Editions Alternatives

Curieux nom pour ce blog : LMO. Ça signifie La Mite Orange. Pour en savoir plus sur cette très étrange appellation, allez sur leur blog. En tout cas, La Mite Orange trouve que L'Art dans l'assiette met de bonne humeur. La preuve ici. 

Autre fan du livre aussi, le journal Bubble Mag (numéro de mars 2015) :

Passionnante analyse de la doctorante en sociologie Aël Théry sur le site Urbanités à propos de Voyage au cœur de la cuisine de rue. « Les cuisiniers de rue et leur attirail de travail animent des quartiers, des rues, à différentes heures du jour et de la nuit. Des nouilles sautées shanghaiennes au hot-dog new-yorkais, de la curry-wurst de Berlin au tamales de Mexico, le cuisinier maitrise “l’art de l’instantan” (Sabban, 1988). Ils font partie du paysage urbain, le modifient, lui donnent une saveur, des odeurs. Leur insertion sociale dans le champ urbain permet la création d’espaces de sociabilité. Ils “luttent contre l’inertie et le fonctionnalisme des villes”(Cyrille Poy, 2013). »

L'intégralité de sa réflexion est consultable ici.

Une envolée médiatique pour Haute cuisine :

– L’hebdomadaire Le Point (15 janvier 2015) qui recommande de feuilleter « les pages du nouveau livre de Véronique André, relatant l'histoire gourmande de la compagnie. Avec, cerise sur le gâteau, un florilège de recettes emblématiques servies à bord, comme la tourte Riviera aux boutons de cèpes, créée par Alain Ducasse pour le passage à l'an 2000 sur le vol New York-Paris, ou encore le homard rôti au bois sucré imaginé par Guy Martin pour le jubilé de la ligne Paris-Tokyo, en 2002. »

– le mensuel Chef (janvier/février) : « Avec “Haute Cuisine, Les grands chefs à la table d’Air France”, l’auteur rappelle les grands noms de la gastronomie française qui se sont prêtés au jeu de l’art culinaire à 40 000 pieds d’altitude pour Air France. Joël Robuchon, Jacques Le Divellec, Régis Marcon, Alain Ducasse, Michel Roth… ils sont nombreux à avoir tenté l’expérience de régaler des convives à bord d’un avion. Une sélection de recettes emblématiques de grands chefs étoilés illustrée des photographies de Donald van der Putten est ainsi à découvrir au sein de l’ouvrage disponible aux éditions Alternatives-Gallimard. »

– le bimestriel Désir de voyage : « Dans ce livre, l’auteur chroniqueur gastronomique, revient sur 80 ans de grande cuisine française servie en vol. Mets les plus fins, carte des vins et des champagnes soigneusement sélectionnés, collaborations avec de grands chefs mais aussi recettes inédites spécialement concoctées par Alain Ducasse, Joël Robuchon ou Guy Martin pour les classes premières et business, ce livre plaira assurément aux gourmets. »

– Meet–>In, mensuel de janvier/février : « Les amoureux de cuisine mais aussi les passionnés d'avion pourront y découvrir les secrets d'Air France et de ses chefs afin de proposer des repas de qualité, depuis les premiers vols gourmands à bord du Super Constellation dans les années 50 jusqu'aux récentes collaborations avec de grands chefs étoilés français […] dont on découvre des recettes inédites. De quoi se mettre en appétit avant le prochain embarquement. »

– Le site em@il gourmand.

– Autre site, Le Quotidien du Tourisme.com.

– Le blog Food & Sens des frères Pourcel dont est extrait la photo ci-dessus où on peut reconnaître notamment les chefs Jacques Le Divellec, Alain Dutournier, Guy Savoy, Guy Martin entourant l’auteure Véronique André.

Deux belles chroniques pour Entropie et Zevs dans le mensuel de février 2015 de la revue L'Œil, avec un article de Pierre Morio intitulé L'art de rue envahit aussi les librairie :

Sur les traces de M. Chat :  c'est le titre de la passionnante rencontre de l’auteur de M.Chat (son ouvrage est référencé à la fin de l'article) avec Rosita Boisseau du journal Le Monde (supplément hebdomadaire Culture & idée) du 3 janvier 2015. En voici un court extrait :
« Thoma Vuille, 37 ans, dont seize passés à peindre des chats jaunes souriants partout dans le monde – la cartographie de ses dessins félins est impressionnante –, avance sur un fil fragile entre marginalité et marketing, illégalité et légalité. “Je suis passé du graffiti qui opère dans la transgression des lois au street art qui s'affranchit du graffiti pour rejoindre la tradition des muralistes, expliquet-il. Par ailleurs, avec l'explosion de la bulle Internet, il n'est plus question défaire un graffiti dans son coin. La diffusion et la médiatisation sont immédiates. Ce qui entraîne une professionnalisation. En ce qui me concerne, celle-ci va avec la maturation. Mais elle ne plaît évidemment pas toujours aux puristes qui continuent à revendiquer un art transgressif”. »

Dans sa chronique hedomadaire “Tu mitonnes” (Libération du 15 janvier 2015), Jaccky Durand détaille une recette extraite du tout récent Potiron, potimarron et butternut : « On a déniché un magnifique “crumble de légumes racines” dans un opuscule consacré à ces pépites potagères par Trish Deseine. » Avec, ci-contre, un titre, sous la photo de Ludovic Alussi, assez savoureux...