Editions Alternatives

Dans le numéro de mai/juin 2016 du bimestriel L'Écolomag, deux articles sont consacrés à :
– Aliments fermentés : « Avec les méthodes détaillées dans ce livre, les conseils et les 40 recettes déclinables à l'infini, à vous d'élaborer en toute sécurité ces merveilleux et délicieux aliments fermentés. »
– Pur cacao : « Saines et végétales, simples et généreuses, les recettes proposées dans cet ouvrage sont toutes à base de cacao cru sous diverses formes (éclats de fève, pâte, poudre et beurre de cacao) et incluent une belle quantité d'aliments santé (oléagineux et fruits secs, sucres naturels, laits végétaux, farines...), afin de nous offrir le meilleur du chocolat. Un ouvrage passionnant et gourmand autour de plus de 50 recettes chocolatées, pour redécouvrir le vrai goût du cacao ! »

Le hors-série de juin 2016
de National Geographic,
consacré aux plantes,
n'a pas manqué de mettre en valeur
La Fleur au fusil
en reprenant l'extrait suivant
tiré de l'ouvrage
de Georges Oxley :

Dans son supplément du 11/16 mai 2016, l'hebdomadaire L'Express, sous la conduite de Sophie Helouard, a réalisé un dossier spécial carnets de voyage, intitulé Par monts et par mots (dont l'ouverture est reproduite dans l'image ci-dessous). L'auteure de L'art du carnet de voyage a bien évidemment été sollicitée pour cette enquête :
« Depuis le début des années 2000, le carnet de voyage connaît un fort engouement auprès du grand public. “La publication des premiers ouvrages de Titouan Lamazou, chez Gallimard, et les expositions successives des journaux de Peter Beard, au Centre national de la Photographie de Paris, en 1996, puis des carnets de Delacroix à l'Institut du monde arabe ont contribué à populariser le genre”, affirme Pascale Argod, enseignante à l'université de Bordeaux et spécialiste de cet objet atypique, au carrefour des sciences et de la tradition humaniste du XVI^e siècle.
Les origines du carnet de voyage remontent à la Renaissance. “Dans Histoire d'un voyage faite en la terre du Brésil (1578), Jean de Lery, premier explorateur ethnologue, s'applique à présenter de manière scrupuleuse et méthodique le pays et les mœurs des Indiens Tupmambas”, rappelle Pascale Argod dans son ouvrage L'art du carnet de voyage. »

... et c'est assez vraie cette affirmation de la journaliste Carine Chenaux dans un hors série du quotidien À nous Paris du 15 avril 2016 à propos du tout récent Mon Collègue est un robot. Qu'elle se rassure : ce n'est pas tout de suite qu'un robot saura écrire un article de cette qualité !

Trois référence pour Aliments fermentés en ce mois d'avril :

– Le Télégramme de Brest (4 avril) : « Journaliste culinaire et historienne de l'alimentation, Marie Claire Frédéric décrit une quarantaine de recettes déclinables a l'envi. Chacun pourra, en effet, se laisser guider par sa propre inspiration après avoir compris les différentes méthodes de fermentation détaillées en début d'ouvrage. Au sommaire, légumes, sauces et condiments, légumineuses et céréales, laitages. Intéressant pour les débutants, un tableau avec tous les problèmes (ou effets constatés) avec leurs solutions. »

– le mensuel Racines :

– l'hebdo féminin Elle (15 avril), qui, à la fin d'un dossier intitulé “Ça fermentes en cuisine !” recommande l'ouvrage de Marie-Claire Frédéric et Guillaume Stutin en tête de liste d'une rubrique appelée “Les bons livres”.

– et enfin un hors série de Prima qui publie également un dossier intitulé "Aliments fermentés : ils ont la cote !” qui recommande ce même ouvrage.

Dans son numéro 52 (mars/avril 2016), le mensuel L'Écolomag fait une présentation instructive de Semences hors-la-loi, écrivant notamment ceci : « À l'heure où se profile une réforme de la législation européenne sur le commerce des semences, ce livre fait la lumière sur un arsenal législatif complexe et nous appelle à une prise de conscience urgente. Car, derrière les semences, premier maillon de la chaîne alimentaire, les enjeux sont nombreux : survie du monde paysan, espoir d'une agriculture durable, qualité de l'alimentation, mais aussi survivance d'un patrimoine commun, rempart contre l'appropriation de tout le vivant. »