Editions Alternatives

La maison écologique,
le bimestriel de référence de l’habitat écologique,
fait une suberbe présentation de
Vivre en habitat participatif
dans son n° 75 de juillet 2013 : 

Le tout dernier ouvrage de Jef Aérosol séduit les journalistes :
– Glamour (juin 2013) consacre une jolie colonne à Parcours fléché (ci-dessus) ;
– Rock & Folk (mai) quatre pages à l’anniversaire des trente ans de création de l’artiste lillois. Voici le début de l'interview réalisé par Isabelle Cholley : « Avec sa chemise à jabots, sa casquette chipée à Dylan et ses Beatles boots, Jef Aérosol est taillé pour le rock'n'roll. Ou le dandysme. Dans la vie, c'est lui qui taille des pochoirs avant de peindre des icônes et des anonymes sur les murs, des friches industrielles ou des toiles. Depuis ses premiers coups de bombe en 1982, il a créé son style, ce noir/blanc/gris assorti d'une flèche rouge, ces silhouettes prêtes à se décoller de leur support, ces regards trop humains pour n'être qu'en deux dimensions. Entre le livre Parcours fléché et l'exposition Décalages, Jef est partout ces jours-ci. Comme souvent. » (voir ci-dessous) ;
– Le Monde (supplément Cultures & Idées du 4 mai) recommande l’ouvrage à l’occasion de la parution d’un passionnant article sur le “Street art, le mur de l’argent” où l’incontournable Banksy est notamment à l’honneur.

... de Jef Aérosol. Dans son numéro de mai 2013, Arts Magazine consacre un superbe et instructif dossier spécial arts urbains intitulé De l'illégalité à l'institution, où il est fait référence à Parcours fléché et d'autres ouvrages publiés chez nous :
« Le pochoiriste à la flèche rouge raconte son parcours, retracé par de nombreuses photos de ses œuvres. Les éditions Alternatives publient régulièrement des livres sur le street art. Figurent à leur catalogue Guerre et Spray de Banksy ou Extramuros, récit en images des voyages artistiques de Julien Malland alias Seth. »

Bon compte-rendu pour Maisons de plain-pied et Maisons à étages, les deux récentes productions de Gérard Calvat dans le bimestriel Déco Mag d'avril/mai 2013 :

Un superbe dossier de 9 pages est consacré à Keith Haring dans le numéro de mai 2013 du mensuel L'Œil, dont quatre plus spéciquement à Baptiste Lignel et son livre Keith Haring Studio dont il explique ainsi la genèse : « J’étais fan. Pour mes treize ans, mon père m’a amené au vernissage d’une exposition de Keith Haring à Knokke le Zoute en Belgique, dans l’espoir de le rencontrer. C’est là que nous sommes devenus amis. Ces images ont été prises à New York plus d’un an plus tard, le 30 octobre 1988. Après un déjeuner avec ma famille, j’accompagne Keith dans son studio où il doit produire des œuvres pour une prochaine exposition à la galerie Shafrazi. Il installe les feuilles au sol, met de la musique classique et se met au travail. Il est concentré et il me laisse virevolter autour de lui avec mon tout nouvel appareil photo. Je suis comme dans un magasin de jouets entouré de prototypes, de sculptures, de photos, de copains, de T-shirts du Pop Shop. Il y a cette fascination de voir en direct le trait du pinceau qui donne vie à un dessin sans hésitation ni brouillon devant mes yeux. Après le dessin à l’encre de Chine, Keith applique les couleurs les unes après les autres sur tous les tableaux. Il m’explique essayer de reproduire le coloriage malhabile d’un enfant. On se quitte à la nuit tombée pour se retrouver le lendemain pour la fête d’Halloween pour laquelle Keith aura passé une journée à coudre un costume. »

Autre dossier spécial consacré à l'artiste américain, celui d'un autre mensuel, Arts Magazine de mai, qui parle ainsi du même ouvrage : « Le récit en images d'une journée particulière dans l'atelier-studio de Keith Haring, à Broadway. Où l'on voit sous l'objectif de Baptiste Lignel comment peut se produire une exposition complète en un après-midi. »

Deux ans et demi après ("Géo Ado" : du graff dans ta ville), le mensuel toulousain Géo Ado refait un dossier sur Julien “Seth” Malland à l'occasion de la sortie de son Extramuros : un reportage de pas moins de 6 pages lui est en effet consacré.