Editions Alternatives

Décidément, L'Obs en pince pour Habiter les ruines : après sa recension en début d'année (“Habiter les ruines” : « Sublime » (“L'Obs”)), l'hebdomadaire fait un
« décryptage » très « tendance » sur l'architecture des ruines dans son numéro du 30 mars/5 avril2017 sous la plume de Doriane Vignado : « “Il faut ruiner un palais pour en faire un objet d'intérêt”, disait Diderot. Et c'est encore mieux en le réinventant, rappelle Olivier Darmon, auteur du récent ouvrage Habiter les ruines (Ed. Alternatives) confrontant vestiges et architecture contemporaine, dans un face-à-face constructif : labyrinthique cimenterie abandonnée métamorphosée en atelier et habitation, manoir médiéval anglais effondré devenu maison de vacances, ancienne église franciscaine transformée en auditorium d'avant-garde... autant d'exemples et de projets où “la réhabilitation consiste à ne rien restaurer, mais à contrôler la décrépitude, à préserver les blessures du temps, à créer des configurations hors normes et inventer de nouvelles manières d'habiter”. Viens chez moi, j'habite dans une ruine archi design... La classe. »

À l'occasion de le Journée de l'eau (22 mars), la co-auteure de L'Homme et l'eau a accordé un long entretien à Frédérique Bréhaut pour les quotidiens Le Courrier  de l'Ouest et Presse Océan (18 mars 2017). Voici quelques extraits de l'interview de Pauline Dalençon : « L'injustice géographique fait que dix pays se partagent 60 % des réserves d'eau douce de la planète. Ramené à la population, cela signifie que 750 millions d'individus n'ont pas accès à l'eau potable. (...) On voudrait une nature obéissante, immobile. Or elle bouge. Les zones arides ou semi-arides s'étendent, les inondations deviennent plus fortes et la répartition de l'eau douce devient un enjeu vital. (...) Nous devons revenir à davantage d'humilité, utiliser des solutions locales à l'image des jardins d'orage à Bruxelles qui rechargent les nappes phréatiques. C'est souvent une histoire de bon sens. ».

Dans son numéro d'avril 2017,
le mensuel photo L'Œil,
qui fête son 700^e numéro,
fait de Street art/today
« un exemple presque canonique de
ce qu'est un beau livre de street art. »
La critique complète est
à lire ci-dessous :

Dans son numéro du 15 mars 2017, l'hebdomadaire L'Express Styles fait un interview passionnante du fameux chef triplement étoilé Alain Passard, à l'occasion de l'exposition Open Museum à laquelle il va participer au palais des Beaux-Arts de Lille (8 avril au 16 juillet) qui montrera certaines de ses œuvres personnelles (collages, vitraux, sculptures en bronze). C'est l'occasion pour lui de revenir sur son best-seller Collages & recettes paru en 2010 :
« Vous allez aussi exposer des collages. Comment est née cette aventure ?
C'était en 2004 ou 2005. J'étais en voyage au Japon, où je faisais du consulting pour un hôtel. Une nuit, j'ai fait une insomnie à cause du décalage horaire. J'ai appelé la réception pour lui demander de la colle et des ciseaux, et je me suis mis à découper des journaux dans ma chambre. J'ai commencé à représenter une tomate mozzarella, un melon à la fourme d'Ambert. En rentrant à Paris, j'ai continué à confectionner des collages. Les éditions Alternatives-Gallimard m'ont commandé un livre avec 50 recettes illustrées par mes créations.
Quelle émotion ce travail vous procure-t-il ?
C'est un nouveau jardin secret que je cultive dans l'intimité. Je m'y adonne à Paris ou le week end dans mon potager près d'Evreux ou dans celui de la Sarthe. Je suis dans une autre dimension, un espace de création où le temps s'arrête. J'entretiens un nouveau rapport à la matière, comme un prolongement de mon geste en cuisine. Je peux représenter des plats déjà existants ou créer des recettes en papier! J'en ai réalisé à ce jour plus de 200...
Votre matériau ce sont toujours des journaux ?
Oui. Quand je feuillette un magazine, je flashe sur une teinte, une texture de papier qui peut m'évoquer la fibre ou la chair d'un légume. »

Dans son numéro du 15 mars 2017, la Nouvelle République consacre quatre colonnes à Boissons fermentées, avec une conclusion optimiste du journaliste Yves Revert  :
« Argument décisif : la fermentation consomme 80 % du sucre et le transforme en substances bénéfiques, vitamines acides organiques, enzymes. Alors si en plus, on peut se débarrasser de toute culpabilité ! »

C'est ce qu'affirme le trimestriel Notre temps santé (mars/avril 2017) à propos de l'ouvrage de Luise Vindhal et David Frenkiel ;

Et toujours à propos de Green Kitchen, Emmanuelle Bézières, dans le bimensuel Gourmand (1/14 février) parle de « recueil délicieusement photographié et touchant » :