thésaurus est un « répertoire structuré de termes (mots-clés) pour l'analyse de contenu et le classement de documents » (Le Robert illustré). C'est la définition que les quotidiens 24 heures et la Tribune de Genève (9 et 10 décembre) ont trouvé pour définir Le Dico de l'art urbain avec une présentation pleine d'humour du livre de Quentin Gassiat signée ILA.
« PARLEZ-VOUS ACAB ?
Ne t’avise pas de “toyer” le graffiti d’une “queen”, tu irais à l’encontre du “code”. Dans un vocabulaire plus classique, cela donnerait : “N’écrivez pas le mot ‘toy’ sur l’œuvre d’une artiste particulièrement reconnue par ses pairs, vous contreviendriez aux règles tacites du milieu.” Dans son Dico de l’art urbain, Quentin Gassiat a recensé 450 noms, adjectifs, verbes ou expressions utilisés dans le monde du street art. De Acab, acronyme de “All cops are bastards” (ndlr : “Tous les flics sont des bâtards”) à Zoo, ce thésaurus laisse apparaître toute la richesse d’une scène créative dont le langage emprunte beaucoup à l’anglais, dénotant sa dimension internationale. L’ouvrage se voit complété par des verbatims d’artistes et deux cahiers de photographies. »

« Un régal », « joie et gourmandise »,  « vos papilles vont adorer cette savoureuse cuisine », plusieurs journaux ont apprécié Délices d'Afrique :
– Le Matin Dimanche (10 décembre), « l'unique journal dominical de Suisse romande » :

– La Croix (quotidien du 16/17 décembre): « Double ration de joie et de gourmandise : le 8^e album de la saga à succès de Marguerite Abouet Aya de Yopougon, les aventures hautes en couleurs d'Aya, la pétillante héroïne née dans ce quartier populaire d'Abidjan, en Côte d’Ivoire (Gallimard BD, 96 p., 18 €), et son livre de recettes Délices d'Afrique (Éditions Alternatives, 120 p., 25 €). »

– le trimestriel (décembre/janvier/février) Fémi-9 :

– L'hedomadaire Le Pélerin (30 novembre) : « L'autrice republie aussi un livre de 50 recettes ivoiriennes, Délices d'Afrique, pour les fans de l'alloco et du poulet bicyclette ! »